🚜Agriculture🥖Alimentation🦔Animaux🛠️Artisans🤝Associations🌱Biodiversité🛒Commerce🎭Culture🛡️Défense🦾Durabilité🪙Économie⚡Énergie🎓Enseignement🏢Entreprises🌍Environnement🇪🇺Europe👪Familles♀️Femmes🧑‍💼Fonction Publique🌳Forêts🇫🇷Francophonie♿Handicap🛂Immigration💡Innovation🏛️Institutions🌐International🎒Jeunesse⚖️Justice🏠Logement🌊Mer📱Numérique🏝️Outre-mer🎣Pêche🔬Recherche🛐Religion🏡Ruralité🩺Santé🚨Sécurité👵Séniors🤗Social🎗️Solidarité⚽Sports🏞️Territoires🩴Tourisme🚄Transports🔧Travail🏙️Villes
🇫🇷 Tous concernés, tous acteurs !😃
📛Choix du Pseudo 📧Vérification du Mail
Code :
🔑Choix du Mot de passe
🏛️Pourquoi nous rejoindre ?
  • ⚡ C'est rapide, et gratuit !
  • 🔔 Recevez des notifications sur les thèmes qui vous intéressent
  • 💬 Partagez vos idées et avis sur le travail législatif en cours
🇫🇷 Tous concernés, tous acteurs !😃
📛Pseudo
🔑Mot de passe

😱Pseudo oublié
ℹ️Saisir l'adresse mail liée au pseudo oublié :
😱Mot de Passe oublié
ℹ️Saisir l'adresse mail liée au Mot de Passe oublié :
OK, qu'est-ce qu'on cherche ? 🕵️
Type
📜Proposition de loi visant à lever les contraintes à l'exercice du métier d'agriculteur
🖋️Amendements examinés : 100%
166 Adoptés273 Rejetés
187 Irrecevables
18 Non soutenus
411 Tombés
106 Retirés
Détail par Article
Article 1
🖋️n°CD15 Adopté • Il y a +2 semaines
Avant le titre Ier, insérer la division et l’intitulé suivants : « Titre IerA « Mettre fin à la concurrence déloyale ».
🖋️n°CD136 Adopté • Il y a +2 semaines
Dans l’attente de la modification des règlements (UE) 2021/2117 du Parlement européen et du Conseil du 2 décembre 2021 modifiant les règlements (UE) n°1308/2013 portant organisation commune des marchés dans le secteur des produits agricoles, (UE) n°1151/2012 relatif aux systèmes de qualité applicables aux produits agricoles et aux denrées alimentaires, (UE) n°251/2014 concernant la définition, la description, la présentation, l’étiquetage et la protection des indications géographiques des produits vinicoles aromatisés et (UE) n°228/2013 portant mesures spécifiques dans le domaine de l’agriculture en faveur des régions ultrapériphériques de l’Union, pour l’application des dispositions du deuxième et du troisième alinéas de l’article L. 236‑1A du code rural et de la pêche maritime, il est tenu compte : 1° En ce qui concerne les produits phytopharmaceutiques composés d’une ou plusieurs substances actives non approuvées dans l’Union européenne, de la limite maximale de résidu abaissée au seuil de détermination défini au f du 2 de l’article 3 du règlement (CE) n°396/2005 du Parlement européen et du Conseil du 23 février 2005 concernant les limites maximales applicables aux résidus de pesticides présents dans ou sur les denrées alimentaires et les aliments pour animaux d’origine végétale et animale et modifiant la directive 91/414/CEE du Conseil ; 2° En ce qui concerne les produits phytopharmaceutiques composés d’une ou plusieurs substances actives qui répondent à l’un des critères d’exclusion énoncé par l’annexe II du règlement (CE) n°1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE du Conseil, des méthodes de production des denrées alimentaires ou produits agricoles importés depuis les pays tiers, même en l’absence de dépassement du seuil de détermination de résidu dans ou sur les denrées alimentaires et les aliments pour animaux d’origine végétale et animale ; 3° En ce qui concerne les produits phytopharmaceutiques dont l’utilisation est interdite en France, bien que la ou les substances actives contenues dans ces produits soient encore approuvées dans l’Union européenne, des preuves scientifiques justifiant cette interdiction au regard des risques pour la santé humaine et des risques inacceptables pour l’environnement dès lors qu’elles ont été notifiées par la France sur la base des articles 69 ou 71 du règlement (CE) n°1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE du Conseil.
🖋️n°CD348 Adopté • Il y a +2 semaines
Au troisième alinéa de l’article L. 236‑1 A du code rural et de la pêche maritime, après les mots : « de l’agriculture », sont insérés les mots : « , de la santé ».
🖋️n°CD214 Adopté • Il y a +2 semaines
Au troisième alinéa de l’article L. 236‑1 A du code rural et de la pêche maritime, le mot : « peuvent » est remplacé par le mot : « doivent ».
🖋️n°CD251 Adopté • Il y a +2 semaines
Avant le titre Ier , insérer la division et l’intitulé suivants : « Titre Ier A « Lever les contraintes au métier d’apiculteur ».
🖋️n°CD351 Adopté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 253‑7‑2 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un nouvel article L. 253‑7‑3 ainsi rédigé : « Art. L. – 253‑7‑3. – I. La liberté de produire sans pesticides est garantie aux apiculteurs dans le respect des dispositions communautaires. « II. Les distributeurs et détenteurs de l’autorisation de mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et des adjuvants définis à l’article L. 253‑1 sont responsables de plein droit du préjudice économique résultant de la dissémination de ces produits et de leurs impacts sur les populations d’abeilles domestiques.  « III. – Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application du présent alinéa. »
🖋️n°CD349 Adopté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 253‑8‑3 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 253‑8‑4 ainsi rédigé :  « Art. L. 253‑8‑4. – I. – Afin de lutter contre les menaces qui pèsent sur les abeilles mellifères, sur les autres insectes pollinisateurs sauvages et sur leurs larves, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail assure, à partir du 1er janvier 2026, que les tests de toxicité des pesticides, pour les demandes d’autorisation et pour les produits déjà présents sur le marché, se basent sur des protocoles tenant compte des connaissances scientifiques et techniques les plus récentes, tout en complétant ces protocoles avec la réalisation de tests sur les effets reprotoxiques. « II. – Chaque année, les services compétents publient un bilan des protocoles existants pour réaliser les tests de toxicité sur les insectes pollinisateurs, leurs lacunes et formulent des recommandations pour permettre l’adoption des protocoles les plus récents afin de garantir la protection des pollinisateurs. Ce bilan est rendu public sous une forme accessible. »
🖋️n°CD16 Adopté • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’intitulé du titre Ier : « Tirer les conséquences des connaissances scientifiques en matière de pesticides ».
🖋️n°CD279 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 35 et 36.
🖋️n°CD394 Adopté • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 44, insérer les deux alinéas suivants : « c) Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé : « III. – L’autorité administrative fixe des objectifs chiffrés de réduction de vente de produits phytopharmaceutiques. » 
🖋️n°CD345 Adopté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 49, substituer aux mots : « peuvent bénéficier » les mots : « bénéficient ».
🖋️n°CD210 Adopté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 49, après le mot : « global » insérer les mots :  « annuel et universel ».
🖋️n°CD209 Adopté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 49, substituer aux mots :  « conseillers compétents en agronomie » le mot : « agronomes ».
🖋️n°CD208 Adopté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 49, substituer au mot : « ou » le mot : « et ».
🖋️n°CD395 Adopté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 49, après le mot : « afin » insérer les mots : « d’engager les exploitations dans la transition agroécologique et ».
🖋️n°CE703 Adopté • Il y a +1 semaine
Substituer à l’alinéa 26 trois alinéas ainsi rédigés : « 4° L’avant-dernier alinéa du I de l’article L. 254‑2 est ainsi modifié : « a) Les mots : « aux 1° et 2° » sont remplacés par les mots : « au 1° » ; « b) Après les mots : « mentionnée au 2° », sont insérés les mots : « du présent I » ; »
🖋️n°CE751 Adopté • Il y a +1 semaine
À la première phrase de l’alinéa 31, après le mot : « phytopharmaceutiques », insérer les mots : « individualisée adressée à un utilisateur, y compris celles relevant du conseil stratégique mentionné au II du présent article ».
🖋️n°CE607 Adopté • Il y a +1 semaine

À l’alinéa 31, substituer à la phrase :   « La prestation est effectuée à titre onéreux. »   la phrase :   « Le conseil donne lieu à une facturation distincte. »

🖋️n°CE706 Adopté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 32 à 34 deux alinéas ainsi rédigés : « – les quatre dernières phrases sont remplacées par un nouvel alinéa ainsi rédigé : « À ce titre, le conseil mentionné à l’alinéa précédent privilégie des méthodes alternatives. Si nécessaire, il recommande les produits phytopharmaceutiques adaptés. Il promeut les actions mentionnées à l’article L. 254‑10‑1. Il tient compte des enjeux environnementaux présents dans l’aire d’activité de l’utilisateur professionnel et des modalités de leur préservation en cas d’utilisation de produits phytopharmaceutiques. »
🖋️n°CE707 Adopté • Il y a +1 semaine
I. – À la première phrase de l’alinéa 36, substituer au mot :  « établit » le mot :  « comprend ». II. – En conséquence, au même alinéa, substituer aux mots :  « s’inscrit dans » le mot :  « respecte ».
🖋️n°CE608 Adopté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 36, insérer l’alinéa suivant : « Le conseil stratégique est obligatoire pour s’assurer que les conseils prodigués sont objectifs, et que les produits vendus sont utilisés de manière appropriée et responsable ».
🖋️n°CE708 Adopté • Il y a +1 semaine
I. – Substituer aux alinéas 46 à 48 les deux alinéas suivants : « 7 ° Le titre Ier du livre III est complété par un chapitre VI intitulé : « Conseil stratégique global ». II. – En conséquence, rédiger ainsi le début de l’alinéa 49 : « Art. L. 316‑1. – (Le reste sans changement) ».
🖋️n°CE709 Adopté • Il y a +1 semaine
Après le mot : « agronomie » rédiger ainsi la fin de l’alinéa 49 : « . Ce conseil porte notamment sur la protection des végétaux et sur l’utilisation efficiente et durable des ressources. Il vise à améliorer la viabilité économique, environnementale et sociale des exploitations. »
🖋️n°CE764 Adopté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 49, insérer les cinq alinéas suivants : « Ce conseil agroécologique s’inscrit dans une approche systémique visant à accompagner les exploitants dans la mise en œuvre de pratiques agronomiques durables et résilientes. Il tient compte de l’ensemble des déterminants propres aux transitions : « – la réduction de la consommation énergétique et des émissions de gaz à effet de serre ; « – la gestion durable de la ressource en eau ; « – l’optimisation de la fertilisation ; « – la préservation et la restauration de la qualité des sols. »
🖋️n°CE710 Adopté • Il y a +1 semaine
Après le mot :  « phytopharmaceutiques » rédiger ainsi la fin de l’alinéa 50 : « défini au II de l’article L. 254‑6-4 constitue une partie de ce conseil stratégique global. »
🖋️n°CE686 Adopté • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « Art. L. 500‑2. –  Dans le cadre du conseil stratégique global et en partenariat avec les organisations pertinentes, tout agriculteur peut bénéficier d’un accompagnement humain dans le traitement des démarches administratives qui concernent son exploitation. L’accompagnement peut également porter sur toute démarche administrative et judiciaire, qui concourent au redressement économique de l’exploitation et au traitement des dettes, en privilégiant une négociation à l’amiable avec les créanciers. »
🖋️n°CD105 Adopté • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 49, insérer les trois alinéas suivants : « Il est fondé sur un diagnostic comportant une analyse des spécificités pédo-climatiques, sanitaires et environnementales des espaces concernés. « Pour les exploitations agricoles, ce diagnostic prend également en compte l’organisation et la situation économique de l’exploitation et comporte une analyse des moyens humains et matériels disponibles, des cultures,des précédents culturaux ainsi que de l’évolution des pratiques phytosanitaires. « Le diagnostic est périodiquement actualisé. Chacune de ses versions est conservée par l’utilisateur et par la personne agréée qui l’a établi pendant une durée fixée par décret dans la limite de dix ans. »
🖋️n°CD153 Adopté • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 51 : « II. – L’exercice de la fonction de conseiller mentionnée au I est conditionnée à l’obtention d’un diplôme d’ingénieur agronome ou d'un master en agronomie. »
🖋️n°CD206 Adopté • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « III. – L’État se donne comme objectif de financer, d’ici à 2030, 1000 ingénieurs pour accomplir les missions mentionnées au présent I, sous l’autorité des chambres d’agriculture. »
🖋️n°CD280 Adopté • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par les deux alinéas suivants : « Art. L. 500‑2. – L’État examine les conditions dans lesquelles il peut mettre en œuvre la gratuité du conseil stratégique dans le cadre d’un service public incombant aux chambres d’agriculture sous la responsabilité de l’État. « Ce dispositif sera conçu comme une mission de service public sous la responsabilité de l’État ; il pourra être opéré par des entités déléguées, sous la supervision et le contrôle de l’État, de sorte d’assurer un accès universel à un diagnostic de qualité pour toutes les exploitations agricoles du territoire national. »
🖋️n°CE711 Adopté • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « 8° (nouveau) À l’article L. 510‑2, les mots : « les modalités d’application du second alinéa de l’article L. 254‑1‑2 et prévoit » sont supprimés. »
🖋️n°CE551 Adopté • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « III. Les diagnostics modulaires mentionnés à l’article 22 de la loi n° 2025‑268 du 24 mars 2025 d’orientation pour la souveraineté alimentaire et le renouvellement des générations en agriculture peuvent être réalisés dans le cadre du conseil stratégique global et le conseil stratégique à l’utilisation de produits phytopharmaceutiques mentionné à l’article L. 254‑6‑4. »
🖋️n°CD255 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Le III de l’article L. 631‑24 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : 1° Au 1 , le mot : « librement » est supprimé ; 2° Le huitième alinéa du 7 est ainsi modifié :  a) La deuxième phrase est ainsi modifiée : – après les mots : « indicateurs », sont insérés les mots : « de référence » ; – la première occurrence du mot : « coûts » est remplacée par le mot :« prix » ; b) La troisième phrase est ainsi modifiée : – le mot : « librement » est supprimé ; – les mots : « , outre le ou les indicateurs issus du socle de la proposition » sont remplacés par les mots : « majoritairement l’indicateur de référence relatif aux coûts de production » ; – les mots : « constatés sur le ou les marchés sur lesquels opère l’acheteur » sont remplacés par les mots : « de marché » ; c) La quatrième phrase est ainsi modifiée : – le mot : « des » est remplacé par le mot : « les » ; – les mots : « , qui servent d’indicateurs » sont supprimés ; – est complétée par les mots : « relatifs aux coûts pertinents de production en agriculture et de marché ».
🖋️n°CD256 Irrecevable • Il y a +2 semaines
À la deuxième phrase du quinzième alinéa du III de l’article L. 631‑24 du code rural et de la pêche maritime, après le mot : « agriculture », sont insérés les mots : « intégrant la rémunération de la main d’œuvre agricole salariée et non salariée et la protection sociale ».
🖋️n°CD409 Irrecevable • Il y a +2 semaines
L’article L. 631‑27‑1 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : 1° Au début, il est ajouté un alinéa ainsi rédigé : « Une conférence publique de filière ne peut se constituer qu’à la demande d’une majorité de ses producteurs. » ; 2° Le premier alinéa est ainsi rédigé : « Pour chaque filière agricole concernée, la conférence publique de filière se réunit chaque année avant le 31 décembre, sous l’égide du médiateur des relations commerciales agricoles mentionné à l’article L. 631‑27. » ; 3° À la fin du deuxième alinéa, les mots : « et de la restauration hors domicile » sont remplacés par les mots : « , de la restauration hors domicile et des associations de défense des consommateurs » ; 4° La seconde phrase du troisième alinéa est remplacée par quatre phrases ainsi rédigées : « Au regard de cette situation et de ces perspectives, elle propose tous les quatre mois une estimation des coûts de production agricoles dans chaque filière ainsi qu’une estimation de leur évolution pour l’année à venir. Ces coûts incluent la rémunération des agriculteurs à hauteur de deux fois le salaire minimum de croissance et prennent en compte à la fois la dimension des exploitations et la diversité des bassins et des systèmes de production, notamment les contraintes géographiques des territoires marqués par l’éloignement, l’insularité et une dépendance accrue aux importations. La conférence publique de filière détermine un prix minimal d’achat des produitsagricoles, qui ne peut être inférieur aux coûts de production. Pour déterminer ce prix minimal d’achat des produits agricoles, les parties doivent notamment s’appuyer sur les modalités de fixation du prix des systèmes de garantie et des labels de commerce équitable définies à l’article 60 de la loi n° 2005‑882 du 2 août 2005 en faveur des petites et moyennes entreprises. » ; 5° Après le troisième alinéa, sont insérés quatre alinéas ainsi rédigés : « Si le prix de marché d’un produit est supérieur au prix minimal d’achat déterminé par la conférence publique de filière, les négociations entre les parties s’effectuent sur la base du prix de marché de ce produit constaté par la conférence publique de filière. « Une nouvelle conférence publique de filière est réunie en cas de présomption de forte hausse ou de forte baisse des coûts de production agricoles. Elle détermine un nouveau prix minimal d’achat des produits agricoles dans les conditions mentionnées au quatrième alinéa du présent article. « Si la conférence publique de filière ne parvient pas à déterminer un prix minimal d’achat des produits agricoles, le médiateur des relations commerciales agricoles remet aux ministres chargés de l’économie et de l’agriculture un compte rendu de la négociation interprofessionnelle, sur la base duquel les ministres arrêtent un prix minimal d’achat des produits agricoles, qui ne peut être inférieur aux coûts de production des produits agricoles concernés. « Si la conférence publique de filière ne parvient pas à déterminer un prix minimal d’achat des produits agricoles, et faute d’actualisation du prix par les ministres chargés de l’économie et de l’agriculture, le dernier prix minimal d’achat cesse de s’appliquer un an après sa première application. » 
🖋️n°CE245 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE249 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CD253 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Avant le titre Ier, insérer la division et l’intitulé suivants : « Titre Ier A « Lever les entraves économiques au métier d’agriculteur : garantir la rémunération des agriculteurs ».
🖋️n°CD415 Irrecevable • Il y a +2 semaines
I. – Sous l’autorité des ministres chargés de l’agriculture et de l’environnement, il est créé un fonds dédié au maintien et à la transition des pratiques agroécologiques des exploitations agricoles. Ce fonds permet de financer les pratiques favorisant la transition agroécologique des exploitations agricoles, en priorité celles qui ont pour objet de mettre en place des systèmes économes et autonomes, de réduire l’utilisation d’intrants chimiques et de renforcer les infrastructures agroécologiques. Une part des moyens du fonds mentionné au premier alinéa du présent article est utilisée pour des actions de soutien aux exploitations ayant un mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime. L’aide financière apportée aux exploitations agricoles est dégressive en fonction de la dimension de l’exploitation. Les conditions de son octroi sont précisées par décret en Conseil d’État. II. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par une contribution additionnelle de 10 % sur les bénéfices générés par les industries du secteur agroalimentaire, du secteur de la distribution, des produits phytosanitaires et des engrais de synthèse parmi les sociétés redevables de l’impôt sur les sociétés qui réalisent un chiffre d’affaires annuel supérieur à 50 millions d’euros.
🖋️n°CE13 Rejeté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD7 Rejeté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CE359 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CD276 Rejeté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CE520 Rejeté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 1 à 45 les treize alinéas suivants : « Le code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : « 1° La section 4 bis du chapitre III est abrogée ; « 2° Le VI de l’article L. 254‑1 est abrogé ; « 3° Les articles L. 254‑1‑1 à L. 254‑1‑3 sont abrogés ; « 4° Au 2° du I de l’article L. 254‑2, après le mot : « administrative », le signe : « , » est remplacé par le mot : « et » et, à la fin, les mots : « et qu’elle respecte les dispositions des articles L. 254‑1‑1 à L. 254‑1‑3 » sont supprimés ; « 5° L’article L. 254‑6‑2 est ainsi modifié : « a) Le dernier alinéa du I est supprimé ; « b) Le II est ainsi modifié : « – la seconde phrase du premier alinéa est supprimée ; « – le deuxième alinéa est supprimé ; « – au dernier alinéa, les mots : « et le délai entre deux conseils augmenté » sont supprimés ; « c) Le III est abrogé ; « 6° À la dernière phrase du second alinéa de l’article L. 254‑7‑1, après la référence : « L. 254‑6‑2 », la fin de la phrase est supprimée. »
🖋️n°CE579 Rejeté • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi l’alinéa 2 : « Les articles L. 253‑5‑1 et L253‑5‑2 du code rural et de la pêche maritime sont abrogés. »     
🖋️n°CE524 Rejeté • Il y a +1 semaine
Rétablir l’alinéa 2 dans la rédaction suivante : « 1° La section 4 bis du chapitre III est abrogée ; ».
🖋️n°CE616 Rejeté • Il y a +1 semaine
Rétablir l’alinéa 2 dans la rédaction suivante : « 1° La section 4 bis du chapitre III est abrogée ; ».
🖋️n°CE639 Rejeté • Il y a +1 semaine
Rétablir l’alinéa 2 dans la rédaction suivante : « 1° La section 4 bis du chapitre III est abrogée ; ».
🖋️n°CD447 Rejeté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 2, rétablir ainsi le 1 : « 1° La section 4 bis du chapitre III est abrogée ; ».
🖋️n°CD277 Rejeté • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 5 et 6.
🖋️n°CD213 Rejeté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 6, supprimer les mots : « , des produits composés uniquement de substances de base au sens de l’article 23 du règlement (CE) n° 1107/2009 ou de produits à faible risque au sens de l’article 47 du même règlement (CE) n° 1107/2009 ».
🖋️n°CE636 Rejeté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 3 à 25 les trois alinéas suivants :  « 2°Le titre V du livre II est ainsi modifié : « a) Le VI de l’article L. 254‑1 est abrogé ; « b) Les articles L. 254‑1-1 à L. 254‑1-3 sont abrogés ; »
🖋️n°CE144 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 3 à 8.
🖋️n°CE145 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer l’alinéa 4.
🖋️n°CE610 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE57 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 4, insérer l’alinéa suivant : « a) bis (nouveau) Au premier alinéa du III, les mots : « l’ensemble de ses établissements ainsi que, si elle en fait la demande, » sont remplacés par les mots : « l’établissement en ayant fait la demande, et doit réitérer sa demande ».
🖋️n°CD278 Rejeté • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 10 à 13.
🖋️n°CE58 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 4, insérer l’alinéa suivant : « a) bis (nouveau) Le second alinéa du III est supprimé. »
🖋️n°CE360 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 5 à 7.
🖋️n°CE59 Rejeté • Il y a +2 semaines
Compléter l’alinéa 6 par la phrase : « Cette incompatibilité vaut pour l’ensemble de ses établissements ainsi que pour l’activité d’établissements d’autres personnes morales au sein desquelles elle détient une participation financière, ou au bénéfice desquelles elle gère des services communs. »
🖋️n°CD101 Rejeté • Il y a +2 semaines
Substituer à l’alinéa 22 les deux alinéas suivants : « b) Le second alinéa est ainsi rédigé : « Toutefois, une personne membre d’un organe d’administration d’un établissement mentionné à l’article L. 510‑1 bénéficiant d’un agrément pour les activités mentionnées au 3° du II de l’article L. 254‑1 peut être membre de l’organe de surveillance, d’administration ou de direction d’une personne morale exerçant une activité mentionnée aux 1° ou 2° du II de l’article L. 254‑1, sous réserve qu’elle n’exerce pas un mandat de président ou de membre du bureau de cet établissement, ni de membre de conseil d’administration de Chambres d’agriculture France. »
🖋️n°CD391 Rejeté • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 23 à 25.
🖋️n°CD392 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 25, insérer les deux alinéas suivants : « c) Est complété par un III ainsi rédigé : « III. – Toute personne physique ou morale exerçant d’une part des activités mentionnées au 1 et 2 de l’article L. 254‑1 et d’autre part des activités mentionnées au 3 du même article établit une facturation distincte de ces activités. »
🖋️n°CD68 Non soutenu • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 31, supprimer la phrase : « La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CD88 Rejeté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 31, supprimer la phrase : « La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CD99 Rejeté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 31, supprimer la phrase : « La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CD346 Rejeté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 31, supprimer la phrase : « La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CD423 Non soutenu • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 31, supprimer la phrase : « La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CE691 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 7, substituer au mot : « supprimée ; »  les mots :  « est complétée par les mots : « notamment par la mise en place de pratiques et d’infrastructures agroécologiques » ; ».
🖋️n°CE692 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 7, insérer l’alinéa suivant :  « c) (nouveau) Le V est complété par les mots : « et la mise en place de pratiques et d’infrastructures agroécologiques ». »
🖋️n°CE147 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 9 à 25.
🖋️n°CE361 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 9 à 16.
🖋️n°CD211 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 44, insérer les cinq alinéas suivants : « 6° ter A Après l’article L. 254‑10‑4, il est inséré un article L. 254‑10‑5 ainsi rédigé : « Art. L. 254‑10‑5. – À l’issue d’une procédure contradictoire, les obligés qui, au 31 décembre 2026, n’ont pas satisfait à l’obligation qui leur a été notifiée doivent verser au Trésor public une pénalité proportionnelle au nombre de certificats d’économie de produits phytopharmaceutiques manquants pour atteindre l’objectif dont le montant est arrêté par l’autorité administrative. « Le montant de cette pénalité par certificat d’économie de produits phytopharmaceutiques manquant est fixé par décret en Conseil d’État. « Le montant total des sommes qu’une même personne physique ou morale peut être tenue de verser à ce titre ne peut excéder cinq millions d’euros. « Les titres de recettes sont émis par l’autorité administrative et sont recouvrés comme en matière de créances étrangères à l’impôt et au domaine. Une majoration de 10 % du montant dû est appliquée pour chaque semestre de retard dans le paiement de la pénalité. »
🖋️n°CD268 Rejeté • Il y a +2 semaines
À la phrase unique de l’alinéa 49, après le mot :  « agricoles » insérer les mots :  « , qu’ils exercent à titre individuel ou en société, ».
🖋️n°CE778 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 9, insérer l’alinéa suivant : « aa) Les décrets relatifs aux produits phytopharmaceutiques sont pris après avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail ; »
🖋️n°CD269 Rejeté • Il y a +2 semaines
À la phrase unique de l’alinéa 49, après le mot : « végétaux, » insérer les mots : « , en économie agricole ».
🖋️n°CD270 Rejeté • Il y a +2 semaines
À la phrase unique de l’alinéa 49, après le mot : « végétaux, » insérer les mots : « en droit rural, ».
🖋️n°CE362 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 17 à 22.
🖋️n°CE36 Rejeté • Il y a +2 semaines
Substituer à l’alinéa 22 les deux alinéas suivants : « b) Le second alinéa est ainsi rédigé : « Toutefois, une personne membre d’un organe d’administration d’un établissement mentionné à l’article L. 510‑1 bénéficiant d’un agrément pour les activités mentionnées au 3° du II de l’article L. 254‑1 peut être membre de l’organe de surveillance, d’administration ou de direction d’une personne morale exerçant une activité mentionnée aux 1° ou 2° du II de l’article L. 254‑1, sous réserve qu’elle n’exerce pas un mandat de président ou de membre du bureau de cet établissement, ni de membre de conseil d’administration de Chambres d’agriculture France. »
🖋️n°CE363 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 23 à 25.
🖋️n°CE479 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 25, insérer l’alinéa suivant :  « c) À la fin, est insérée la phrase : « Une personne physique exerçant une activité mentionnée au 3° du II de l’article L. 254‑1 ne peut également exercer une activité mentionnée aux 1° ou 2° du même II ou au IV de ce même article. »
🖋️n°CE779 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 25, insérer l’alinéa suivant : « c) (nouveau) Est complété par un III ainsi rédigé : « III. – Les fabricants et les distributeurs de produits phytopharmaceutiques ne peuvent inclure dans la rémunération de leurs salariés des éléments variables ou toute prime ou bonus liés au volume des ventes de produits phytopharmaceutiques par l’entreprise ou toute organisation dont elle ferait partie. Cette disposition est applicable à l’ensemble des entreprises intervenant dans la chaîne de production et de distribution de ces produits. » »
🖋️n°CE198 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 29 à 36.
🖋️n°CE689 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 31, après le mot : « utilisation » insérer les mots : « et de réduction ».
🖋️n°CE94 Non soutenu • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 31, supprimer la phrase :  « La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CE593 Non soutenu • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 31, supprimer la phrase :  « La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CE626 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 31, supprimer la phrase :  « La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CE635 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 31, supprimer la phrase :  « La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CE657 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 31, supprimer la phrase :  « La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CE690 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 31, substituer au mot : « réduction » les mots : « suppression totale ».
🖋️n°CE253 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 35 et 36.
🖋️n°CE196 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 35 et 36.
🖋️n°CE364 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 35 et 36.
🖋️n°CE510 Rejeté • Il y a +1 semaine
I. – Substituer à l’alinéa 36 les six alinéas suivants : « II. – Dans toute entreprise utilisatrice de produits phytopharmaceutiques non soumise à l’un des agréments prévus à l’article L. 254‑1, toute personne qui décide des traitements phytopharmaceutiques doit être en mesure de justifier s’être fait délivrer un conseil stratégique à l’utilisation de produits phytopharmaceutiques mentionné au II du présent article au moment de son installation dans une exploitation, ou de la reprise d’une exploitation, ou lors d’un changement stratégique à l’échelle de l’exploitation, ou le cas échéant d’ici le 1er janvier 2030. Un décret établit la liste des changements stratégiques concernés. « Cette justification est exigée pour le renouvellement du certificat mentionné au II de l’article L. 254‑3 dans des conditions fixées par décret. « Le contenu du conseil stratégique est allégé dans des conditions définies par voie réglementaire, pour les utilisateurs professionnels dont les surfaces susceptibles d’être traitées par des produits phytopharmaceutiques sont de dimensions réduites, inférieures à des plafonds déterminés en fonction de la nature des cultures pour les exploitants agricoles et des usages pour les autres utilisateurs. » « III. – La délivrance du conseil n’est pas requise : « 1° Lorsque l’entreprise n’utilise que des produits de biocontrôle figurant sur la liste prévue à l’article L. 253‑5, des produits composés uniquement de substances de base ou des produits à faible risque au sens du règlement (CE) n° 1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 et les produits nécessaires aux traitements prescrits pour lutter contre les organismes figurant sur la liste établie en application de l’article L. 251‑3 ; « 2° Lorsque l’exploitation agricole au bénéfice de laquelle sont utilisés des produits phytopharmaceutiques est engagée, pour la totalité des surfaces d’exploitation, dans une démarche ou une pratique ayant des incidences favorables sur la réduction de l’usage et des impacts des produits phytopharmaceutiques et figurant sur une liste établie par arrêté conjoint des ministres chargés de l’agriculture et de l’environnement. » II. – En conséquence, rédiger ainsi l’alinéa 51 : « IV. – Un décret définit les exigences relatives à l’exercice de la fonction de conseiller mentionnée au I, notamment en matière de formation, et le contenu du conseil stratégique global et du conseil stratégique à l’utilisation de produits phytopharmaceutiques mentionné à l’article L. 254‑6‑4 . »
🖋️n°CE201 Rejeté • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi la seconde phrase de l'alinéa 36 :  « Le conseil stratégique ne peut être assuré que par des conseillers indépendants, n’exerçant, ou n’étant lié à aucun établissement exerçant les activités mentionnées aux 1° ou 2° du II ou au IV de l’article L. 254‑1. La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CE609 Rejeté • Il y a +1 semaine
I. – Supprimer la dernière phrase de l’alinéa 36. II. – En conséquence, après l’alinéa 36, insérer l’alinéa suivant : « Un décret en Conseil d’État détermine les conditions dans lesquelles le conseil stratégique est délivré aux utilisateurs de produits phytopharmaceutiques et les exigences nécessaires à la prévention des conflits d’intérêts afin de garantir le caractère objectif du conseil et ainsi favoriser une utilisation appropriée et responsable de ces produits. ».
🖋️n°CE732 Rejeté • Il y a +1 semaine
À la troisième phrase de l’alinéa 36, après le mot :  « intérêts » insérer les mots : « et de certification ».
🖋️n°CE200 Rejeté • Il y a +1 semaine
À la troisième phrase de l’alinéa 36, substituer aux mots : « voie réglementaire » les mots : « un décret en Conseil d’État ».
🖋️n°CE494 Rejeté • Il y a +1 semaine
À la troisième phrase de l’alinéa 36, substituer aux mots : « voie réglementaire » les mots : « un décret en Conseil d’État ».
🖋️n°CE555 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 36 par la phrase suivante : « Il impose aux personnes exerçant des activités mentionnées au 1° et au 2° de l’article L. 254‑1, souhaitant réaliser des activités mentionnées au 3° du même article de mettre en place une séparation opérationnelle entre ces activités ».
🖋️n°CE683 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 36, insérer les deux alinéas suivants : « c) Il est ajouté un III ainsi rédigé :  « III. – Dans le cadre du conseil stratégique, tout agriculteur peut bénéficier d’un diagnostic de santé des sols, comprenant une information claire et transparente sur l’état des sols de son exploitation, c’est-à-dire une évaluation des propriétés physiques, chimiques et biologiques des sols. Ce diagnostic devra également permettre l’accompagnement des agriculteurs vers l’adoption de pratiques agroécologiques plus respectueuses du sol. L’État devra également s’assurer que ce diagnostic d’évaluation de la qualité des sols ne conduise pas à renchérir le prix des terres agricoles. »
🖋️n°CE194 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 37 au 41.
🖋️n°CE365 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 41 à 44.
🖋️n°CE190 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer l’alinéa 43.
🖋️n°CE121 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 44, insérer les cinq alinéas suivants : « 6° ter(nouveau) Après l’article L. 254‑10‑3, il est inséré un article L. 254‑10‑4 ainsi rédigé : « Art. L. 254‑10‑4 (nouveau) . – À l’issue d’une procédure contradictoire, les obligés qui, au 31 décembre 2026, n’ont pas satisfait à l’obligation qui leur a été notifiée doivent verser au Trésor public une pénalité proportionnelle au nombre de certificats d’économie de produits phytopharmaceutiques manquants pour atteindre l’objectif dont le montant est arrêté par l’autorité administrative. « Le montant de cette pénalité par certificat d’économie de produits phytopharmaceutiques manquant est fixé par décret en Conseil d’État. « Le montant total des sommes qu’une même personne physique ou morale peut être tenue de verser à ce titre ne peut excéder cinq millions d’euros. « Les titres de recettes sont émis par l’autorité administrative et sont recouvrés comme en matière de créances étrangères à l’impôt et au domaine. Une majoration de 10 % du montant dû est appliquée pour chaque semestre de retard dans le paiement de la pénalité. »
🖋️n°CE254 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 44, insérer les deux alinéas suivants : « c) Est complété par un alinéa ainsi rédigé : « III. – L’autorité administrative fixe des objectifs chiffrés de réduction de vente de produits phytopharmaceutiques. » 
🖋️n°CE496 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 44, insérer les deux alinéas suivants : « c) Est complété par un alinéa ainsi rédigé : « III. – L’autorité administrative fixe des objectifs chiffrés de réduction de vente de produits phytopharmaceutiques. » 
🖋️n°CE255 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, substituer aux mots : « peuvent bénéficier » le mot : « bénéficient ».
🖋️n°CE501 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, substituer aux mots : « peuvent bénéficier » le mot : « bénéficient ».
🖋️n°CE205 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, substituer aux mots : « peuvent bénéficier d'un» les mots : « doivent avoir recours annuellement à un».
🖋️n°CE256 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, après le mot : « global » insérer les mots :  « annuel et universel ».
🖋️n°CE122 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, après le mot : « global » insérer les mots :  « annuel et universel ».
🖋️n°CE206 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, après le mot :  « conseillers »,  insérer les mots : « indépendants, n’exerçant, ou n’étant lié à aucun établissement exerçant les activités mentionnées aux 1° ou 2° du II ou au IV de l’article L. 254‑1, »
🖋️n°CE731 Rejeté • Il y a +1 semaine
I. – À l’alinéa 49, après le mot :  « conseillers »,  insérer le mot :  « certifiés et ». II. – En conséquence, compléter l’alinéa 51 par les mots :  « et de certification ».
🖋️n°CE581 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, substituer aux mots : « conseillers compétents » les mots : « conseillers certifiés notamment pour leurs connaissances ».
🖋️n°CE123 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, substituer aux mots :  « conseillers compétents en agronomie » le mot : « agronomes ».
🖋️n°CE257 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, substituer aux mots :  « conseillers compétents en agronomie » le mot : « agronomes ».
🖋️n°CE695 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, après le mot : « compétents » insérer les mots : « et certifiés ».
🖋️n°CE199 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 49, insérer l’alinéa suivant :  « Le conseil stratégique global comporte plusieurs scénarii, dont au moins un prévoit la conversion ou le maintien en agriculture biologique, et précise pour chaque scénario les conséquences agronomiques, environnementales, sanitaires et économiques des choix pour lesquels l’exploitant peut opter. »
🖋️n°CE525 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 49, insérer l’alinéa suivant : « Le conseil stratégique global repose sur une approche indépendante et objective. Il est adapté aux spécificités de chaque exploitation et vise des solutions pragmatiques et directement applicables sur l’exploitation. »
🖋️n°CE269 Rejeté • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi l’alinéa 51 : « II. – L’exercice de la fonction de conseiller mentionnée au I est conditionnée à l’obtention d’un diplôme d’ingénieur agronome ou d’un master en agronomie. »
🖋️n°CE39 Rejeté • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 51 : « II. – L’exercice de la fonction de conseiller mentionnée au I est conditionnée à l’obtention d’un diplôme d’ingénieur agronome ou d’un master en agronomie. »
🖋️n°CD104 Rejeté • Il y a +2 semaines
Compléter l’alinéa 49 par les deux phrases suivantes :  « Le conseil stratégique global ne peut être assuré que par des conseillers indépendants, n’excerçant, ou n’étant lié à aucun établissement exerçant les activités mentionnées aux 1° ou 2° du II ou au IV de l’article L. 254‑1. La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CD272 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 49, insérer l’alinéa suivant : « Le conseil stratégique global repose sur une approche indépendante et objective. Il est adapté aux spécificités de chaque exploitation et vise des solutions pragmatiques et directement applicables sur l’exploitation. »
🖋️n°CE367 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants : « Art. L. 500‑2 (nouveau). – L’État examine les conditions dans lesquelles il peut mettre en œuvre la gratuité du conseil stratégique dans le cadre d’un service public incombant aux chambres d’agriculture sous la responsabilité de l’État. « Ce dispositif sera conçu comme une mission de service public sous la responsabilité de l’État. Il pourra être opéré par des entités déléguées, sous la supervision et le contrôle de l’État, de sorte d’assurer un accès universel à un diagnostic de qualité pour toutes les exploitations agricoles du territoire national. »
🖋️n°CE366 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants :  « Art. L. 500‑2 (nouveau). – L’État examine les conditions dans lesquelles il peut créer un service public du conseil stratégique et spécifique incombant aux chambres d’agriculture sous la responsabilité de l’État. « Ce dispositif sera conçu comme une mission de service public sous la responsabilité de l’État. Il pourra être opéré par des entités déléguées, sous la supervision et le contrôle de l’État, de sorte d’assurer un accès universel à un diagnostic de qualité pour toutes les exploitations agricoles du territoire national. »
🖋️n°CE268 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « III. – L’État se donne comme objectif de financer, d’ici à 2030, 1000 ingénieurs pour accomplir les missions mentionnées au présent I, sous l’autorité des chambres d’agriculture. »
🖋️n°CE126 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « III. – L’État se donne comme objectif de financer, d’ici à 2030, 1000 ingénieurs pour accomplir les missions mentionnées au présent I, sous l’autorité des chambres d’agriculture. »
🖋️n°CE729 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants : « III – L’État se donne comme objectif de financer, d’ici à 2030, 1000 agronomes certifiés pour accomplir les missions d’un service public du conseil stratégique à l’utilisation de produits phytopharmaceutiques, incombant aux chambres d’agriculture sous la responsabilité de l’État. « Ce dispositif sera conçu comme une mission de service public sous la responsabilité de l’État. Il pourra être opéré par des entités déléguées, sous la supervision et le contrôle de l’État, de sorte d’assurer un accès universel à un diagnostic de qualité pour toutes les exploitations agricoles du territoire national. »
🖋️n°CE435 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants : « Art. L. 500‑2 (nouveau). – L’État se donne comme objectif de financer, d’ici à 2030, 1000 agronomes certifiés pour accomplir les missions d’un service public du conseil stratégique incombant aux chambres d’agriculture sous la responsabilité de l’État. « Ce dispositif sera conçu comme une mission de service public sous la responsabilité de l’État. Il pourra être opéré par des entités déléguées, sous la supervision et le contrôle de l’État, de sorte d’assurer un accès universel à un diagnostic de qualité pour toutes les exploitations agricoles du territoire national. »
🖋️n°CE780 Rejeté • Il y a +1 semaine
I. – L’ordre national des conseillers en produits phytosanitaires groupe obligatoirement tous les conseillers exerçant des activités de conseil des produits phytosanitaires. II. – L’ordre veille au maintien des principes de moralité, de probité et de compétence indispensables à l’exercice du conseil des produits phytosanitaires. Il établit à cette fin une charte des principes éthiques applicables à la profession de conseil des produits phytosanitaires. Il contribue à promouvoir la réduction de l’usage des produits phytosanitaires.  III. – Il assure l’indépendance de la profession du conseil des produits phytosanitaires. IV. – Il peut organiser toutes œuvres d’entraide et de retraite au bénéfice de leurs membres et de leurs ayants droit. V. – Il accomplit sa mission par l’intermédiaire des conseils et des chambres disciplinaires de l’ordre.
🖋️n°CD222 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 253‑8‑3 du code rural et de la pêche maritime, est inséré un article L. 253‑8‑4 ainsi rédigé : « Art. L-253‑8‑4. – Afin de lutter contre les menaces qui pèsent sur les abeilles mellifères, sur les autres insectes pollinisateurs sauvages et sur leurs larves, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail garantit, à partir du 1er janvier 2026, que les tests de toxicité des pesticides, faisant l’objet d’une demande d’autorisation ou déjà présents sur le marché, s’appuient sur des protocoles tenant compte des connaissances scientifiques et techniques les plus récentes, tout en complétant ces protocoles avec la réalisation de tests sur les effets reprotoxiques. »
🖋️n°CD224 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 253‑8‑3 du code rural et de la pêche maritime, est inséré un article L. 253‑8‑4 ainsi rédigé :  « Art.L-253‑8‑4. – Chaque année, les services compétents publient un bilan des protocoles existants pour réaliser les tests de toxicité sur les insectes pollinisateurs, leurs lacunes et formulent des recommandations pour permettre l’adoption des protocoles les plus récents afin de garantir la protection des pollinisateurs. Ce bilan est rendu public sous une forme accessible. »
🖋️n°CD223 Retiré • Il y a +2 semaines
🖋️n°CE576 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE612 Retiré • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 3 à 41.
🖋️n°CE629 Retiré • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 4, insérer l’alinéa suivant : « a) bis Le IV de l’article L. 254‑1 est abrogé ; ».
🖋️n°CE119 Retiré • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 6, supprimer les mots : « , des produits composés uniquement de substances de base au sens de l’article 23 du règlement (CE) n° 1107/2009 ou de produits à faible risque au sens de l’article 47 du même règlement (CE) n° 1107/2009 ».
🖋️n°CD469 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – Substituer à l’alinéa 36 les sept alinéas suivants : « II. – Dans toute entreprise utilisatrice de produits phytopharmaceutiques non soumise à l’un des agréments prévus à l’article L. 254‑1, toute personne qui décide des traitements phytopharmaceutiques doit être en mesure de justifier s’être fait délivrer d’un conseil stratégique à l’utilisation de produits phytopharmaceutiques mentionné au II du présent article au moment de son installation dans une exploitation, ou de la reprise d’une exploitation, ou lors d’un changement stratégique à l’échelle de l’exploitation, ou le cas échéant d’ici le 1er janvier 2030. Un décret établit la liste des changements stratégiques concernés. « Cette justification est exigée pour le renouvellement du certificat mentionné au II de l’article L. 254‑3 dans des conditions fixées par décret. « Le contenu du conseil stratégique est allégé dans des conditions définies par voie réglementaire, pour les utilisateurs professionnels dont les surfaces susceptibles d’être traitées par des produits phytopharmaceutiques sont de dimensions réduites, inférieures à des plafonds déterminés en fonction de la nature des cultures pour les exploitants agricoles et des usages pour les autres utilisateurs. » « III. – La délivrance du conseil n’est pas requise : « 1° Lorsque l’entreprise n’utilise que des produits de biocontrôle figurant sur la liste prévue à l’article L. 253‑5, des produits composés uniquement de substances de base ou des produits à faible risque au sens du règlement (CE) n° 1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 et les produits nécessaires aux traitements prescrits pour lutter contre les organismes figurant sur la liste établie en application de l’article L. 251‑3 ; « 2° Lorsque l’exploitation agricole au bénéfice de laquelle sont utilisés des produits phytopharmaceutiques est engagée, pour la totalité des surfaces d’exploitation, dans une démarche ou une pratique ayant des incidences favorables sur la réduction de l’usage et des impacts des produits phytopharmaceutiques et figurant sur une liste établie par arrêté conjoint des ministres chargés de l’agriculture et de l’environnement. » « IV. – Le conseil stratégique global et le conseil stratégique à l’utilisation de produits phytopharmaceutiques mentionné à l’article L. 254‑6‑4 peuvent être réalisés dans le cadre des diagnostics modulaires mentionnés à l’article 22 de la loi n° 2025‑268 du 24 mars 2025 d’orientation pour la souveraineté alimentaire et le renouvellement des générations en agriculture II. – En conséquence, rédiger ainsi l’alinéa 51 : « IV. – Un décret définit les exigences relatives à l’exercice de la fonction de conseiller mentionnée au I, notamment en matière de formation, et le contenu du conseil stratégique global et du conseil stratégique à l’utilisation de produits phytopharmaceutiques mentionné à l’article L. 254‑6‑4 . »
🖋️n°CD393 Tombé • Il y a +2 semaines
L’alinéa 36 est ainsi modifié : 1° À la dernière phrase, substituer aux mots : « par voie réglementaire » les mots : « par un décret en Conseil d’État » ; 2° Compléter l’alinéa par la phrase suivante : « Il impose aux personnes exerçant des activités mentionnées au 1° et au 2° de l’article L. 254‑1, souhaitant réaliser des activités mentionnées au 3° du même article de mettre en place une séparation opérationnelle entre ces activités ».
🖋️n°CD491 Tombé • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 36 par l’alinéa suivant : « Le conseil stratégique à l’utilisation de produits phytopharmaceutiques est obligatoire, et périodiquement actualisé. »
🖋️n°CD212 Retiré • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 44, insérer les deux alinéas suivants : « 6° ter A Après l’article L. 254‑10‑3, il est inséré un article L. 254‑10‑4 ainsi rédigé : « Art. L. 254‑10‑4. – Une évaluation de l’expérimentation de l’obligation de mise en place d’actions visant à la réalisation d’économies de produits phytopharmaceutiques est effectuée et rendue publique avant le 1er janvier 2027. »
🖋️n°CD410 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 49, substituer aux mots : « conseillers compétents » les mots : « conseillers certifiés notamment pour leurs connaissances ».
🖋️n°CD490 Tombé • Il y a +1 semaine
I. – À l’alinéa 49, après le mot :  « conseillers »,  insérer le mot :  « certifiés, » II. – En conséquence, compléter l’alinéa 51 par les mots :  « et de certification ».
🖋️n°CD271 Retiré • Il y a +2 semaines
À la phrase unique de l’alinéa 49, après le mot : « filière, » insérer le mot : « exclusivement ».
🖋️n°CD207 Retiré • Il y a +2 semaines
À la fin de l’alinéa 49, substituer aux mots :  « d’améliorer la viabilité économique, environnementale et sociale de leur exploitation » les mots :  « d’adapter les activités agricoles aux conséquences du réchauffement climatique pour améliorer la viabilité économique de leur exploitation ».
🖋️n°CE486 Retiré • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 25, insérer l’alinéa suivant : « c) (nouveau) Est complété par un III ainsi rédigé :« III. – Toute personne physique ou morale exerçant d’une part des activités mentionnées au 1 et 2 de l’article L. 254‑1 et d’autre part des activités mentionnées au 3 du même article établit une facturation distincte de ces activités. »
🖋️n°CE781 Retiré • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 25, insérer l’alinéa suivant : « c) (nouveau) Est complété par un III ainsi rédigé :« III. – Toute personne physique ou morale exerçant d’une part des activités mentionnées au 1 et 2 de l’article L. 254‑1 et d’autre part des activités mentionnées au 3 du même article établit une facturation distincte de ces activités. »
🖋️n°CE648 Retiré • Il y a +1 semaine
Après la référence : « L. 254‑1 » rédiger ainsi la fin de la première phrase de l’alinéa 31 : « est une recommandation d’utilisation de produits phytopharmaceutiques qui précise la substance active ou la spécialité recommandée, la cible, la ou les parcelles concernées, la superficie à traiter, la dose recommandée et les conditions d’utilisation. »
🖋️n°CE137 Retiré • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 31, supprimer la phrase :  « La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CE643 Retiré • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 31, supprimer la phrase :  « La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CE757 Retiré • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 31, supprimer la phrase :  « La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CE771 Retiré • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 31, supprimer la phrase :  « La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CE782 Tombé • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 36 par la phrase suivante : « Le conseil stratégique à l’utilisation de produits phytopharmaceutiques est obligatoire, et périodiquement actualisé. »
🖋️n°CE120 Retiré • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 44, insérer les deux alinéas suivants : « 6° ter(nouveau) Après l’article L. 254‑10‑3, il est inséré un article L. 254‑10‑4 ainsi rédigé : « Art. L. 254‑10‑4 (nouveau). – Une évaluation de l’expérimentation de l’obligation de mise en place d’actions visant à la réalisation d’économies de produits phytopharmaceutiques est effectuée et rendue publique avant le 1er janvier 2027. »
🖋️n°CE693 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, après le mot : « agronomie »  insérer le mot : « et en agroécologie ».
🖋️n°CE694 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, après le mot : « végétaux » insérer les mots : « , en santé des sols, ».
🖋️n°CE124 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, substituer au mot : « ou » le mot : « et ».
🖋️n°CE272 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, substituer au mot : « ou » le mot : « et ».
🖋️n°CE582 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, substituer au mot :  « ou » le mot :  « et »
🖋️n°CE271 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, après le mot : « afin » insérer les mots : « d’engager les exploitations dans la transition agroécologique et ».
🖋️n°CE509 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, après le mot : « afin » insérer les mots : « d’engager les exploitations dans la transition agroécologique et ».
🖋️n°CE125 Tombé • Il y a +1 semaine
Après le mot :  « afin », rédiger ainsi la fin de l’alinéa 49 :  « d’adapter les activités agricoles aux conséquences du réchauffement climatique pour améliorer la viabilité économique de leur exploitation ».
🖋️n°CE202 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 49, après le mot : « afin » insérer les mots :  « d’adapter l'activité agricole aux conséquences du dérèglement climatique et de l’effondrement de la biodiversité, et ».
🖋️n°CE580 Tombé • Il y a +1 semaine
Après le mot :  « Afin », rédiger ainsi la fin de l’alinéa 49 :  « d’adapter les activités agricoles aux aléas climatiques, sanitaires et environnementaux »
🖋️n°CE697 Tombé • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 49 par la phrase :  « Il vise également à soutenir et accompagner les agriculteurs en difficultés dans toutes les démarches, notamment administratives et judiciaires, de redressement de leurs exploitation et de traitement de leurs dettes, en privilégiant une négociation à l’amiable avec les créanciers ».
🖋️n°CE37 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter l’alinéa 49 par les deux phrases suivantes :  « Le conseil stratégique global ne peut être assuré que par des conseillers indépendants, n’exerçant, ou n’étant lié à aucun établissement exerçant les activités mentionnées aux 1° ou 2° du II ou au IV de l’article L. 254‑1. La prestation est effectuée à titre onéreux. »
🖋️n°CE696 Tombé • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 49 par la phrase suivante :  « Ce conseil stratégique est adapté à la diversité des profils des exploitants et exploitantes et s’inscrit dans un objectif de lutte contre les discriminations et stéréotypes de genre en agriculture ».
🖋️n°CE270 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 49, insérer les trois alinéas suivants : « Il est fondé sur un diagnostic comportant une analyse des spécificités pédo-climatiques, sanitaires et environnementales des espaces concernés. « Pour les exploitations agricoles, ce diagnostic prend également en compte l’organisation et la situation économique de l’exploitation et comporte une analyse des moyens humains et matériels disponibles, des cultures,des précédents culturaux ainsi que de l’évolution des pratiques phytosanitaires. « Le diagnostic est périodiquement actualisé. Chacune de ses versions est conservée par l’utilisateur et par la personne agréée qui l’a établi pendant une durée fixée par décret dans la limite de dix ans. »
🖋️n°CE38 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 49, insérer les trois alinéas suivants : « Il est fondé sur un diagnostic comportant une analyse des spécificités pédo-climatiques, sanitaires et environnementales des espaces concernés. « Pour les exploitations agricoles, ce diagnostic prend également en compte l’organisation et la situation économique de l’exploitation et comporte une analyse des moyens humains et matériels disponibles, des cultures, des précédents culturaux ainsi que de l’évolution des pratiques phytosanitaires. « Le diagnostic est périodiquement actualisé. Chacune de ses versions est conservée par l’utilisateur et par la personne agréée qui l’a établi pendant une durée fixée par décret dans la limite de dix ans. »
🖋️n°CE700 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 49, insérer l’alinéa suivant : « Dans le cadre du conseil stratégique, tout agriculteur peut bénéficier d’un diagnostic de santé des sols, comprenant une information claire et transparente sur l’état des sols de son exploitation, c’est-à-dire une évaluation des propriétés physiques, chimiques et biologiques des sols. Ce diagnostic devra également permettre l’accompagnement des agriculteurs vers l’adoption de pratiques agroécologiques plus respectueuses du sol. L’État devra également s’assurer que ce diagnostic d’évaluation de la qualité des sols ne conduise pas à renchérir le prix des terres agricoles ».
🖋️n°CE583 Retiré • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 50 par les mots : « qui comprend aussi des volets relatifs à la consommation d’énergie, à la gestion de la ressource en eau, à la maîtrise de la fertilisation, à la préservation de la qualité des sols et à la prévention des aléas climatiques et sanitaires. »
🖋️n°CD397 Retiré • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « III. – Le conseil stratégique global et le conseil stratégique à l’utilisation de produits phytopharmaceutiques mentionné à l’article L. 254‑6‑4 peuvent être réalisés dans le cadre des diagnostics modulaires mentionnés à l’article 22 de la loi n° 2025‑268 du 24 mars 2025 d’orientation pour la souveraineté alimentaire et le renouvellement des générations en agriculture. »
🖋️n°CD281 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par les deux alinéas suivants :  « Art. L. 500‑2. – L’État examine les conditions dans lesquelles il peut créer un service public du conseil stratégique et spécifique incombant aux chambres d’agriculture sous la responsabilité de l’État. « Ce dispositif sera conçu comme une mission de service public sous la responsabilité de l’État ; il pourra être opéré par des entités déléguées, sous la supervision et le contrôle de l’État, de sorte d’assurer un accès universel à un diagnostic de qualité pour toutes les exploitations agricoles du territoire national. »
🖋️n°CE698 Tombé • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par l'alinéa suivant :  « Art L. 500‑2 – Dans le cadre du conseil stratégique global, les agriculteurs peuvent se voir proposer un plan de restructuration-diversification de l’exploitation qui vise à diversifier les productions agricoles, développer des pratiques agroécologiques et réduire l’usage des produits phytopharmaceutiques. »
🖋️n°CE699 Tombé • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par l'alinéa suivant :  « Art L.500‑2. – Dans le cadre du conseil stratégique global et en partenariat avec les organisations pertinentes, les agriculteurs peuvent se voir proposer un plan de redressement économique de l’exploitation, associé à un accompagnement humain sur la durée »
🖋️n°CE267 Retiré • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants : « Art. L. 500‑2. – L’État examine les conditions dans lesquelles il peut mettre en œuvre la gratuité du conseil stratégique dans le cadre d’un service public incombant aux chambres d’agriculture sous la responsabilité de l’État. « Ce dispositif sera conçu comme une mission de service public sous la responsabilité de l’État ; il pourra être opéré par des entités déléguées, sous la supervision et le contrôle de l’État, de sorte d’assurer un accès universel à un diagnostic de qualité pour toutes les exploitations agricoles du territoire national. »
Article 2
🖋️n°CD384 Adopté • Il y a +2 semaines
TITRE I bis LEVER LES CONTRAINTES AU MÉTIER D’AGRICULTEUR BIOLOGIQUE Après l’article L. 253‑1 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 253‑1‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 253‑1‑1. – La liberté de produire sans pesticide est garantie aux agriculteurs dont les productions relèvent du mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de la conversion vers ce mode de production. « Les distributeurs et détenteurs de l’autorisation de mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et des adjuvants définis à l’article L. 253‑1 sont responsables de plein droit du préjudice économique résultant de la dissémination de ces produits et de leurs impacts sur les productions relevant du mode de production biologique visées au précédent alinéa. « Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application du présent alinéa. »
🖋️n°CD142 Adopté • Il y a +2 semaines
La section 6 du chapitre III du titre V du livre II du code rural et de la pêche maritime est complétée par un article L. 253‑8‑4 ainsi rédigé : « Art. 253‑8‑4. – Les données définies à l’annexe I du règlement d’exécution (UE) 2023/564 de la Commission relatives à l’utilisation des produits phytopharmaceutiques mentionnés à l’article L. 253‑1 par les exploitants mentionnés à l’article L. 257‑1, sont enregistrées sous forme électronique, dans un format lisible par machine au sens du 13 de l’article 2 de la directive (UE) 2019/1024. « Elles sont rendues accessibles à l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail, dans le cadre de ses missions et du dispositif de surveillance dénommé phytopharmacovigilance défini à l’article L. 253‑8‑1. « Ces informations sont mises à la disposition du public dans un format ouvert, aisément réutilisable et exploitable par un système de traitement automatisé, sous une forme garantissant leur caractère anonyme. »
🖋️n°CD419 Adopté • Il y a +2 semaines
I – À compter du 1er janvier 2026, à titre expérimental et pour une durée de trois ans, l’État peut autoriser la mise en place d’un mécanisme d’assurance-risque comme alternative socio-économique à l’utilisation des produits phytopharmaceutiques visés à l’article L. 253‑1 du code rural et de la pêche maritime, pour favoriser le déploiement des méthodes alternatives telles que définies aux troisième et quatrième alinéas de l’article L. 254‑6‑4 du même code. II – Un décret détermine les modalités de mise en œuvre de cette expérimentation. Le ministre de l’agriculture arrête la liste des productions agricoles et des territoires participant à cette expérimentation, dans la limite de trois régions. III – Dans un délai de six mois avant le terme de l’expérimentation, le Gouvernement adresse au Parlement un rapport d’évaluation qui présente des recommandations en vue de la généralisation éventuelle de ce mécanisme.
🖋️n°CD471 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD1 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD205 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD282 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD411 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CE9 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 1 à 9.
🖋️n°CE135 Adopté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 1 à 9.
🖋️n°CE369 Adopté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 1 à 9.
🖋️n°CE511 Adopté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 1 à 9.
🖋️n°CE601 Adopté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 1 à 9.
🖋️n°CE646 Adopté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 1 à 9.
🖋️n°CE784 Adopté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 1 à 9.
🖋️n°CE796 Adopté • Il y a +1 semaine
Rétablir l’alinéa 10 dans la rédaction suivante : « 1° La section 1 du chapitre III du titre V du livre II est complétée par un article L. 253‑1‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 253‑1‑1. – Lorsque l’État interdit les produits contenant une substance ou une famille de substances déterminées, il accompagne la recherche de solutions alternatives pour les professionnels. »
🖋️n°CE745 Adopté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CE15 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CE129 Adopté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CE378 Adopté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CE512 Adopté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CE586 Adopté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CE786 Adopté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CE746 Adopté • Il y a +1 semaine
I. – Après l’alinéa 28, insérer l’alinéa suivant : « – la deuxième phrase est remplacée par une phrase ainsi rédigée : « Il rend des avis dans les conditions prévues au II ter du présent article ». » II. – En conséquence, rédiger ainsi l’alinéa 29 : « – la dernière phrase est supprimée ; »
🖋️n°CE748 Adopté • Il y a +1 semaine
I. – À l’alinéa 32, après le mot :  « exceptionnel », insérer les mots : « et pour une durée ne pouvant excéder trois ans ». II. – En conséquence, au même alinéa, substituer au mot : « que », les mots : « qu’à l’interdiction de l’utilisation » III. – En conséquence, substituer à l’alinéa 36 les deux alinéas suivants : « Le décret mentionné au premier alinéa du présent II ter est abrogé sans délai dès lors que les conditions mentionnées au présent II ter ne sont plus remplies. « Sont interdites, pour une durée déterminée par le décret mentionné au premier alinéa du présent II ter, la plantation et la replantation de végétaux attractifs d’insectes pollinisateurs après l’emploi de semences traitées avec des produits contenant les substances mentionnées au II. »
🖋️n°CE749 Adopté • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi les alinéas 37 et 38 : « L’avis du conseil de surveillance prévu au premier alinéa du présent II ter porte notamment sur les conditions mentionnées au 2° et 3° du présent II ter. « Le conseil de surveillance publie chaque année et remet avant le 15 octobre au Gouvernement et au Parlement un rapport relatif à chaque dérogation exceptionnelle, qui décrit leurs conséquences, notamment environnementales et économiques, et indique l’état d’avancement du plan de recherche mentionné au 3°, en veillant à ce que soient prévues les modalités de développement et d’application des solutions alternatives. »
🖋️n°CE29 Adopté • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 38, insérer les trois alinéas suivants : « g) (nouveau) Le IV est ainsi modifié : « – Après le mot : « précitée, », sont insérés les mots : « ainsi que la production, le stockage et la circulation de ces substances actives non approuvées, » ; « – Est ajoutée une phrase ainsi rédigée : « Il en va de même des substances et des produits phytopharmaceutiques contenant des substances dont les autorisations, au titre du même règlement (CE) n° 1107/2009 précédemment mentionné, ont expiré » ; ».
🖋️n°CE518 Adopté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 38, insérer l’alinéa suivant :  « La nation se fixe pour objectif d’indemniser les exploitants agricoles subissant des pertes d’exploitation significatives résultant du retrait d’une autorisation de mise sur le marché d’un produit phytosanitaire, lorsque les substances actives contenues dans les produits sont approuvées en application du règlement (CE) n° 1107/2009 et que les alternatives disponibles à l’utilisation de ces produits sont inexistantes ou manifestement insuffisantes. » 
🖋️n°CE647 Adopté • Il y a +1 semaine
I. – Substituer aux alinéas 41 à 46 les six alinéas suivants : « Art. L. 253‑8‑4. – I. – Il est institué un Comité des solutions d’appui à la protection des cultures, placé auprès du ministre chargé de l’agriculture.  « Ce comité est chargé d’identifier les filières pour lesquelles les méthodes de lutte contre les organismes nuisibles ou les végétaux indésirables affectant de manière significative la production agricole ne sont pas disponibles ; d’identifier les méthodes de lutte potentielles et les perspectives de développement de telles méthodes ; de soutenir le développement de stratégies de lutte contre ces organismes nuisibles ou végétaux indésirables ; de contribuer à l’identification et à la diffusion de bonnes pratiques dans la mise en œuvre des stratégies de lutte, en intégrant l’évolution des connaissances scientifiques et en mobilisant les données de la recherche. « II. – Outre des représentants des ministres chargés de l’agriculture, de l’environnement et de la santé, le comité mentionné au I comprend des membres représentant les acteurs de la production agricole et les acteurs de la recherche agronomique. Sa composition est fixée par arrêté des ministres chargés de l’agriculture, de l’environnement et de la santé. « III. – Le comité peut auditionner, en tant que de besoin, des représentants des organisations professionnelles de metteurs sur le marché de produits phytopharmaceutiques conventionnels et de biocontrôle. Il peut également auditionner le directeur de l’agence mentionnée à l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique ou son représentant. « IV. – Les membres mentionnés au II. sont soumis à l’obligation mentionnée à l’article L. 1451‑1 du code de la santé publique. « V. – Un décret en Conseil d’État précise les conditions d’application du présent article, notamment les modalités de fonctionnement et la composition du conseil d’appui à la protection des cultures. » II. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.
🖋️n°CD33 Adopté • Il y a +2 semaines
Après le I de l’article L. 522‑1 du code de l’environnement, est inséré un I bis ainsi rédigé : « I bis. – Dans l’attente de l’harmonisation des règlements (CE) n°1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE du Conseil et (UE) 528/2012 du Parlement européen et du Conseil du 22 mai 2012 concernant la mise à disposition sur le marché et l’utilisation des produits biocides, lorsque qu’une substance active entrant dans la composition d’un produit biocide mentionné au I est identique à une substance active qui n’est plus approuvée au titre du règlement (CE) n°1107/2009, ou dont l’autorisation a expiré, l’autorisation préalable à la mise sur le marché et à l’utilisation de ce produit n’est pas délivrée. »
🖋️n°CD294 Adopté • Il y a +2 semaines
I. – Le 2° de l’article L. 253‑7‑1 du code rural et de la pêche maritime est ainsi rédigé : « 2° L’utilisation des produits mentionnés au même article L. 253‑1 est interdite dans une zone tampon de 200 mètres autour des lieux mentionnés au 1 du présent article ainsi que dans une zone tampon de 200 mètres autour des centres hospitaliers et des hôpitaux, des établissements de santé privés, des maisons de santé, des maisons de réadaptation fonctionnelle, des établissements qui accueillent ou hébergent des personnes âgées et des établissements qui accueillent des personnes adultes handicapées ou des personnes atteintes de pathologie grave, ainsi que des lieux d’habitations à partir des limites de la propriété et des établissements recevant du public, quelle que soit leur catégorie. » II. – Après le 2 de l’article L. 253‑7‑1 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Les produits exclus ne peuvent pas être des produits reconnus comme des cancerogènes, mutagènes ou reprotoxiques de catégorie 1a, 1b et 2, au sens du règlement (CE) n° 1272/2008 du Parlement européen et du Conseil du 16 décembre 2008 relatif à la classification, à l’étiquetage et à l’emballage des substances et des mélanges, modifiant et abrogeant les directives n° 67/548/CEE et n° 1999/45/CE et modifiant le règlement (CE) n° 1907/2006, ni comme des perturbateurs endocriniens au sens du règlement (UE) n° 2018/605 de la Commission du 19 avril 2018 modifiant l’annexe II du règlement (CE) n° 1107/2009 en établissant des critères scientifiques pour la détermination des propriétés perturbant le système endocrinien. »
🖋️n°CD493 Adopté • Il y a +1 semaine
Le I bis de l’article L. 253‑8 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : 1° Au premier alinéa du B, le pourcentage : « 20 % » est remplacé par le pourcentage : « 30 % » 2° Après le premier alinéa du B est inséré l’alinéa suivant : « Des programmes d’application par aéronef circulant sans personne à bord sont mis en place à titre d’essai pour une durée maximale de trois ans. Les essais visent à confirmer, pour les types de parcelle ou de culture mentionnés au présent B, les avantages de la pulvérisation par aéronef circulant sans personne à bord, du point de vue des incidences sur la santé humaine et sur l’environnement, par rapport aux applications par voie terrestre. Leurs résultats sont évalués par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. »
🖋️n°CD34 Adopté • Il y a +2 semaines
L’article L. 253‑8 du code rural et de la pêche maritime, est complété par un III bis ainsi rédigé : « III bis. – Par délibération de l’organe qui en est gestionnaire, les parcs et réserves mentionnés aux articles L. 331‑1 à L. 336‑2 du code de l’environnement peuvent prévoir des dispositions pour ne pas autoriser l’utilisation des produits phytopharmaceutiques dans leur périmètre, à l’exception des produits phytopharmaceutiques de biocontrôle mentionnés à l’article L. 253‑6 et figurant sur la liste mentionnée au IV de l’article L. 253‑7, des produits autorisés en agriculture biologique et des produits à faible risque au sens de l’article 47 du règlement (CE) n° 1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/ CEE et 91/414/ CEE du Conseil. »
🖋️n°CD265 Adopté • Il y a +2 semaines
Le IV de l’article L. 253‑8‑2 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : 1° À la première phrase, le mot : « plafonné » est remplacé par les mots : « au moins égal » ; 2° Après la première phrase, il est inséré une phrase ainsi rédigée : « Le seuil du taux de la taxe n’est pas applicable aux produits de biocontrôle figurant sur la liste mentionnée à l’article L. 253‑5. »
🖋️n°CD295 Adopté • Il y a +2 semaines
Au huitième alinéa de l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique, le mot : « évaluant » est remplacé par les mots : « organisant la supervision systématique des essais et en réalisant leur interprétation afin de caractériser ».
🖋️n°CD264 Adopté • Il y a +2 semaines
Après le deuxième alinéa de l’article L. 1321‑5 du code de la santé publique, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Une liste nationale de contrôle de la présence de métabolites de pesticides dans les eaux destinées à la consommation humaine est établie par le ministre chargé de la santé, après avis conforme de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail mentionnée à l’article L. 1313‑1. Une liste spécifique est établie pour les collectivités régies par les articles 73 et 74 de la Constitution. Le contrôle sanitaire inclut également le contrôle de la présence de métabolites de pesticides dont la recherche est justifiée au regard des circonstances locales d’utilisation ou des quantités vendues de produits phytopharmaceutiques dans le département. »
🖋️n°CD446 Adopté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 3232‑8 du code de la santé publique, il est inséré un article L. 3232‑8‑1 ainsi rédigé :  « Art. L. 3232‑8‑1. – Afin de faciliter le choix du consommateur au regard des effets des produits phytopharmaceutiques sur la santé humaine et sur l’environnement, toute denrée alimentaire produite à partir de produits agricoles ayant été cultivés avec un traitement phytopharmaceutique doit être signalée par voie de marquage ou d’étiquetage ou par tout autre procédé adapté. Il est visible ou accessible pour le consommateur, en particulier au moment de l’acte d’achat. »
🖋️n°CD114 Adopté • Il y a +2 semaines
Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport relatif à l’émission de substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées dans l’environnement en raison de l’utilisation de produits phytosanitaires.
🖋️n°CD403 Adopté • Il y a +2 semaines
Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport présentant les actions menées aux niveaux européen pour négocier une interdiction des néonicotinoïdes.
🖋️n°CE262 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CE2 Rejeté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CE127 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CE368 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CE584 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CE458 Rejeté • Il y a +1 semaine
L’article 2 est ainsi rédigé : « La section 6 du chapitre III du titre V du livre II du code rural et de la pêche maritime est complétée par un article L. 253‑8‑4 ainsi rédigé : « Art. L. 253‑8‑4 (nouveau). – I. – Il est institué un conseil d’appui à la protection des cultures, placé auprès du ministre chargé de l’agriculture. « Ce conseil est chargé d’identifier les filières agricoles pour lesquelles les méthodes de lutte contre les organismes nuisibles ou les végétaux indésirables affectant de manière significative la production agricole ne sont pas disponibles ; d’identifier les méthodes de lutte potentielles et les perspectives de développement de telles méthodes ; de soutenir le développement de stratégies de lutte contre ces organismes nuisibles ou végétaux indésirables ; de contribuer à l’identification et à la diffusion de bonnes pratiques dans la mise en œuvre des stratégies de lutte, en cohérence avec les objectifs du plan national mentionné à l’article L. 253‑6 et en intégrant l’évolution des connaissances scientifiques et en mobilisant les données de la recherche. « II. – Outre des représentants des ministres chargés de l’agriculture, de l’environnement et de la santé, le conseil mentionné au I comprend des membres représentant les acteurs de la production agricole et les acteurs de la recherche agronomique. Sa composition est fixée par arrêté des ministres chargés de l’agriculture, de l’environnement et de la santé. « III. – Le comité peut auditionner, en tant que de besoin, des représentants des organisations professionnelles de metteurs sur le marché de produits phytopharmaceutiques conventionnels et de biocontrôle. Il peut également auditionner le directeur de l’agence mentionnée à l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique ou son représentant. « IV. – Les membres mentionnés au II. sont soumis à l’obligation mentionnée à l’article L. 1451‑1 du code de la santé publique. « V. – Un décret en Conseil d’État précise les conditions d’application du présent article, notamment les modalités de fonctionnement et la composition du conseil d’appui à la protection des cultures. »
🖋️n°CE541 Rejeté • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi l’article 2 : « I. – Le deuxième et le troisième alinéa du II et le II bis de l’article L. 253‑8 du code rural et de la pêche maritime sont supprimés. « II. – Le IV de l’article L. 253‑8 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : « 1° Après le mot : « précitée, », sont insérés les mots : « ainsi que la production, le stockage et la circulation de ces substances actives non approuvées, » ; « 2° Est complété par une phrase ainsi rédigée : « Il en va de même des substances et des produits phytopharmaceutiques contenant des substances dont les autorisations, au titre du même règlement (CE) n° 1107/2009 précédemment mentionné, ont expiré ».  « III. – L’article L. 253‑8-3 du code rural et de la pêche maritime est abrogé. »
🖋️n°CE5 Rejeté • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’article 2 : « I. – Les articles 1er et 2 de la loi n° 2020‑1578 du 14 décembre 2020 relative aux conditions de mise sur le marché de certains produits phytopharmaceutiques en cas de danger sanitaire pour les betteraves sucrières sont abrogés. « II. – Le IV de l’article L. 253‑8 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : « 1° Après le mot : « précitée, », sont insérés les mots : « ainsi que la production, le stockage et la circulation de ces substances actives non approuvées, » ; « 2° Est complété par une phrase ainsi rédigée : « Il en va de même des substances et des produits phytopharmaceutiques contenant des substances dont les autorisations, au titre du même règlement (CE) n° 1107/2009 précédemment mentionné, ont expiré ». »
🖋️n°CE304 Irrecevable • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 2, rétablir le 1 dans la rédaction suivante : « 1° Au huitième alinéa de l’article L. 1313‑1, le mot : « évaluant » est remplacé par les mots : « organisant la supervision systématique des essais et en réalisant leur interprétation afin de caractériser » ; ».
🖋️n°CE385 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Après l'alinéa 2, insérer les six alinéas suivants : "L’article L. 1313‑1 du code de la santé publique, est ainsi modifié : "1° Au huitième alinéa, le mot : « évaluant » est remplacé par les mots : « organisant la supervision systématique des essais et en réalisant leur interprétation afin de caractériser »; "2° Après le huitième alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Elle remplit ce rôle dans le but de procéder à une évaluation objective et transparente de l’impact des produits réglementés, à la lumière des connaissances scientifiques et techniques actuelles, en tenant compte des données scientifiques les plus fiables ainsi que des résultats les plus récents de la recherche internationale. » "3° Aux onzième et douzième alinéas, après le mot : « relatives », sont insérés les mots : « à l’organisation, à la supervision et à l’interprétation systématiques des essais nécessaires à l’évaluation de l’impact des produits réglementés, »; "4° Au quinzième alinéa, après les mots : « réaliser l’évaluation des risques », sont insérés les mots : « par la définition, l’organisation, la supervision et l’interprétation systématiques des essais permettant d’évaluer l’impact des produits réglementés ; » ».
🖋️n°CE306 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant : « 1° bis Au onzième alinéa de l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique, après les mots : « relatives à », sont insérés les mots : « l’organisation, à la supervision et à l’interprétation systématiques des essais nécessaires à l’évaluation de l’impact des produits ainsi qu’à ».
🖋️n°CE307 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant : « 1° bis Au douzième alinéa de l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique, après les mots : « relatives à », sont insérés les mots : « l’organisation, à la supervision et à l’interprétation systématiques des essais nécessaires à l’évaluation de l’impact des produits ainsi qu’à » ; ».
🖋️n°CE374 Irrecevable • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 9, supprimer la deuxième et la troisième phrase.
🖋️n°CE32 Non soutenu • Il y a +2 semaines
I. – Après l’alinéa 9, insérer l’alinéa suivant : « L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail est compétente pour prononcer l’interdiction de mise sur le marché de produits agricoles ayant fait l’objet d’un traitement à l’aide de substances prohibées sur le territoire national ». II. – En conséquence, à l’alinéa 8, substituer aux mots : « un alinéa ainsi rédigé » les mots : « deux alinéas ainsi rédigés ».
🖋️n°CE33 Non soutenu • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 9, insérer l’alinéa suivant : « L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail est compétente pour interdire la vente ou la distribution de produits agricoles qui auraient été traités avec des substances interdites en France. »
🖋️n°CE34 Non soutenu • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 9, insérer l'alinéa suivant : « L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail envisage ne peut prendre une décision plus restrictive qu’une décision d’autorisation délivrée au niveau européen. »
🖋️n°CE35 Non soutenu • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 9, insérer l’alinéa suivant : « Lorsque l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail envisage de prendre une décision plus restrictive qu’une décision d’autorisation délivrée au niveau européen, elle doit la motiver par des éléments scientifiques précis, nouveaux et circonstanciés établissant un risque avéré. »
🖋️n°CE484 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 9, insérer les deux alinéas suivants : « 1° B Le huitième alinéa de l’article L1 est complété par les mots : « et autorise les produits phytopharmaceutiques autorisés dans au moins l’un des pays membres de l’Union européenne. »
🖋️n°CE485 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 9, insérer les deux alinéas suivants : « 1° B Le huitième alinéa de l’article L1 est complété par les mots : « et s’aligne sur la réglementation en vigueur dans les autres pays membres de l’Union européenne en matière de produits phytopharmaceutiques disposant d’une autorisation de mise sur le marché. »
🖋️n°CE620 Rejeté • Il y a +1 semaine
I. – Rétablir l’alinéa 10 dans la rédaction suivante :  « 1° La section 1 du chapitre III du titre V du livre II est complétée par un article L. 253‑1‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 253‑1‑1. – Un retrait d’autorisation ou une modification de l’autorisation d’utilisation visant à restreindre l’usage d’un produit emporte l’obligation pour l’État de financer un accompagnement technique et de recherche adapté pour les professionnels. « Dans le cas d’une décision de retrait, et sous les réserves mentionnées à l’article 46 du règlement (CE) n° 1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE du Conseil, le délai de grâce est systématiquement porté à six mois pour la vente et la distribution, et à un an supplémentaire pour l’élimination, le stockage et l’utilisation des stocks existants. « Le directeur général peut, à l’occasion de l’instruction d’une demande d’autorisation préalable à la mise sur le marché et à l’expérimentation telle que décrite à l’article L. 1313‑1 du présent code, s’en remettre à la décision du ministre chargé de l’agriculture. » ; » II. – Compléter cet article par l’alinéa suivant : « II. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services. »
🖋️n°CE25 Rejeté • Il y a +2 semaines
I. – Après l’alinéa 10, insérer l’alinéa suivant : « 1° bis (nouveau) La loi n°2025‑365 du 23 avril 2025 visant à améliorer le traitement des maladies affectant les cultures végétales à l’aide d’aéronefs télépilotés est abrogée. » II. – En conséquence, supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CE377 Rejeté • Il y a +1 semaine
I. – Après l’alinéa 10, insérer l’alinéa suivant : « 1° bis (nouveau) La loi n°2025‑365 du 23 avril 2025 visant à améliorer le traitement des maladies affectant les cultures végétales à l’aide d’aéronefs télépilotés est abrogée. » II. – En conséquence, supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CE534 Rejeté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 11 à 46 les deux alinéas suivants : « 2° Le deuxième et le troisième alinéa du II et le II bis de l’article L. 253‑8 sont supprimés. « 3° L’article L. 253‑8‑3 est abrogé. »
🖋️n°CE26 Rejeté • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 11 à 46 l’alinéa suivant : « 2° Les articles 1 et 2 de la loi n° 2020-1578 du 14 décembre 2020 relative aux conditions de mise sur le marché de certains produits phytopharmaceutiques en cas de danger sanitaire pour les betteraves sucrières sont abrogés. »
🖋️n°CD252 Irrecevable • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 15, supprimer les mots : « sur les bananeraies et ». II. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services. »
🖋️n°CE310 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 24, insérer les deux alinéas suivants : « a bis) Après le I, il est inséré un I bis ainsi rédigé : « I bis. – L’utilisation de produits phytopharmaceutiques contenant une ou des substances perfluoroalkylées ou polyfluoroalkylées, ou dont les métabolites sont des substances perfluoroalkylées ou polyfluoroalkylées, est interdite. »
🖋️n°CE311 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 24, insérer les deux alinéas suivants : « a bis) Après le I, il est inséré un I bis ainsi rédigé : « I bis. – L’utilisation des produits phytopharmaceutiques contenant la substance active flufénacet est interdite. »
🖋️n°CE312 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 24, insérer les deux alinéas suivants : « a bis) Après le I, il est inséré un I bis ainsi rédigé : « I bis. – L’utilisation des produits phytopharmaceutiques contenant la substance active flutolanil est interdite. »
🖋️n°CE313 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 24, insérer les deux alinéas suivants : « a bis) Après le I, il est inséré un I bis ainsi rédigé : « I bis. – L’utilisation des produits phytopharmaceutiques contenant la substance active fluopyram est interdite. »
🖋️n°CE653 Rejeté • Il y a +1 semaine
I. – Rétablir l’alinéa 25 dans la rédaction suivante : « b) Les II et II bis sont abrogés ; » II. – En conséquence, supprimer les alinéas 26 à 38.
🖋️n°CE758 Rejeté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 25 à 46 les trois alinéas suivants :  « II. – Le code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié :  « 1° Les II et II bis de l’article L. 253‑8 sont abrogés ; « 2° L’article L. 253‑8‑3 du même code est abrogé. »
🖋️n°CE656 Rejeté • Il y a +1 semaine
I. – Rédiger ainsi les alinéas 25 et 26 « b) Au deuxième alinéa du II, les mots : « pris après avis du conseil de surveillance mentionné au II bis, » sont supprimés. « c) Le II bis est supprimé » II. – En conséquence, supprimer les alinéas 27 à 30, 37 et 38. III. – À l’alinéa 32, supprimer les mots :  « après avis du conseil de surveillance prévu au II bis, ».
🖋️n°CE130 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 26 à 38.
🖋️n°CE379 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 26 à 38.
🖋️n°CE388 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 26 à 39 les deux alinéas suivants : « Après le 9° du I de l’article L1 du code rural, insérer un 9° bis ainsi rédigé : « 9° bis D’interdire tous les OGMs, y compris les « OGMs cachés » et les nouvelles techniques génomiques (NTG) ».
🖋️n°CE16 Rejeté • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 26, après la référence : « II » insérer le mot et la référence : « et le II bis ». II – En conséquence, supprimer les alinéas 27 à 38.
🖋️n°CE27 Rejeté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 26, après la référence : « II » insérer le mot et la référence : « et le II bis ».
🖋️n°CE654 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 26, insérer l’alinéa suivant :  « c bis) Le premier alinéa du II bis est ainsi modifié : – le mot : « , notamment, » est supprimé ; – les mots :« , du Conseil économique, social et environnemental, d’associations de protection de l’environnement, des organisations syndicales à vocation générale d’exploitants agricoles, de l’interprofession apicole, de l’Institut technique et scientifique de l’apiculture et de la pollinisation, de l’Institut de l’agriculture et de l’alimentation biologiques » sont supprimés.
🖋️n°CE17 Rejeté • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 27 à 30 les deux alinéas suivants : « d) Le II bis est ainsi rédigé : « II bis. – L’utilisation des produits phytopharmaceutiques contenant la substance active glyphosate est interdite à compter du 1er janvier 2026. »
🖋️n°CE28 Rejeté • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 27 à 38 les deux alinéas suivants : « d) Le II bis est ainsi rédigé : « II bis. – L’utilisation des produits phytopharmaceutiques contenant une ou plusieurs substances actives de la classe des fongicides inhibiteurs de la succinate déshydrogénase est interdite à compter du 1 janvier 2026. »
🖋️n°CE299 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 27 à 30 les neuf alinéas suivants : « d) Le II bis est ainsi rédigé : « II bis. – Il est créé un Haut Conseil pour la protection de l’entomofaune et des services écosystémiques qu’elle rend à l’agriculture. Ce Haut Conseil comprend, outre son président, dix membres choisis en raison de leur expertise scientifique dans les domaines des sciences des écosystèmes, de l’agronomie, des sols et du climat. « La composition, l’organisation et le fonctionnement de ce Haut Conseil sont fixés par décret. Ses membres exercent leurs fonctions à titre gratuit. « Les membres du Haut Conseil pour la protection de l’entomofaune ne peuvent solliciter ni recevoir aucune instruction du Gouvernement ou de toute autre personne publique ou privée dans l’exercice de leurs missions. Ils adressent à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique une déclaration d’intérêts dans les conditions prévues au III de l’article 4 de la loi n° 2013‑907 du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique. « Le Haut Conseil pour la protection de l’entomofaune rend chaque année un rapport qui porte notamment sur : « 1° L’évolution des populations des insectes et des autres arthropodes sur le territoire national, notamment les pollinisateurs, et de leur diversité biologique ; « 2° L’évaluation de l’impact socio-économique pour l’agriculture et la sécurité alimentaire des pertes de biodiversité et de populations de l’entomofaune ; « 3° La mise en œuvre et l’efficacité des politiques et mesures décidées par l’État pour favoriser la présence d’insectes auxiliaires des cultures, notamment concernant l’efficacité du plan d’action national mentionné à l’article L. 253‑6 du présent code et des plans nationaux d’action opérationnels pour la conservation ou le rétablissement des espèces d’insectes pollinisateurs prévus à l’article L. 411‑3 du code de l’environnement. « Le Haut Conseil pour la protection de l’entomofaune peut se saisir de sa propre initiative ou être saisi par le Gouvernement, le Président de l’Assemblée nationale, le Président du Sénat ou le président du Conseil économique, social et environnemental pour rendre un avis, au regard de sa compétence, sur un projet de loi, une proposition de loi ou toute question relative à son domaine d’expertise. »
🖋️n°CE380 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 28.
🖋️n°CE136 Non soutenu • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 31 à 38.
🖋️n°CE314 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 31 à 38.
🖋️n°CE381 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 31 à 38.
🖋️n°CE382 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 31.
🖋️n°CE131 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 32. 
🖋️n°CE383 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 32. 
🖋️n°CE132 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 32 à 36. 
🖋️n°CE320 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 32, supprimer les mots : « ou une autorisation accordée dans les conditions prévues à l’article 53 du règlement (CE) n°1107/2009 »
🖋️n°CE570 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 32, après le mot : « accordée », insérer les mots : « après avis conforme et définitif de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail conformément à l’article L1313‑1 du code de la santé publique, ».
🖋️n°CE571 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 32, après l’année : « 2009 », insérer les mots : « et ont fait l’objet d’une réévaluation par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) dans le cadre du processus de renouvellement d’approbation prévu par ledit règlement ».
🖋️n°CE513 Rejeté • Il y a +1 semaine
Au début de l’alinéa 32, après la référence :  « II bis » insérer les mots : « et pour une durée maximale de trois ans ».
🖋️n°CE535 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 33 par les mots :  « et la France n’a pas notifié à la Commission européenne à leur sujet, sur le fondement des dispositions du même règlement, des preuves scientifiques justifiant une interdiction au regard de risques pour la santé humaine ou de risques inacceptables pour l’environnement ; ».
🖋️n°CE322 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter l'alinéa 33 par les mots :  « et la France n’a pas notifié à la Commission européenne à leur sujet, sur le fondement des articles 69 ou 71 du même règlement, des preuves scientifiques justifiant une interdiction au regard des risques pour la santé humaine et pour l’environnement ».
🖋️n°CE537 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 33 par les mots :  « et ne font pas l’objet d’un réexamen de l’approbation en vertu de l’article 21 du même règlement ou d’une demande d’essais ou d’études complémentaires adressée au titulaire de l’autorisation, ni d’une demande de renouvellement sur laquelle la Commission ne s’est pas encore prononcée dans le cadre de la procédure prévue aux articles 14 et 15 du même règlement ; ».
🖋️n°CE323 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 33 par les mots :  « et la justice n’a pas prononcé de décision annulant des autorisations de mise sur le marché antérieurement délivrées pour des produits composés de cette ou ces substances ».
🖋️n°CE133 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 33 par les mots :  « et leur innocuité pour la santé humaine et l’environnement est démontrée scientifiquement ».
🖋️n°CE655 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 34, substituer aux mots :  « manifestement insuffisantes » par les mots : « d’une efficacité significativement inférieure pour protéger les cultures contre les ravageurs ».
🖋️n°CE516 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 34, insérer l’alinéa suivant : « 2° bis L’interdiction d’utilisation des produits mentionnée au II expose les exploitants concernés à des difficultés économiques caractérisées par des pertes d’exploitation significatives ; ».
🖋️n°CE540 Rejeté • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi l’alinéa 35 : « 3° Il existe un plan de sortie de l’utilisation des produits mentionnés au II, qui prévoit un calendrier prévisionnel d’interdiction du produit, un volet relatif à la recherche d’alternatives et un volet relatif à la mobilisation de l’ingénierie nécessaire à la mise en application de ces alternatives. »
🖋️n°CE330 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 36, insérer l’alinéa suivant : « Ce décret précise les modalités par lesquelles les produits contenant les substances mentionnées au II ainsi que leurs métabolites font l’objet d’une campagne nationale de surveillance dans le cadre du programme de surveillance des eaux de surface et des eaux souterraines mené par les agences de l’eau mentionné à la section 3 du chapitre III du titre Ier du livre II du code de l’environnement. »
🖋️n°CE332 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 36, insérer l’alinéa suivant : « Ce décret prévoit les conditions dans lesquelles des prélèvements et analyses des sols et des eaux de ruissellement sont réalisés, à la charge des détenteurs de l’autorisation de mise sur le marché des produits contenant les substances mentionnées au II, sur les parcelles avant toute utilisation. »
🖋️n°CE341 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 38, insérer les alinéas deux alinéas suivants : « La liberté de produire et de consommer sans néonicotinoïdes est garantie dans le respect des principes de précaution, de prévention, d’information, de participation et de responsabilité inscrits dans la Charte de l’environnement de 2004 et dans le respect des dispositions communautaires. « Les distributeurs et détenteurs de l’autorisation de mise sur le marché des produits contenant des substances mentionnées au présent II en application des dérogations mentionnées au II ter est responsable, de plein droit, du préjudice écologique et du préjudice économique résultant de la dissémination de ces substances et de leurs impacts sur l’environnement pouvant modifier les conditions de production d’un autre exploitant agricole ou impacter la qualité de la ressource en eau et l’état des milieux aquatiques. Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application du présent alinéa. »
🖋️n°CE334 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 38, insérer l’alinéa suivant : « La contamination, même involontaire, de l’air, de l’eau, du sol, des terres et des sites naturels par les résidus et métabolites des produits mentionnés au II du fait des dérogations délivrées en application du présent II ter, ainsi que les conséquences de ces résidus et de leurs métabolites sur la diversité biologique, constituent un préjudice écologique tel que défini à l’article 1247 du code civil auquel sont applicables les dispositions du chapitre III du titre III du livre III du code civil. »
🖋️n°CE578 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 38, insérer l’alinéa suivant : « Les données relatives à l’utilisation par les exploitants mentionnés à l’article L. 257‑1 des produits phytopharmaceutiques mentionnés au II en application du décret prévu au présent II ter, sont mises à la disposition du public dans un format ouvert, aisément réutilisable et exploitable par un système de traitement automatisé, sous une forme garantissant leur caractère anonyme. »
🖋️n°CE517 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 38, insérer les trois alinéas suivants :  « Le Gouvernement est invité à engager, dans les meilleurs délais, des négociations au sein des instances de l’Union européenne en vue d’interdire l’acétamipride en raison de son effet néfaste sur la biodiversité, et notamment sur les pollinisateurs. « Le Gouvernement veille, dans ce cadre, à accompagner les agriculteurs dans la transition vers des pratiques agricoles durables. « Le Gouvernement remet au Parlement dans un délai d’un an à compter de la promulgation de la présente loi un rapport sur l’état d’avancement de ces négociations et sur les actions entreprises par la France. »
🖋️n°CE538 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 38, insérer les trois alinéas suivants : « g) La dernière phrase du premier alinéa du III est supprimée. « h) Le deuxième alinéa du même III est remplacé par un alinéa ainsi rédigé : « En complément de ces mesures, l’autorité administrative détermine une distance de protection de la santé publique, qui ne peut être inférieure à 200 mètres, en deçà de laquelle il est interdit d’utiliser ces produits à proximité de ces lieux. »
🖋️n°CE301 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Substituer à l’alinéa 39 les quatre alinéas suivants : « 3° L’article L. 253‑8‑3 est ainsi rédigé : « Art. L. 253‑8‑3. – Conformément au Règlement d’exécution (UE) 2023/564 de la Commission du 10 mars 2023, les données définies à l’annexe I de ce même règlement relatives à l’utilisation des produits phytopharmaceutiques mentionnés à l’article L. 253‑1 par les exploitants mentionnés à l’article L. 257‑1, sont enregistrées sous forme électronique, dans un format lisible par machine au sens du 13 de l’article 2 de la directive (UE) 2019/1024 du Parlement européen et du Conseil du 20 juin 2019 concernant les données ouvertes et la réutilisation des informations du secteur public. « Ces données sont rendues accessibles à l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail, dans le cadre de ses missions et notamment du dispositif de surveillance dénommé phytopharmacovigilance défini à l’article L. 253‑8‑1. « Ces informations sont également mises à la disposition du public dans un format ouvert, aisément réutilisable et exploitable par un système de traitement automatisé, sous une forme garantissant leur caractère anonyme. »
🖋️n°CE10 Rejeté • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 40 à 46.
🖋️n°CE134 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 40 à 46.
🖋️n°CE317 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 40 à 46.
🖋️n°CE384 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 40 à 46.
🖋️n°CE530 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 40 à 46.
🖋️n°CE588 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 40 à 46.
🖋️n°CE788 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 40 à 46.
🖋️n°CE797 Rejeté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 41 à 46 les cinq alinéas suivants : « Art. L. 253‑8‑4. – I. – Constitue un usage prioritaire tout usage mentionné au paragraphe 1 de l’article 2 du règlement (CE) n° 1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE du Conseil sans lequel le potentiel de production agricole et alimentaire serait affecté ou serait susceptible d’être affecté de manière significative en raison de l’inexistence ou de l’insuffisance manifeste de solutions alternatives. « II. – Il est créé un comité des solutions chargé de participer à l’identification des impasses rencontrées par les filières agricoles en raison de l’inexistence ou de l’insuffisance manifeste de solutions alternatives pour la protection des végétaux, ainsi qu’à l’identification et au soutien du développement de méthodes de lutte alternatives viables, notamment celles mentionnées à l’article L. 253‑6. « III. – Le ministre chargé de l’agriculture fixe par arrêté la liste des usages prioritaires, après avis du comité des solutions mentionné au II du présent II. « IV. – L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail établit un calendrier d’instruction des demandes d’autorisation de mise sur le marché concernant les usages prioritaires mentionnés au I du présent article, qu’elle présente au moins deux fois par an au comité des solutions mentionné au II du présent article. « V. – Un décret précise les conditions d’application du présent article, notamment les modalités de fonctionnement et la composition du comité des solutions.
🖋️n°CE445 Rejeté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 41 à 46 les six alinéas suivants : « Art. L. 253‑8‑4. – I. – Il est institué un conseil d’appui à la protection des cultures, placé auprès du ministre chargé de l’agriculture. « Ce conseil est chargé d’identifier les filières agricoles pour lesquelles les méthodes de lutte contre les organismes nuisibles ou les végétaux indésirables affectant de manière significative la production agricole ne sont pas disponibles ; d’identifier les méthodes de lutte potentielles et les perspectives de développement de telles méthodes ; de soutenir le développement de stratégies de lutte contre ces organismes nuisibles ou végétaux indésirables ; de contribuer à l’identification et à la diffusion de bonnes pratiques dans la mise en œuvre des stratégies de lutte, en cohérence avec les objectifs du plan national mentionné à l’article L. 253‑6 et en intégrant l’évolution des connaissances scientifiques et en mobilisant les données de la recherche.  « II. Outre des représentants des ministres chargés de l’agriculture, de l’environnement et de la santé, le conseil mentionné au I comprend des membres représentant les acteurs de la production agricole et les acteurs de la recherche agronomique. Sa composition est fixée par arrêté des ministres chargés de l’agriculture, de l’environnement et de la santé. « III. Le comité peut auditionner, en tant que de besoin, des représentants des organisations professionnelles de metteurs sur le marché de produits phytopharmaceutiques conventionnels et de biocontrôle. Il peut également auditionner le directeur de l’agence mentionnée à l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique ou son représentant. « IV. Les membres mentionnés au II. sont soumis à l’obligation mentionnée à l’article L. 1451‑1 du code de la santé publique. « V. – Un décret en Conseil d’État précise les conditions d’application du présent article, notamment les modalités de fonctionnement et la composition du conseil d’appui à la protection des cultures. »
🖋️n°CE251 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants : « VI (nouveau). – Afin de lutter contre les menaces qui pèsent sur les abeilles mellifères, sur les autres insectes pollinisateurs sauvages et sur leurs larves, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail assure, à partir du 1er janvier 2026, que les tests de toxicité des pesticides, pour les demandes d’autorisation et pour les produits déjà présents sur le marché, se basent sur des protocoles tenant compte des connaissances scientifiques et techniques les plus récentes, tout en complétant ces protocoles avec la réalisation de tests sur les effets reprotoxiques. « VI (nouveau). – Chaque année, les services compétents publient un bilan des protocoles existants pour réaliser les tests de toxicité sur les insectes pollinisateurs, leurs lacunes et formulent des recommandations pour permettre l’adoption des protocoles les plus récents afin de garantir la protection des pollinisateurs. Ce bilan est rendu public sous une forme accessible. »
🖋️n°CE410 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants : « VI (nouveau). – Afin de lutter contre les menaces qui pèsent sur les abeilles mellifères, sur les autres insectes pollinisateurs sauvages et sur leurs larves, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail assure, à partir du 1er janvier 2026, que les tests de toxicité des pesticides, pour les demandes d’autorisation et pour les produits déjà présents sur le marché, se basent sur des protocoles tenant compte des connaissances scientifiques et techniques les plus récentes, tout en complétant ces protocoles avec la réalisation de tests sur les effets reprotoxiques. « VII (nouveau). – Chaque année, les services compétents publient un bilan des protocoles existants pour réaliser les tests de toxicité sur les insectes pollinisateurs, leurs lacunes et formulent des recommandations pour permettre l’adoption des protocoles les plus récents afin de garantir la protection des pollinisateurs. Ce bilan est rendu public sous une forme accessible. »
🖋️n°CE188 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « VI (nouveau). – Afin de lutter contre les menaces qui pèsent sur les abeilles mellifères, sur les autres insectes pollinisateurs sauvages et sur leurs larves, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail garantit, à partir du 1er janvier 2026, que les tests de toxicité des pesticides, faisant l’objet d’une demande d’autorisation ou déjà présents sur le marché, s’appuient sur des protocoles tenant compte des connaissances scientifiques et techniques les plus récentes, tout en complétant ces protocoles avec la réalisation de tests sur les effets reprotoxiques. »
🖋️n°CE189 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « VI (nouveau). – Chaque année, les services compétents publient un bilan des protocoles existants pour réaliser les tests de toxicité sur les insectes pollinisateurs, leurs lacunes et formulent des recommandations pour permettre l’adoption des protocoles les plus récents afin de garantir la protection des pollinisateurs. Ce bilan est rendu public sous une forme accessible. »
🖋️n°CE553 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 443‑4 du code de commerce, il est inséré un article L. 443‑4‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 443‑4‑1. – La commercialisation sur le territoire français de produits agricoles et alimentaires ne respectant pas les normes de production applicables aux producteurs établis sur le territoire national ou des normes équivalentes sur les plans environnemental, sanitaire et social, dont le respect est pris en compte dans la détermination des coûts de production au sens de l’article L. 631‑27‑1 du code rural et de la pêche maritime, est interdite. « Pour l’application du présent article, les produits agricoles et alimentaires issus de la culture ou de l’élevage sur le territoire d’un État membre de l’Espace économique européen sont présumés satisfaire à des normes équivalentes à celles applicables aux producteurs établis sur le territoire français. »
🖋️n°CE532 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Le Chapitre IV du Titre III du Livre Ier du code de l’environnement est complété par un article L. 134‑4 ainsi rédigé : « Art. L. 134‑4 – Le Haut Conseil pour la protection de l’entomofaune et des services écosystémiques qu’elle rend à l’agriculture est une instance scientifique indépendante, placée auprès du Premier ministre.  « Ce Haut Conseil comprend, outre son président, dix membres choisis en raison de leur expertise scientifique dans les domaines des sciences des écosystèmes, de l’agronomie, des sols et du climat. « La composition, l’organisation et le fonctionnement de ce Haut Conseil sont fixés par décret. Ses membres exercent leurs fonctions à titre gratuit. « Les membres du Haut Conseil pour la protection de l’entomofaune ne peuvent solliciter ni recevoir aucune instruction du Gouvernement ou de toute autre personne publique ou privée dans l’exercice de leurs missions. Ils adressent à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique une déclaration d’intérêts dans les conditions prévues au III de l’article 4 de la loi n° 2013‑907 du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique. « Le Haut Conseil pour la protection de l’entomofaune rend chaque année un rapport public qui porte notamment sur : « 1° L’évolution des populations des insectes et des autres arthropodes sur le territoire national, notamment les pollinisateurs, et de leur diversité biologique ; « 2° L’évaluation de l’impact socio-économique pour l’agriculture et la sécurité alimentaire des pertes de biodiversité et de populations de l’entomofaune ; « 3° La mise en œuvre et l’efficacité des politiques et mesures décidées par l’État pour favoriser la présence d’insectes auxiliaires des cultures, notamment concernant l’efficacité du plan d’action national mentionné à l’article L. 253‑6 du présent code et des plans nationaux d’action opérationnels pour la conservation ou le rétablissement des espèces d’insectes pollinisateurs prévus à l’article L. 411‑3 du code de l’environnement. « Le Haut Conseil pour la protection de l’entomofaune peut se saisir de sa propre initiative ou être saisi par le Gouvernement, le Président de l’Assemblée nationale, le Président du Sénat ou le Président du Conseil économique, social et environnemental pour rendre un avis, au regard de sa compétence, sur un projet de loi, une proposition de loi ou toute question relative à son domaine d’expertise. »
🖋️n°CE240 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après le I de l’article L. 522‑1 du code de l’environnement, est inséré un I bis ainsi rédigé : « I bis (nouveau).. – Dans l’attente de l’harmonisation des règlements (CE) n°1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE du Conseil et (UE) 528/2012 du Parlement européen et du Conseil du 22 mai 2012 concernant la mise à disposition sur le marché et l’utilisation des produits biocides, lorsque qu’une substance active entrant dans la composition d’un produit biocide mentionné au I est identique à une substance active qui n’est plus approuvée au titre du règlement (CE) n°1107/2009, ou dont l’autorisation a expiré, l’autorisation préalable à la mise sur le marché et à l’utilisation de ce produit n’est pas délivrée. »
🖋️n°CD333 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 211‑3 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 211‑3‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 211‑3‑1. – Les mesures prises pour la transposition de la directive 91/676/CEE du 12 décembre 1991 concernant la protection des eaux contre la pollution par les nitrates à partir de sources agricoles, dite « directive nitrates », ne peuvent imposer des exigences allant au-delà de celles expressément prévues par cette directive, sauf si elles sont justifiées par un motif d’intérêt général lié à la protection de la santé publique ou de l’environnement et proportionnées à cet objectif. Les programmes d’actions établis pour la mise en œuvre de la présente section doivent se limiter aux mesures minimales requises par la directive, notamment en ce qui concerne les périodes d’interdiction d’épandage, les seuils d’épandage d’azote et les obligations de stockage des effluents, sauf justification explicite. Toute mesure supplémentaire doit faire l’objet d’une évaluation d’impact économique sur la compétitivité des exploitations agricoles, transmise au Parlement avant son adoption. »
🖋️n°CE1 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Le I de l’article L. 541‑10 du code de l’environnement est complété par deux alinéas ainsi rédigés : « Les produits fermiers commercialisés directement aux consommateurs par les producteurs fermiers sont exclus de la responsabilité élargie du producteur mentionnée au présent I. « Le onzième alinéa du I est applicable jusqu’au 31 décembre 2026. »
🖋️n°CD449 Rejeté • Il y a +2 semaines
Le premier alinéa du II de l’article L. 253‑8 du code rural et de la pêche maritime est complété par une phrase ainsi rédigée : « Par dérogation, l’usage du néonicotinoïde acétamipride en traitement foliaire est autorisé jusqu’en décembre 2027 pour les cultures de betteraves où l’afflux de pucerons et le risque de présence de jaunisse sont avérés. »
🖋️n°CD454 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après le troisième alinéa de l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Elle contribue à encourager l’innovation par l’émergence de technologies nouvelles pour répondre aux défis environnementaux, en particulier des technologies et filières de production de fertilisants agricoles sur le sol national, des filières de produits biosourcés et de la chimie végétale, des technologies portant sur l’article L. 258‑1 du code rural et de la pêche maritime et des nouvelles techniques génomiques. »
🖋️n°CE118 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Le I de l’article L. 541‑10 du code de l’environnement est complété par deux alinéas ainsi rédigés : « Les pots à fleurs et à plantes, y compris les germoirs, utilisés dans le cadre des relations entre entreprises à différents stades de la production ou destinés à être vendus avec la plante sont exclus de la responsabilité élargie du producteur mentionnée au présent I. « Le onzième alinéa du I est applicable jusqu’au 31 décembre 2026. »
🖋️n°CE30 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après le I de l’article L. 522‑1 du code de l’environnement, est inséré un I bis ainsi rédigé : « I bis (nouveau). – Dans l’attente de l’harmonisation des règlements (CE) n°1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE du Conseil et (UE) 528/2012 du Parlement européen et du Conseil du 22 mai 2012 concernant la mise à disposition sur le marché et l’utilisation des produits biocides, lorsqu’une substance active entrant dans la composition d’un produit biocide mentionné au I est identique à une substance active qui n’est plus approuvée au titre du règlement (CE) n°1107/2009, ou dont l’autorisation a expiré, l’autorisation préalable à la mise sur le marché et à l’utilisation de ce produit n’est pas délivrée. »
🖋️n°CE466 Irrecevable • Il y a +1 semaine
La section 2 du chapitre VI du titre préliminaire du livre II du code rural et de la pêche maritime est complétée par un article L. 206‑2‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 206‑2‑1 – I. – Lorsqu’elle constate une méconnaissance de l’article 236‑1 A, l’autorité administrative compétente prononce une sanction pécuniaire dont le montant ne peut excéder 10 % du chiffre d’affaires moyen annuel, calculé sur les trois derniers chiffres d’affaires annuels connus à la date des faits, dès lors qu’elle relève un manquement à l’une des dispositions suivantes : « - au règlement (CE) n° 178/2002 du Parlement européen et du Conseil du 28 janvier 2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire, instituant l’Autorité européenne de sécurité des aliments et fixant des procédures relatives à la sécurité des denrées alimentaires ; « - au règlement (CE) n° 1099/2009 du Conseil du 24 septembre 2009 sur la protection des animaux au moment de leur mise à mort ; « - au règlement (CE) n° 396/2005 du Parlement européen et du Conseil du 23 février 2005 concernant les limites maximales applicables aux résidus de pesticides présents dans ou sur les denrées alimentaires et les aliments pour animaux d'origine végétale et animale ; « - au règlement (CE) n° 1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques ; « II. – Le montant de l’amende est proportionné à la gravité des manquements constatés ».
🖋️n°CE463 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Le premier alinéa de l’article L. 236‑1 A du livre II du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : 1° Après le mot : « interdit », sont insérés les mots : « d’importer et » ;  2° Après le mot : « européenne », sont insérés les mots : « ou française » 3° Les mots : « cette même réglementation » sont remplacés par les mots : « ces mêmes réglementations ».
🖋️n°CE420 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après le premier alinéa de l’article L. 236‑1 A du code rural et de la pêche maritime, est insérée une phrase ainsi rédigée :  « Il est interdit de proposer à la vente ou de distribuer à titre gratuit des produits horticoles pour lesquels il a été fait usage de produits phytopharmaceutiques non autorisés par la réglementation européenne ou ne respectant pas les exigences d’identification et de traçabilité imposées par cette même réglementation concernant les produits agricoles. »
🖋️n°CE266 Rejeté • Il y a +1 semaine
Titre I bis LEVER LES CONTRAINTES AU MÉTIER D’AGRICULTEUR BIOLOGIQUE Après l’article L. 253‑1 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 253‑1‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 253‑1‑1. – La liberté de produire sans pesticide est garantie aux agriculteurs dont les productions relèvent du mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de la conversion vers ce mode de production. « Les distributeurs et détenteurs de l’autorisation de mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et des adjuvants définis à l’article L. 253‑1 sont responsables de plein droit du préjudice économique résultant de la dissémination de ces produits et de leurs impacts sur les productions relevant du mode de production biologique visées au précédent alinéa. « Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application du présent alinéa. »
🖋️n°CE701 Rejeté • Il y a +1 semaine
Titre I bis LEVER LES CONTRAINTES AU MÉTIER D’AGRICULTEUR BIOLOGIQUE Après l’article L. 253‑1 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 253‑1‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 253‑1‑1 (nouveau). – La liberté de produire sans pesticide est garantie aux agriculteurs dont les productions relèvent du mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de la conversion vers ce mode de production. « Les distributeurs et détenteurs de l’autorisation de mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et des adjuvants définis à l’article L. 253‑1 sont responsables de plein droit du préjudice économique résultant de la dissémination de ces produits et de leurs impacts sur les productions relevant du mode de production biologique visées au précédent alinéa. « Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application du présent alinéa. »
🖋️n°CE478 Irrecevable • Il y a +1 semaine
L'article L. 236‑1 A du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié :  1° Après le premier alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « En conséquence, aucun accord de libre-échange ne peut être conclu sans la mise en place de mesures miroirs effectives obligeant les opérateurs économiques qui exportent vers l’Union européenne et la France à faire certifier les conditions de production et de transformation des produits importés par un organisme tiers agréé sur le sol du pays exportateur. » 2° Le deuxième alinéa est complété par les mots : « et les règles précisées au second alinéa ».
🖋️n°CE464 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Au deuxième alinéa de l’article L. 236‑1 A du livre II du code rural et de la pêche maritime, après le mot : « administrative », sont insérés les mots : « , en lien avec l’Autorité européenne de sécurité des aliments et l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail »
🖋️n°CE467 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Le deuxième alinéa de l’article L. 236‑1A du code rural et de la pêche maritime est complété par une phrase ainsi rédigée : « Lorsqu’elle constate une méconnaissance de l’interdiction mentionné au précédent alinéa, l’autorité administrative compétente prononce une sanction pécuniaire dont le montant ne peut excéder 10 % du chiffre d’affaires moyen annuel, calculé sur les trois derniers chiffres d’affaires annuels connus à la date des faits. »
🖋️n°CE248 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Au troisième alinéa de l’article L. 236‑1 A du code rural et de la pêche maritime, le mot : « peuvent » est remplacé par le mot : « doivent ».
🖋️n°CE465 Irrecevable • Il y a +1 semaine
L’article L. 236‑1 A du code rural et de la pêche maritime est complété par deux alinéas ainsi rédigés : « En conséquence, aucun accord de libre-échange ne peut être conclu sans la mise en place de mesures miroirs effectives obligeant les opérateurs économiques qui exportent vers l’Union européenne et la France à faire certifier les conditions de production et de transformation des produits importés par un organisme tiers agréé sur le sol du pays exportateur.  Les modalités d’application du présent article sont précisées par voie réglementaire. »
🖋️n°CE561 Rejeté • Il y a +1 semaine
La Section 1 du Chapitre III du Titre V du Livre II du code rural et de la pêche maritime est complétée par un article ainsi rédigé : « Art. L. 253‑1‑2 – Lorsqu’elle envisage de délivrer une autorisation de mise sur le marché pour un produit mentionné au premier alinéa de l’article L. 253‑1, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail soumet le projet de décision à la procédure prévue à l’article L. 123‑19‑1 du code de l’environnement. »
🖋️n°CE557 Rejeté • Il y a +1 semaine
Le cinquième alinéa de l’article L. 253‑6 du code rural et de la pêche maritime est complété par un alinéa ainsi rédigé : « En application des articles 3 et 5 de la Charte de l’environnement de 2004, conformément aux articles 36, 44, 69, 71, le plan national d’action prévoit les objectifs quantitatifs, les mesures et calendriers en vue de mettre fin à l’utilisation de produits phytopharmaceutiques herbicides de synthèse sur le territoire national ainsi qu’à court terme l’interdiction de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques contenant la substance active « glyphosate » à compter du 1er juillet 2026. »
🖋️n°CE533 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’article L253‑6 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L253‑6‑1 ainsi rédigé :  « Art. L253‑6‑1. – Un plan d’action national fixe les objectifs quantitatifs, les mesures et calendriers en vue de maîtriser et d’amoindrir la dépendance de la France aux importations de produits phytopharmaceutiques, notamment d’engrais et de pesticides de synthèse et de viser la fin de l’utilisation des intrants chimiques. Ce plan national concourent à améliorer l’efficacité des modes de production n’utilisant pas d’intrants de synthèse. Il comprend des indicateurs de suivi des objectifs fixés.  « Le plan d’action national est arrêté après avis d’une instance de concertation et de suivi. Cette instance comprend notamment des représentants des organisations professionnelles concernées, des organismes publics intéressés, des associations nationales de protection de l’environnement agréées, des organisations syndicales représentatives, des organismes de recherche compétents et des associations nationales de défense des consommateurs agréées. Sa composition est fixée par décret. Elle est présidée par les ministres chargés de l’agriculture, de l’environnement, de la santé et de la recherche. »
🖋️n°CE572 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Le dernier alinéa de l’article L. 253‑6 du code rural et de la pêche maritime est complété par la phrase suivante : « Le ministre chargé de l’agriculture rend compte chaque année devant les commissions compétentes de l’Assemblée nationale et du Sénat de la mise en œuvre de la stratégie nationale de déploiement du biocontrôle ainsi que des positions défendues par la France dans le cadre des négociations européennes concernant le cadre règlementaire qui leur est applicable. »
🖋️n°CE688 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Après l’article l’article L253‑6 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article 253‑6-1 ainsi rédigé :  « Art L. 253‑6-1. – Pour répondre aux objectifs du plan d’action national mentionné à l’article L. 253‑6 du présent code, l’État s’assure que les surfaces agricoles cultivées en agriculture biologique au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou en cours de conversion vers ce mode de production soient maintenues comme telles ». 
🖋️n°CE529 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’article 1er, insérer un article ainsi rédigé : « Au début de la section 6 du Chapitre III du Titre V du Livre II du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 253‑7 A ainsi rédigé : « Art. L. 253‑7 A (nouveau). – Tout exploitant ou salarié agricole utilisateur à titre professionnel de produits phytopharmaceutiques mentionnés à l’article L. 253‑1 a droit à une information claire et complète sur les maladies professionnelles liées à l’usage de ces produits et sur le fonds d’indemnisation des victimes de pesticides défini à l’article L. 723‑13‑3. « Un décret, pris après avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail et du Conseil central d’administration de la Caisse centrale de la mutualité sociale agricole, précise le contenu de cette information. »
🖋️n°CE238 Rejeté • Il y a +1 semaine
Le chapitre III du titre V du livre II du code rural et de la poêche maritime est ainsi modifié : 1° Le 2° de l’article L. 253‑7‑1 est ainsi rédigé : « 2° L’utilisation des produits mentionnés au même article L. 253‑1 est interdite dans une zone tampon de 200 mètres autour des lieux mentionnés au 1° du présent article ainsi que dans une zone tampon de 200 mètres autour des centres hospitaliers et des hôpitaux, des établissements de santé privés, des maisons de santé, des maisons de réadaptation fonctionnelle, des établissements qui accueillent ou hébergent des personnes âgées et des établissements qui accueillent des personnes adultes handicapées ou des personnes atteintes de pathologie grave, ainsi que des lieux d’habitations à partir des limites de la propriété et des établissements recevant du public, quelle que soit leur catégorie. » 2° Après le 2° de l’article L. 253‑7‑1, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Les produits exclus ne peuvent pas être des produits reconnus comme des cancerogènes, mutagènes ou reprotoxiques de catégorie 1a, 1b et 2, au sens du règlement (CE) n° 1272/2008 du Parlement européen et du Conseil du 16 décembre 2008 relatif à la classification, à l’étiquetage et à l’emballage des substances et des mélanges, modifiant et abrogeant les directives n° 67/548/CEE et n° 1999/45/CE et modifiant le règlement (CE) n° 1907/2006, ni comme des perturbateurs endocriniens au sens du règlement (UE) n° 2018/605 de la Commission du 19 avril 2018 modifiant l’annexe II du règlement (CE) n° 1107/2009 en établissant des critères scientifiques pour la détermination des propriétés perturbant le système endocrinien. »
🖋️n°CE387 Rejeté • Il y a +1 semaine
Le chapitre III du titre V du livre II du code rural et de la poêche maritime est ainsi modifié : 1° Le 2° de l’article L. 253‑7‑1 est ainsi rédigé : « 2° L’utilisation des produits mentionnés au même article L. 253‑1 est interdite dans une zone tampon de 200 mètres autour des lieux mentionnés au 1° du présent article ainsi que dans une zone tampon de 200 mètres autour des centres hospitaliers et des hôpitaux, des établissements de santé privés, des maisons de santé, des maisons de réadaptation fonctionnelle, des établissements qui accueillent ou hébergent des personnes âgées et des établissements qui accueillent des personnes adultes handicapées ou des personnes atteintes de pathologie grave, ainsi que des lieux d’habitations à partir des limites de la propriété et des établissements recevant du public, quelle que soit leur catégorie. » 2° Après le 2° de l’article L. 253‑7‑1, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Les produits exclus ne peuvent pas être des produits reconnus comme des cancerogènes, mutagènes ou reprotoxiques de catégorie 1a, 1b et 2, au sens du règlement (CE) n° 1272/2008 du Parlement européen et du Conseil du 16 décembre 2008 relatif à la classification, à l’étiquetage et à l’emballage des substances et des mélanges, modifiant et abrogeant les directives n° 67/548/CEE et n° 1999/45/CE et modifiant le règlement (CE) n° 1907/2006, ni comme des perturbateurs endocriniens au sens du règlement (UE) n° 2018/605 de la Commission du 19 avril 2018 modifiant l’annexe II du règlement (CE) n° 1107/2009 en établissant des critères scientifiques pour la détermination des propriétés perturbant le système endocrinien. »
🖋️n°CE250 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 253‑7‑2 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 253‑7‑3 ainsi rédigé : « Art. L. 253‑7‑3. – I. – La liberté de produire sans pesticides est garantie aux apiculteurs dans le respect des dispositions communautaires. « II. – Les distributeurs et détenteurs de l’autorisation de mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et des adjuvants définis à l’article L. 253‑1 sont responsables de plein droit du préjudice économique résultant de la dissémination de ces produits et de leurs impacts sur les populations d’abeilles domestiques.  « III. – Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application du présent alinéa. »
🖋️n°CE413 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 253‑7-2 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 253‑7-3 ainsi rédigé : « Art. L. 253‑7-3. – I. – La liberté de produire sans pesticides est garantie aux apiculteurs dans le respect des dispositions communautaires. « II. – Les distributeurs et détenteurs de l’autorisation de mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et des adjuvants définis à l’article L. 253‑1 sont responsables de plein droit du préjudice économique résultant de la dissémination de ces produits et de leurs impacts sur les populations d’abeilles domestiques.  « III. – Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application du présent alinéa. »
🖋️n°CE345 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après le II de l’article L. 253‑8 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un IIbis ainsi rédigé : « II bis. – À compter du 1er janvier 2026, l’utilisation de produits phytopharmaceutiques contenant une ou des substances perfluoroalkylées ou polyfluoroalkylées, ou dont les métabolites sont des substances perfluoroalkylées ou polyfluoroalkylées, est interdite. »
🖋️n°CE233 Rejeté • Il y a +1 semaine
L’article L. 253‑8 du code rural et de la pêche maritime, est complété par un III bis ainsi rédigé : « III bis. – Par délibération de l’organe qui en est gestionnaire, les parcs et réserves mentionnés aux articles L. 331‑1 à L. 336‑2 du code de l’environnement peuvent prévoir des dispositions pour ne pas autoriser l’utilisation des produits phytopharmaceutiques dans leur périmètre, à l’exception des produits phytopharmaceutiques de biocontrôle mentionnés à l’article L. 253‑6 et figurant sur la liste mentionnée au IV de l’article L. 253‑7, des produits autorisés en agriculture biologique et des produits à faible risque au sens de l’article 47 du règlement (CE) n° 1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/ CEE et 91/414/ CEE du Conseil. »
🖋️n°CE386 Rejeté • Il y a +1 semaine
L’article L. 253‑8 du code rural et de la pêche maritime est complété par un V ainsi rédigé : « V. – L’utilisation des produits phytopharmaceutiques contenant la substance active du glyphosate est interdite sur le territoire national. « Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application de cette interdiction. »
🖋️n°CE550 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 253‑8 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article ainsi rédigé : « Art. L. 253‑8‑1A. – I. – Conformément aux articles 36, 44, 69 et 71 du Règlement (CE) n° 1107/2009 du 21 octobre 2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE du Conseil, est interdite sur le territoire national l’utilisation des produits phytopharmaceutiques suivants : « 1° Les produits phytopharmaceutiques contenant la substance active « glyphosate » ; « 2° Les produits phytopharmaceutiques contenant une ou plusieurs substances actives soumises à exclusion ou relevant de la catégorie des cancérigènes, mutagènes, reprotoxiques ; « 3° Les produits phytopharmaceutiques contenant une ou plusieurs substances actives soumises à substitution car elles remplissent deux des trois critères de persistance, de bioaccumulation et de toxicité ; « 4° Les produits phytopharmaceutiques contenant une ou plusieurs substances actives de la classe des fongicides inhibiteurs de la succinate déshydrogénase ; « 5° Les produits ayant fait l’objet d’une alerte de phytopharmacoviligance de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail dans le cadre de la mission définie à l’article L. 253‑8‑1 en raison d’effets indésirables inacceptables sur la santé humaine.  « II – Le I entre en vigueur au plus tard dans un délai d’un an à compter de la promulgation de la présente loi. Un décret, publié dans un délai d’un mois à compter de la promulgation de la présente loi, précise la liste des substances mentionnées du 2° au 5° du I. »
🖋️n°CE231 Rejeté • Il y a +1 semaine
Le IV de l’article L. 253‑8‑2 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : 1° À la première phrase, le mot : « plafonné » est remplacé par les mots : « au moins égal » ; 2° Après la première phrase, il est inséré une phrase ainsi rédigée : « Le seuil du taux de la taxe n’est pas applicable aux produits de biocontrôle figurant sur la liste mentionnée à l’article L. 253‑5. »
🖋️n°CE600 Rejeté • Il y a +1 semaine
Le IV de l’article L. 253‑8‑2 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : « 1° À la première phrase, le mot : « plafonné » est remplacé par les mots : « au moins égal » ; « 2° Après la première phrase, il est inséré une phrase ainsi rédigée : « Le seuil du taux de la taxe n’est pas applicable aux produits de biocontrôle figurant sur la liste mentionnée à l’article L. 253‑5. »
🖋️n°CE342 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 253‑8-2 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 253‑8-2‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 253‑8-2‑1. – Les données relatives à l’utilisation par les exploitants mentionnés à l’article L. 257‑1 des produits phytopharmaceutiques mentionnés au II de l’article L. 253‑8 en application du décret prévu au II ter du même article, sont mises à la disposition du public dans un format ouvert, aisément réutilisable et exploitable par un système de traitement automatisé, sous une forme garantissant leur caractère anonyme. »
🖋️n°CE265 Irrecevable • Il y a +1 semaine
La section 6 du chapitre III du titre V du livre II du code rural et de la pêche maritime est complétée par un article L. 253‑8‑4 ainsi rédigé : « Art. 253‑8‑4. – Les données définies à l’annexe I du règlement d’exécution (UE) 2023/564 de la Commission relatives à l’utilisation des produits phytopharmaceutiques mentionnés à l’article L. 253‑1 par les exploitants mentionnés à l’article L. 257‑1, sont enregistrées sous forme électronique, dans un format lisible par machine au sens du 13 de l’article 2 de la directive (UE) 2019/1024. « Elles sont rendues accessibles à l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail, dans le cadre de ses missions et du dispositif de surveillance dénommé phytopharmacovigilance défini à l’article L. 253‑8‑1. « Ces informations sont mises à la disposition du public dans un format ouvert, aisément réutilisable et exploitable par un système de traitement automatisé, sous une forme garantissant leur caractère anonyme. »
🖋️n°CE542 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE247 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Au troisième alinéa de l’article L. 236‑1 A du code rural et de la pêche maritime, après les mots : « de l’agriculture », sont insérés les mots : « , de la santé ».
🖋️n°CE412 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Au troisième alinéa de l’article L. 236‑1 A du code rural et de la pêche maritime, après les mots : « de l’agriculture », sont insérés les mots : « , de la santé ».  
🖋️n°CE603 Irrecevable • Il y a +1 semaine
L’article L. 1313‑1 du code de la santé publique est ainsi modifié : 1° Au huitième alinéa, le mot : « évaluant » est remplacé par les mots : « organisant la supervision systématique des essais et en réalisant leur interprétation pour évaluer » ; 2° Après le huitième alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Elle assure une évaluation objective et transparente de l’impact des produits réglementés, au regard des connaissances scientifiques et techniques actuelles, en tenant compte des données scientifiques les plus fiables ainsi que des résultats les plus récents de la recherche internationale. » ; 3° Aux onzième et douzième alinéas, après le mot : « relatives », sont insérés les mots : « à l’organisation, à la supervision et à l’interprétation des essais d’évaluation de l’impact de ces produits, » ; 4° Au quinzième alinéa, après la première occurrence du mot : « risques », sont insérés les mots : « par la définition, l’organisation, la supervision et l’interprétation des essais d’évaluation de l’impact des produits réglementés ».
🖋️n°CE223 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après le deuxième alinéa de l’article L. 1321‑5 du code de la santé publique, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Une liste nationale de contrôle de la présence de métabolites de pesticides dans les eaux destinées à la consommation humaine est établie chaque année par le ministre chargé de la santé, après avis conforme de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail mentionnée à l’article L. 1313‑1. Une liste spécifique est établie pour les collectivités régies par les articles 73 et 74 de la Constitution. Le contrôle sanitaire inclut également le contrôle de la présence de métabolites de pesticides dont la recherche est justifiée au regard des circonstances locales d’utilisation ou des quantités vendues de produits phytopharmaceutiques dans le département. »
🖋️n°CE599 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après le deuxième alinéa de l’article L. 1321‑5 du code de la santé publique, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Une liste nationale de contrôle de la présence de métabolites de pesticides dans les eaux destinées à la consommation humaine est établie chaque année par le ministre chargé de la santé, après avis conforme de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail mentionnée à l’article L. 1313‑1. Une liste spécifique est établie pour les collectivités régies par les articles 73 et 74 de la Constitution. Le contrôle sanitaire inclut également le contrôle de la présence de métabolites de pesticides dont la recherche est justifiée au regard des circonstances locales d’utilisation ou des quantités vendues de produits phytopharmaceutiques dans le département. »
🖋️n°CE221 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 3232‑8 du code de la santé publique, il est inséré un article L. 3232‑8‑1 ainsi rédigé :  « Art. L. 3232‑8‑1. – Afin de faciliter le choix du consommateur au regard des effets des produits phytopharmaceutiques sur la santé humaine et sur l’environnement, toute denrée alimentaire produite à partir de produits agricoles ayant été cultivés avec un traitement phytopharmaceutique doit être signalée par voie de marquage ou d’étiquetage ou par tout autre procédé adapté. Il est visible ou accessible pour le consommateur, en particulier au moment de l’acte d’achat. »
🖋️n°CE680 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 3232‑8 du code de la santé publique, il est inséré un article L. 3232‑8‑1 ainsi rédigé :  « Art. L. 3232‑8‑1. Afin de faciliter le choix du consommateur au regard des effets des produits phytopharmaceutiques sur la santé humaine et sur l’environnement et sans préjudice au Règlement (UE) no 1169/2011 concernant l’information des consommateurs sur les denrées alimentaires, les unités de conditionnement et les emballages extérieurs des denrées alimentaires produites à partir de produits agricoles ayant fait l’objet d’un traitement phytopharmaceutique, portent, dans les conditions fixées par un arrêté du ministre chargé de la santé : « a) Un avertissement sanitaire et environnemental, combiné avec une photographie ; « b) Un avertissement général  « c) Un message d’information, comportant notamment la liste de tous les produits phytopharmaceutiques utilisés  « Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application du présent article. »
🖋️n°CE681 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 3232‑8 du code de la santé publique, il est inséré un article L. 3232‑8‑1 ainsi rédigé :  « Art. L. 3232‑8‑1 (nouveau). – Afin de faciliter le choix du consommateur au regard des effets des produits phytopharmaceutiques sur la santé humaine et sur l’environnement, et sans préjudice au Règlement (UE) no 1169/2011 concernant l’information des consommateurs sur les denrées alimentaires, toute denrée alimentaire produite à partir de produits agricoles ayant été cultivés avec un traitement phytopharmaceutique doit être signalée par voie de marquage ou d’étiquetage ou par tout autre procédé adapté. Il est visible ou accessible pour le consommateur, en particulier au moment de l’acte d’achat.  « Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application du présent article »
🖋️n°CE682 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 3232‑8 du code de la santé publique, il est inséré un article L. 3232‑8‑1 ainsi rédigé :  « Art L. 3232‑8‑1 – Sans préjudice porté au règlement (UE) no 1169/2011 concernant l’information des consommateurs sur les denrées alimentaires. L’étiquetage des fruits et légumes frais non transformés sans conditionnement en plastique ayant été cultivés avec un traitement phytopharmaceutique, porte, dans les conditions fixées par un arrêté du ministre chargé de la santé : « a) Un avertissement sanitaire et environnemental, combiné avec une photographie ; « b) Un avertissement général ; « c) Un message d’information, comportant notamment le nom des produits phytopharmaceutiques utilisés  « Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application du présent article. »
🖋️n°CD450 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique, il est inséré un article L. 1313‑1‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 1313‑1‑1. – Lorsqu’une décision relative à la délivrance, à la modification et au retrait des autorisations préalables à la mise sur le marché et à l’expérimentation prévues aux onzième et treizième alinéas de l’article L. 1313‑1 présente un risque avéré de distorsion de concurrence avec un autre État membre de l’Union européenne, le ministre de l’agriculture ou le ministre de l’économie peut saisir le comité de suivi des autorisations de mise sur le marché prévu à l’article L. 1313‑6 du même code d’une demande de rapport qui doit être publié, au plus tard, trente jours après la saisine. « Ce rapport présente les détails de la balance entre les risques sanitaires et environnementaux et les risques de distorsion de concurrence sur le marché européen. Il en présente également les conséquences pour le marché français et évalue l’efficience des solutions alternatives. « Une annexe au rapport intègre un avis de la direction générale de la performance économique et environnementale des entreprises. « Si les conclusions du rapport s’avèrent négatives pour le marché français alors le ministre de l’agriculture effectue une demande de dérogation auprès des instances de l’Union européenne. »
🖋️n°CD334 Rejeté • Il y a +2 semaines
Dans un délai d’un an à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur les différences des régimes d’autorisation de mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques dans les pays avec lesquels la France entretient des partenariats commerciaux. Ce rapport comprend notamment un état des lieux des écarts non justifiés par des considérations agronomiques, environnementales ou sanitaires dans les listes de produits phytopharmaceutiques autorisés dans chaque pays partenaire, en identifiant les substances actives interdites en France mais autorisées dans ces pays, ainsi que leurs impacts sur la compétitivité des exploitations agricoles françaises. Il présente également des mesures de protection de l’agriculture française et de sa compétitivité et propose un mécanisme de résorption de ces écarts, incluant des mesures à court terme telles que la reconnaissance mutuelle des autorisations ou l’accélération des procédures d’équivalence et présente des solutions d’harmonisation de long terme.
🖋️n°CE457 Rejeté • Il y a +1 semaine
I. – À compter du 1er janvier 2026, l’État se fixe pour objectif d’articuler la déclinaison du plan écophyto 2030 à l’échelle nationale en s’appuyant sur le Secrétariat général à la planification niveau nationale et sur les directions régionales de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt au niveau territorial, en garantissant : 1° la réduction de 50 % de l’utilisation et des risques globaux d’ici 2030 par rapport à la moyenne triennale 2011‑2013 ; 2° la recherche d’alternatives pour se préparer à la réduction du nombre de substances actives autorisées ; 3° le déploiement dans toutes les exploitations des solutions agroécologiques ;  4° la réduction des risques pour la santé et pour l’environnement de l’usage des produits phytopharmaceutiques ; 5° la recherche, l’innovation et la formation ;  6° un pilotage financier révisé portant sur l’ensemble des crédits déployés, et être directement articulé aux grands déterminants que sont la PAC, le PSN et les règles de marché.  II. – Les directions régionales de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt peuvent assurer la déclinaison territoriale des objectifs et des actions mises en oeuvre dans le cadre du plan écophyto mentionné au présent I par l’élaboration d’une feuille de route qui précise notamment : 1° les spécificités régionales par un diagnostic de la situation au regard de l’usage des produits phytopharmaceutiques ; 2° les les objectifs régionaux de réduction d’usage, ainsi que les enjeux régionaux et les actions prioritaires régionales à conduire, le cas échéant par territoire, pour répondre aux enjeux ainsi identifiés, pour les zones agricoles et les jardins, espaces verts et infrastructures (JEVI) ; 3° la cohérence entre les plans déclinés localement ; 4° les acteurs locaux et les filières agricoles mobilisés pour réduire l’utilisation des produits phytopharmaceutiques. III. – Le ministre de l’agriculture peut réunir un comité interministériel composé notamment des ministres de l’écologie, de la recherche, de la santé, de l’économie et de l’industrie afin d’assurer le suivi et la déclinaison du plan écophyto 2030 mentionné aux présents I et II et en charge de traiter les enjeux de santé humaine et environnementale dans une approche globale. 
🖋️n°CE459 Irrecevable • Il y a +1 semaine
I. – À compter du 1er janvier 2026, l’État se fixe pour objectif de mettre en place un fonds permanent d’innovation agroécologique au service des agriculteurs permettant d’accompagner financièrement les mutations permettant d’atteindre les objectifs attendus par le plan Ecophyto.  II. – Le versement des aides aux agriculteurs éligibles au fonds mentionné au présent I peut répondre à quatre principes de priorisation : – la réduction des impacts de santé environnementale les plus significatifs ; – le soutien aux filières qui jouent un rôle clé dans notre souveraineté alimentaire et pour qui la baisse de l’usage des produits phytopharmaceutiques représente une prise de risque importante ; – une reconnaissance équitable des efforts économiques que doivent consentir les agriculteurs ; – une reconnaissance équitable de la charge de travail supplémentaire que pourra impliquer la transition.
🖋️n°CE462 Irrecevable • Il y a +1 semaine
La France se fixe comme objectif de faire adopter un principe général d’inversion de la charge de la preuve pour le respect des mesures miroirs, obligeant les opérateurs économiques qui exportent vers l’Union européenne à faire certifier les conditions de production et de transformation par un organisme tiers lui-même agréé par l’Union européenne.
🖋️n°CE770 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Le Gouvernement fixe par décret la date d’une journée nationale d’hommage aux agriculteurs victimes de pesticides.
🖋️n°CE264 Irrecevable • Il y a +1 semaine
I – À compter du 1er janvier 2026, à titre expérimental et pour une durée de trois ans, l’État peut autoriser la mise en place d’un mécanisme d’assurance-risque comme alternative socio-économique à l’utilisation des produits phytopharmaceutiques visés à l’article L. 253‑1 du code rural et de la pêche maritime, pour favoriser le déploiement des méthodes alternatives telles que définies aux troisième et quatrième alinéas de l’article L. 254‑6‑4 du même code. II – Un décret détermine les modalités de mise en œuvre de cette expérimentation. Le ministre de l’agriculture arrête la liste des productions agricoles et des territoires participant à cette expérimentation, dans la limite de trois régions. III – Dans un délai de six mois avant le terme de l’expérimentation, le Gouvernement adresse au Parlement un rapport d’évaluation qui présente des recommandations en vue de la généralisation éventuelle de ce mécanisme.
🖋️n°CE246 Rejeté • Il y a +1 semaine
Dans l’attente de la modification des règlements (UE) 2021/2117 du Parlement européen et du Conseil du 2 décembre 2021 modifiant les règlements (UE) n°1308/2013 portant organisation commune des marchés dans le secteur des produits agricoles, (UE) n°1151/2012 relatif aux systèmes de qualité applicables aux produits agricoles et aux denrées alimentaires, (UE) n°251/2014 concernant la définition, la description, la présentation, l’étiquetage et la protection des indications géographiques des produits vinicoles aromatisés et (UE) n°228/2013 portant mesures spécifiques dans le domaine de l’agriculture en faveur des régions ultrapériphériques de l’Union, pour l’application des dispositions du deuxième et du troisième alinéas de l’article L. 236‑1A du code rural et de la pêche maritime, il est tenu compte : 1° En ce qui concerne les produits phytopharmaceutiques composés d’une ou plusieurs substances actives non approuvées dans l’Union européenne, de la limite maximale de résidu abaissée au seuil de détermination défini au f du 2 de l’article 3 du règlement (CE) n°396/2005 du Parlement européen et du Conseil du 23 février 2005 concernant les limites maximales applicables aux résidus de pesticides présents dans ou sur les denrées alimentaires et les aliments pour animaux d’origine végétale et animale et modifiant la directive 91/414/CEE du Conseil ; 2° En ce qui concerne les produits phytopharmaceutiques composés d’une ou plusieurs substances actives qui répondent à l’un des critères d’exclusion énoncé par l’annexe II du règlement (CE) n°1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE du Conseil, des méthodes de production des denrées alimentaires ou produits agricoles importés depuis les pays tiers, même en l’absence de dépassement du seuil de détermination de résidu dans ou sur les denrées alimentaires et les aliments pour animaux d’origine végétale et animale ; 3° En ce qui concerne les produits phytopharmaceutiques dont l’utilisation est interdite en France, bien que la ou les substances actives contenues dans ces produits soient encore approuvées dans l’Union européenne, des preuves scientifiques justifiant cette interdiction au regard des risques pour la santé humaine et des risques inacceptables pour l’environnement dès lors qu’elles ont été notifiées par la France sur la base des articles 69 ou 71 du règlement (CE) n°1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE du Conseil.
🖋️n°CE219 Rejeté • Il y a +1 semaine
Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport relatif à l’émission de substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées dans l’environnement en raison de l’utilisation de produits phytosanitaires.
🖋️n°CE319 Rejeté • Il y a +1 semaine
Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport relatif à l’émission de substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées dans l’environnement en raison de l’utilisation de produits phytosanitaires.
🖋️n°CE258 Rejeté • Il y a +1 semaine
Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport présentant les actions menées au niveau européen pour négocier une interdiction des néonicotinoïdes.
🖋️n°CE543 Rejeté • Il y a +1 semaine
Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport présentant les actions menées au niveau européen pour négocier une interdiction des néonicotinoïdes.
🖋️n°CE491 Rejeté • Il y a +1 semaine
Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport relatif aux effets des surtranspositions de normes européennes en matière d’épandage aérien en France.
🖋️n°CE499 Rejeté • Il y a +1 semaine
Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport évaluant la conformité aux normes européennes des produits agricoles importés de pays tiers à l'Union européenne.
🖋️n°CE302 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 1 à 6.
🖋️n°CE483 Tombé • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 1 à 10 les sept alinéas suivants : « I – 1° Le chapitre III du titre Ier du livre III de la première partie du code de la santé publique est ainsi modifié : « a) L’alinéa onze de l’article L. 1313‑1 est supprimé. « b) Au second alinéa de l’article L. 1313‑6‑1, les mots : « des produits phytopharmaceutiques et adjuvants mentionnés à l’article L. 253‑1 du code rural et de la pêche maritime » et les mots : « et des matières fertilisantes et supports de culture en application du onzième alinéa de l’article L. 1313‑1 du présent code » sont supprimés. « 2° Le code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : « a) Le premier alinéa de l’article 253‑1 est ainsi rédigé : « Le ministère chargé de l’agriculture est chargé de délivrer les autorisations de mise sur le marché et d’expérimentation des produits phytopharmaceutiques et des adjuvants vendus seuls ou en mélange, et d’approuver les substances actives, les coformulants, les phytoprotecteurs et les synergistes contenus dans ces produits dans des conditions fixées par décret et par le règlement (CE) n° 1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/ CEE et 91/414/ CEE du Conseil. » « b) Après le mot : « délivrés », la fin de l’article L. 255‑7 est ainsi rédigée : « par le ministère chargé de l’agriculture dans des conditions fixées par décret. ».
🖋️n°CE521 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 1, insérer les deux alinéas suivants :  1° AA Au onzième alinéa de l’article L. 1313‑1, les mots : « , pour les produits phytopharmaceutiques et les adjuvants mentionnés à l’article L. 253‑1 du code rural et de la pêche maritime, ainsi que » sont supprimés. 1° A Au deuxième alinéa de l’article L. 1313‑6‑1, les mots : « des produits phytopharmaceutiques et adjuvants mentionnés à l’article L. 253‑1 du code rural et de la pêche maritime, » sont supprimés .
🖋️n°CE228 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 2, rétablir le 1 dans la rédaction suivante : « 1° Au huitième alinéa de l’article L. 1313‑1, le mot : « évaluant » est remplacé par les mots : « organisant la supervision systématique des essais et en réalisant leur interprétation afin de caractériser » ; ».
🖋️n°CE284 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 2, rétablir le 1° dans la rédaction suivante : « 1° Le quinzième alinéa de l’article L. 1313‑1 est complété par une phrase ainsi rédigée : « Elle prend en considération, dans le cadre de l’évaluation des risques, l’effet cocktail, considéré comme les risques liés aux effets additifs, synergiques, potentialisateurs ou antagonistes de la combinaison de ces produits au regard des principaux mélanges auxquels les exploitants et salariés agricoles ainsi que la population sont exposés. » »
🖋️n°CE522 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 2, insérer les deux alinéas suivants :  « 1° bis Après le troisième alinéa de l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Elle contribue à encourager l’innovation par l’émergence de technologies nouvelles pour répondre aux défis environnementaux, en particulier des technologies et filières de production de fertilisants agricoles sur le sol national, des filières de produits biosourcés et de la chimie végétale, des technologies portant sur l’article L. 258‑1 du code rural et de la pêche maritime et des nouvelles techniques génomiques. »
🖋️n°CE672 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 2, insérer les deux alinéas suivants :  « 1° bis Après le troisième alinéa de l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Elle contribue à encourager l’innovation par l’émergence de technologies nouvelles pour répondre aux défis environnementaux, en particulier des technologies et filières de production de fertilisants agricoles sur le sol national, des filières de produits biosourcés et de la chimie végétale, des technologies portant sur l’article L. 258‑1 du code rural et de la pêche maritime et des nouvelles techniques génomiques. »
🖋️n°CE305 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant : « 1° bis Le huitième alinéa de l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique est complété par les mots : « , à la lumière des données scientifiques les plus fiables et des résultats les plus récents de la recherche internationale. »
🖋️n°CE559 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 2, insérer les deux alinéas suivants : « 1° bis (nouveau) Après le quinzième alinéa de l’article L. 1313‑1, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Dans l’attente de l’adoption du document d’orientation sur l’évaluation des risques associés aux produits phytopharmaceutiques pour les abeilles par l’Autorité européenne de sécurité des aliments et afin de protéger les pollinisateurs et les auxiliaires des cultures, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail prend en considération, dans le cadre de ses missions définies au onzième alinéa de l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique concernant les produits phytopharmaceutiques, l’évaluation des risques pour les abeilles domestiques et pour les pollinisateurs sauvages, ainsi que pour leurs larves, en tenant compte des effets d’une exposition chronique, des effets sublétaux, des effets à long terme, des effets cumulés, ainsi que des effets sur le comportement. »
🖋️n°CE19 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 2, insérer les deux alinéas suivants : « 1° bis (nouveau) Après le quinzième alinéa de l’article L. 1313‑1, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Dans l’attente de l’adoption du document d’orientation sur l’évaluation des risques associés aux produits phytopharmaceutiques pour les abeilles par l’Autorité européenne de sécurité des aliments, elle prend en considération, dans le cadre de ses missions définies au onzième alinéa concernant les produits phytopharmaceutiques, l’évaluation des risques pour les abeilles domestiques et pour les pollinisateurs sauvages, ainsi que pour leurs larves, en tenant compte des effets d’une exposition chronique, des effets sublétaux, des effets à long terme, des effets cumulés, ainsi que des effets sur le comportement. »
🖋️n°CE614 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant : « 1° bis Toute décision de retrait ou de restriction d’utilisation d’un produit phytosanitaire doit être précédée d’une étude d’impact indépendante démontrant son effet significatif sur la santé publique ou l’environnement, ainsi que de la mise à disposition d’une solution alternative viable pour les utilisateurs. »
🖋️n°CE128 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 3 à 9.
🖋️n°CE585 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 3 à 9.
🖋️n°CE11 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l'alinéa 4.
🖋️n°CE308 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 4.
🖋️n°CE370 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 4.
🖋️n°CE602 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 4.
🖋️n°CE631 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 4.
🖋️n°CE743 Tombé • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 4 à 6 l’alinéa suivant : « aaa) Le premier alinéa est complété par une phrase ainsi rédigée : « Le directeur général informe ses ministres de tutelle avant toute décision mentionnée au onzième alinéa de l’article L. 1313‑1 concernant un usage prioritaire au sens de l’article L. 253‑8‑4 du code rural et de la pêche maritime. » »
🖋️n°CE12 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 4 : « aaa) À la deuxième phrase du second alinéa, après le mot : « agriculture », sont insérés les mots : « ou le ministre chargé de l’environnement ou le ministre chargé de la santé » ; ».
🖋️n°CE618 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 4, substituer aux mots : « en avoir informé » les mots : « avoir consulté ».
🖋️n°CE371 Tombé • Il y a +1 semaine
À la fin de l’alinéa 4, substituer aux mots : « ses ministères de tutelle »  les mots : « le ministère de la santé ».
🖋️n°CE630 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 4, insérer les deux alinéas suivants : « aa) Après le premier alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Le directeur général peut, à l’occasion de l’instruction d’un dossier relevant du onzième alinéa du même article L. 1313‑1, s’en remettre à la décision du ministre chargé de l’agriculture. Le ministre chargé de l’agriculture peut évoquer un dossier relevant du même onzième alinéa et statuer sur ce dossier. » ; « a) Après le second alinéa, il est ajouté un alinéa ainsi rédigé : « Le ministre chargé de l’agriculture peut demander à l’établissement d’examiner en priorité un dossier relevant du onzième alinéa de l’article L. 1313‑1. »
🖋️n°CE21 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l'alinéa 6.
🖋️n°CE604 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 6.
🖋️n°CE741 Tombé • Il y a +1 semaine
I. – Après l’alinéa 6, insérer les six alinéas suivants : 4° Après l’article L. 1313‑1 du même code, insérer un article L. 1313‑1‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 1313‑1‑1. – Lorsqu’une décision relative à la délivrance, à la modification ou au retrait des autorisations préalables à la mise sur le marché ou à l’expérimentation, mentionnées aux onzième à treizième alinéas de l’article L. 1313‑1, est susceptible d’entraîner une distorsion avérée de concurrence avec un autre État membre de l’Union européenne, le ministre chargé de l’agriculture ou le ministre chargé de l’économie peut saisir le comité de suivi des autorisations de mise sur le marché prévu à l’article L. 1313‑6‑1, aux fins d’avis. Cet avis est motivé et rendu public dans un délai maximal de trente jours suivant la saisine. Il comporte une analyse de la balance entre, d’une part, les risques sanitaires et environnementaux et, d’autre part, les risques de distorsion de concurrence sur le marché intérieur européen et international. Il présente également les conséquences économiques potentielles pour le marché national et évalue l’efficience des alternatives disponibles. Une annexe à cet avis comprend l’analyse de la direction générale de la performance économique et environnementale des entreprises. Lorsque les conclusions de l’avis mettent en évidence un impact défavorable significatif sur le marché français, une demande de dérogation peut être introduite auprès des instances compétentes de l’Union européenne. La saisine du comité de suivi en application du présent article suspend la décision de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail jusqu’à la publication de l’avis. Si l’avis met en évidence un impact défavorable significatif sur le marché français, alors la décision est suspendue en attente de la réponse des instances européennes à la demande de dérogation. » II. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services. »
🖋️n°CE22 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 8 et 9.
🖋️n°CE309 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 8 et 9.
🖋️n°CE372 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 8 et 9.
🖋️n°CE605 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 8 et 9.
🖋️n°CE23 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l'alinéa 9.
🖋️n°CE606 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 9.
🖋️n°CE794 Tombé • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi l’alinéa 9 : « Lorsqu’elle est saisie d’une demande de reconnaissance mutuelle d’autorisation de mise sur le marché prévue à l’article 40 du règlement (CE) n°1107/2009 du Parlement européen et du Conseil, du 21 octobre 2009, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail invite le demandeur à fournir les informations dont la liste est établie par voie règlementaire, qui sont propres aux caractéristiques du territoire national et qui ne figurent pas dans le rapport d’évaluation de l’État membre de référence en raison de l’appartenance à une zone géographique différente. »
🖋️n°CE24 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 9 : « Lorsqu’elle envisage de délivrer une autorisation de mise sur le marché pour un produit mentionné au premier alinéa, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail soumet le projet de décision à la procédure prévue à l’article L. 123-19-1 du code de l’environnement. »
🖋️n°CE373 Tombé • Il y a +1 semaine
I. – À la première phrase de l’alinéa 9, substituer aux mots : « est tenue, préalablement à l’adoption de toute décision de rejet, de » le mot : « peut ». II. – En conséquence, au même alinéa, substituer aux mots : « envisager de rejeter »  le mot :  « rejette ».
🖋️n°CE375 Tombé • Il y a +1 semaine
À la deuxième phrase de l’alinéa 9, supprimer les mots : : « dans les meilleurs délais ».
🖋️n°CE376 Tombé • Il y a +1 semaine
À la troisième phrase de l’alinéa 9, supprimer les mots : « aux fins d’adoption de sa décision ».
🖋️n°CE487 Tombé • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 9 par les deux phrases suivantes : « Après étude de ces éléments, le ministre chargé de l’agriculture accepte, ou refuse, ce retrait ou rejet d’autorisation de mise sur le marché. En cas de refus du ministère, l’autorisation de mise sur le marché est automatiquement reconduite pour une durée prévue par décret. »
🖋️n°CD2 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi cet article : « I. – Les articles 1er et 2 de la loi n° 2020‑1578 du 14 décembre 2020 relative aux conditions de mise sur le marché de certains produits phytopharmaceutiques en cas de danger sanitaire pour les betteraves sucrières sont abrogés. « II. – Le IV de l’article L. 253‑8 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : « 1° Après le mot : « précitée, », sont insérés les mots : « ainsi que la production, le stockage et la circulation de ces substances actives non approuvées, » ; « 2° Est complété par une phrase ainsi rédigée : « Il en va de même des substances et des produits phytopharmaceutiques contenant des substances dont les autorisations, au titre du même règlement (CE) n° 1107/2009 précédemment mentionné, ont expiré ». »
🖋️n°CD474 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 1 à 9.
🖋️n°CD17 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 1 à 9.
🖋️n°CD283 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 1 à 9.
🖋️n°CD398 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 1 à 9.
🖋️n°CD455 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 1 à 9.
🖋️n°CD107 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 2, rétablir le 1 dans la rédaction suivante : « 1° Au huitième alinéa de l’article L. 1313‑1, le mot : « évaluant » est remplacé par les mots : « organisant la supervision systématique des essais et en réalisant leur interprétation afin de caractériser » ; ».
🖋️n°CD106 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant : « 1° bis Le huitième alinéa de l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique est complété par les mots : « , à la lumière des données scientifiques les plus fiables et des résultats les plus récents de la recherche internationale. »
🖋️n°CD108 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant : « 1° bis Au onzième alinéa de l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique, après les mots : « relatives à », sont insérés les mots : « l’organisation, à la supervision et à l’interprétation systématiques des essais nécessaires à l’évaluation de l’impact des produits ainsi qu’à ».
🖋️n°CD109 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant : « 1° bis Au douzième alinéa de l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique, après les mots : « relatives à », sont insérés les mots : « l’organisation, à la supervision et à l’interprétation systématiques des essais nécessaires à l’évaluation de l’impact des produits ainsi qu’à » ; ».
🖋️n°CD18 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 2, rétablir le 1 dans la rédaction suivante : « 1° Le quinzième alinéa de l’article L. 1313‑1 est complété par une phrase ainsi rédigée : « Elle prend en considération, dans le cadre de l’évaluation des risques, l’effet cocktail, considéré comme les risques liés aux effets additifs, synergiques, potentialisateurs ou antagonistes de la combinaison de ces produits au regard des principaux mélanges auxquels les exploitants et salariés agricoles ainsi que la population sont exposés. » »
🖋️n°CD258 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 2, insérer les deux alinéas suivants : « 1° bis Après le quinzième alinéa de l’article L. 1313‑1, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :  « Dans l’attente de l’adoption du document d’orientation sur l’évaluation des risques associés aux produits phytopharmaceutiques pour les abeilles par l’Autorité européenne de sécurité des aliments, elle prend en considération, dans le cadre de ses missions définies au onzième alinéa concernant les produits phytopharmaceutiques, l’évaluation des risques pour les abeilles domestiques et pour les pollinisateurs sauvages, ainsi que pour leurs larves, en tenant compte des effets d’une exposition chronique, des effets sublétaux, des effets à long terme, des effets cumulés, ainsi que des effets sur le comportement. »
🖋️n°CE514 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CD204 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 3 à 9.
🖋️n°CD412 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 3 à 9.
🖋️n°CD284 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 3 et 4.
🖋️n°CD19 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l'alinéa 4.
🖋️n°CD242 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l'alinéa 4.
🖋️n°CD20 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 4 : « aaa) À la deuxième phrase du second alinéa, après le mot : « agriculture », sont insérés les mots : « ou le ministre chargé de l’environnement ou le ministre chargé de la santé » ; ».
🖋️n°CD21 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l’alinéa 6.
🖋️n°CD22 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 8 et 9.
🖋️n°CD243 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 8 et 9.
🖋️n°CD285 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 8 et 9.
🖋️n°CD23 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l'alinéa 9.
🖋️n°CD24 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 9 : « Lorsqu’elle envisage de délivrer une autorisation de mise sur le marché pour un produit mentionné au premier alinéa, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail soumet le projet de décision à la procédure prévue à l’article L. 123‑19‑1 du code de l’environnement. »
🖋️n°CD422 Tombé • Il y a +2 semaines
À la deuxième phrase de l’alinéa 9, substituer aux mots :  « dans les meilleurs délais »  les mots :  « au moins un mois avant l’adoption de sa décision ». 
🖋️n°CD26 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – Après l’alinéa 10, insérer l’alinéa suivant : « 1° bis La loi n°2025‑365 du 23 avril 2025 visant à améliorer le traitement des maladies affectant les cultures végétales à l’aide d’aéronefs télépilotés est abrogée. » II. – En conséquence, supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CD25 Tombé • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 11 à 46 l’alinéa suivant : « 2° Les articles 1 et 2 de la loi n° 2020‑1578 du 14 décembre 2020 relative aux conditions de mise sur le marché de certains produits phytopharmaceutiques en cas de danger sanitaire pour les betteraves sucrières sont abrogés. »
🖋️n°CD27 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CD203 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CD286 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CD399 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CD413 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CD434 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 12 à 24.
🖋️n°CE292 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE645 Retiré • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 11 à 24.
🖋️n°CD110 Retiré • Il y a +2 semaines
🖋️n°CE303 Tombé • Il y a +1 semaine
Les alinéas 12 à 25 sont remplacés par les dispositions ainsi rédigées : « a) Au I, les mots : « Sous réserve des I bis et I ter, » sont supprimés.  « b) Le I bis et le I ter sont supprimés. »
🖋️n°CD492 Tombé • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 12 à 24 les deux alinéas suivants : « a) Le I bis est ainsi modifié : Au premier alinéa du B, le pourcentage : "20 %" est remplacé par le pourcentage : "30 %". Après le premier alinéa du B du I bis est inséré l’alinéa suivant : « Des programmes d’application par aéronef circulant sans personne à bord sont mis en place à titre d’essai pour une durée maximale de trois ans. Les essais visent à confirmer, pour les types de parcelle ou de culture mentionnés au présent B, les avantages de la pulvérisation par aéronef circulant sans personne à bord, du point de vue des incidences sur la santé humaine et sur l’environnement, par rapport aux applications par voie terrestre. Leurs résultats sont évalués par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. »
🖋️n°CD448 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 14 : « I bis. – Par dérogation au I, la pulvérisation aérienne par aéronef circulant sans personne à bord de produits phytopharmaceutiques au sens du règlement 1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE du Conseil, de produits de biocontrôle mentionnés à l’article L. 253‑6 et de produit autorisés en agriculture biologique est autorisée s’il n’y a pas d’autre solution viable, lorsqu’elle présente des avantages manifestes pour la santé humaine et l’environnement par rapport aux applications par voie terrestre ou en cas de danger sanitaire grave qui ne peut être maitrisé par d’autres moyens. »
🖋️n°CD249 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 15, supprimer les mots : « sur les bananeraies et ».  
🖋️n°CE235 Tombé • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 12 à 24 les trois alinéas suivants : a) Au premier alinéa du B, le pourcentage : « 20 % » est remplacé par le pourcentage : « 30 % » ; b) Après le premier alinéa du B est inséré l’alinéa suivant : « Des programmes d’application par aéronef circulant sans personne à bord sont mis en place à titre d’essai pour une durée maximale de trois ans. Les essais visent à confirmer, pour les types de parcelle ou de culture mentionnés au présent B, les avantages de la pulvérisation par aéronef circulant sans personne à bord, du point de vue des incidences sur la santé humaine et sur l’environnement, par rapport aux applications par voie terrestre. Leurs résultats sont évalués par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. »
🖋️n°CD112 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 24, insérer les deux alinéas suivants : « a bis) Après le I, il est inséré un I bis ainsi rédigé : « I bis. – L’utilisation de produits phytopharmaceutiques contenant une ou des substances perfluoroalkylées ou polyfluoroalkylées, ou dont les métabolites sont des substances perfluoroalkylées ou polyfluoroalkylées, est interdite. »
🖋️n°CD202 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 26 à 38.
🖋️n°CD287 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 26 à 38.
🖋️n°CD28 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – Rédiger ainsi l’alinéa 26 : « Le deuxième et le troisième alinéas du II et le II bis sont supprimés. » II – En conséquence, supprimer les alinéas 27 à 38.
🖋️n°CD143 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 26, après les mots :  « du II » insérer les mots : « et le II bis ».
🖋️n°CD30 Tombé • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 27 à 38 les deux alinéas suivants : « d) Le II bis est ainsi rédigé : « II bis. – L’utilisation des produits phytopharmaceutiques contenant une ou plusieurs substances actives de la classe des fongicides inhibiteurs de la succinate déshydrogénase est interdite à compter du 1er janvier 2026 ».
🖋️n°CD29 Tombé • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 27 à 30 les deux alinéas suivants : « d) Le II bis est ainsi rédigé : « II bis. – L’utilisation des produits phytopharmaceutiques contenant la substance active glyphosate est interdite à compter du 1er janvier 2026. »
🖋️n°CD293 Tombé • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 27 à 30 les deux alinéas suivants : « d) Le II bis est ainsi rédigé : « II bis. – L’utilisation des produits phytopharmaceutiques contenant la substance active glyphosate est interdite à compter du 1er janvier 2026. »
🖋️n°CD221 Tombé • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 27 à 30 les neuf alinéas suivants : « d) Le II bis est ainsi rédigé : « II bis. – Il est créé un Haut Conseil pour la protection de l’entomofaune et des services écosystémiques qu’elle rend à l’agriculture. Ce Haut Conseil comprend, outre son président, dix membres choisis en raison de leur expertise scientifique dans les domaines des sciences des écosystèmes, de l’agronomie, des sols et du climat. « La composition, l’organisation et le fonctionnement de ce Haut Conseil sont fixés par décret. Ses membres exercent leurs fonctions à titre gratuit. « Les membres du Haut Conseil pour la protection de l’entomofaune ne peuvent solliciter ni recevoir aucune instruction du Gouvernement ou de toute autre personne publique ou privée dans l’exercice de leurs missions. Ils adressent à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique une déclaration d’intérêts dans les conditions prévues au III de l’article 4 de la loi n° 2013‑907 du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique. « Le Haut Conseil pour la protection de l’entomofaune rend chaque année un rapport qui porte notamment sur : « 1° L’évolution des populations des insectes et des autres arthropodes sur le territoire national, notamment les pollinisateurs, et de leur diversité biologique ; « 2° L’évaluation de l’impact socio-économique pour l’agriculture et la sécurité alimentaire des pertes de biodiversité et de populations de l’entomofaune ; « 3° La mise en œuvre et l’efficacité des politiques et mesures décidées par l’État pour favoriser la présence d’insectes auxiliaires des cultures, notamment concernant l’efficacité du plan d’action national mentionné à l’article L. 253‑6 du présent code et des plans nationaux d’action opérationnels pour la conservation ou le rétablissement des espèces d’insectes pollinisateurs prévus à l’article L. 411‑3 du code de l’environnement. « Le Haut Conseil pour la protection de l’entomofaune peut se saisir de sa propre initiative ou être saisi par le Gouvernement, le Président de l’Assemblée nationale, le Président du Sénat ou le président du Conseil économique, social et environnemental pour rendre un avis, au regard de sa compétence, sur un projet de loi, une proposition de loi ou toute question relative à son domaine d’expertise. »
🖋️n°CE488 Tombé • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 12 à 24 les 9 alinéas suivants : « a) Le I de l’article L. 253‑8 du code rural et de la pêche maritime est ainsi rédigé : « I. – Sous réserve du I bis, la pulvérisation aérienne des produits phytopharmaceutiques est interdite. « I bis. – 1° En cas de danger sanitaire grave qui ne peut être maîtrisé par d’autres moyens, la pulvérisation aérienne de produits phytopharmaceutiques pour lutter contre ce danger peut être autorisée temporairement par arrêté conjoint des ministres chargés de l’environnement, de l’agriculture et de la santé. « 2° Les programmes d’application par aéronef circulant sans personne à bord de produits phytopharmaceutiques peuvent être autorisés en France lorsqu’ils présentent des avantages manifestes pour la santé des personnes travaillant sur les parcelles à traiter, pour l’environnement, ou pour les deux, par rapport aux applications par voie terrestre, et dès lors qu’ils ont fait l’objet d’une évaluation favorable par l’autorité administrative compétente. « Un arrêté des ministres chargés de l’environnement, de l’agriculture et de la santé, pris après consultation des organisations professionnelles et syndicales concernées, définit les conditions d’autorisation de ces programmes dans les conditions prévues à l’article 9 de la directive 2009/128/CE du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 instaurant un cadre d’action communautaire pour parvenir à une utilisation des pesticides compatible avec le développement durable. « 3° Les programmes mentionnés au 2° peuvent être autorisés à titre d’essai. « L’autorité administrative compétente autorise et évalue ces essais pour tous les produits phytopharmaceutiques autorisés, afin d’évaluer si leur application par aéronef circulant sans personne à bord répond aux conditions d’autorisation définitive prévues à l’article 9 de la directive 2009/128/CE du Parlement européen et du Conseil précité. « Un décret définit les conditions d’autorisation et les modalités de réalisation de ces essais qui garantissent la démonstration des avantages manifestes mentionnés au 2°. « 4° L’autorité administrative publie chaque année une liste des produits phytopharmaceutiques ayant fait l’objet des essais mentionnés au 3° et indique s’ils sont éligibles aux autorisations mentionnées au 2°. »
🖋️n°CD288 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l'alinéa 28.
🖋️n°CD435 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l’alinéa 30.
🖋️n°CD472 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 31 à 38.
🖋️n°CD113 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 31 à 38.
🖋️n°CD289 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 31 à 38.
🖋️n°CD414 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 31 à 38.
🖋️n°CE489 Tombé • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 12 à 24 les 9 alinéas suivants : « a) Le I de l’article L. 253‑8 du code rural et de la pêche maritime est ainsi rédigé : « I – Sous réserve du I bis, la pulvérisation aérienne des produits phytopharmaceutiques est interdite. « I bis. – 1° En cas de danger sanitaire grave qui ne peut être maîtrisé par d’autres moyens, la pulvérisation aérienne de produits phytopharmaceutiques pour lutter contre ce danger peut être autorisée temporairement par arrêté conjoint des ministres chargés de l’environnement, de l’agriculture et de la santé. « 2° Les programmes d’application par aéronef circulant sans personne à bord de produits phytopharmaceutiques peuvent être autorisés en France lorsqu’ils présentent des avantages manifestes pour la santé des personnes travaillant sur les parcelles à traiter et pour l’environnement par rapport aux applications par voie terrestre, et dès lors qu’ils ont fait l’objet d’une évaluation favorable par l’autorité administrative compétente. « Un arrêté des ministres chargés de l’environnement, de l’agriculture et de la santé, pris après consultation des organisations professionnelles et syndicales concernées, définit les conditions d’autorisation de ces programmes dans les conditions prévues à l’article 9 de la directive 2009/128/CE du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 instaurant un cadre d’action communautaire pour parvenir à une utilisation des pesticides compatible avec le développement durable. « 3° Les programmes mentionnés au 2° peuvent être autorisés à titre d’essai. « L’autorité administrative compétente autorise et évalue ces essais pour tous les produits phytopharmaceutiques autorisés, afin d’évaluer si leur application par aéronef circulant sans personne à bord répond aux conditions d’autorisation définitive prévues à l’article 9 de la directive 2009/128/CE du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 précité. « Un décret définit les conditions d’autorisation et les modalités de réalisation de ces essais qui garantissent la démonstration des avantages manifestes mentionnés au 2°. « 4° L’autorité administrative publie chaque année une liste des produits phytopharmaceutiques ayant fait l’objet des essais mentionnés au 3° et indique s’ils sont éligibles aux autorisations mentionnées au 2°. »
🖋️n°CD290 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l'alinéa 31.
🖋️n°CD201 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 32 à 36.
🖋️n°CD200 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l’alinéa 32.
🖋️n°CD291 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l’alinéa 32.
🖋️n°CD400 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 32, après la référence :  « II bis » insérer les mots : « et pour une durée maximale de trois ans ».
🖋️n°CD458 Retiré • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 32, après les mots :  « déroger »  insérer les mots :  « , pour une durée maximale de 120 jours, » ; II. – À l’alinéa 34, supprimer les mots :  « ou manifestement insuffisantes » ; III. – Après l’alinéa 36, insérer un alinéa ainsi rédigé : « Ce décret ne peut concerner que la filière noisettes et la filière pommes. »
🖋️n°CD199 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter l’alinéa 33 par les mots suivants :  « et leur innocuité pour la santé humaine et l’environnement est démontrée scientifiquement ».
🖋️n°CD401 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 34, insérer l’alinéa suivant : « 2° bis L’interdiction d’utilisation des produits mentionnée au II expose les exploitants concernés à des difficultés économiques caractérisées par des pertes d’exploitation significatives ; ».
🖋️n°CD402 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 38, insérer les trois alinéas suivants :  « Le Gouvernement est invité à engager, dans les meilleurs délais, des négociations au sein des instances de l’Union européenne en vue d’interdire l’acétamipride en raison de son effet néfaste sur la biodiversité, et notamment sur les pollinisateurs. « Il veillera, dans ce cadre, à accompagner les agriculteurs dans la transition vers des pratiques agricoles durables. « Le Gouvernement remet au Parlement dans un délai d’un an à compter de la promulgation de la présente loi un rapport sur l’état d’avancement de ces négociations et sur les actions entreprises par la France. »
🖋️n°CD404 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 38, insérer l’alinéa suivant :  « La nation se fixe pour objectif d’indemniser les exploitants agricoles subissant des pertes d’exploitation significatives résultant du retrait d’une autorisation de mise sur le marché d’un produit phytosanitaire, lorsque les substances actives contenues dans les produits sont approuvées en application du règlement (CE) n° 1107/2009 et que les alternatives disponibles à l’utilisation de ces produits sont inexistantes ou manifestement insuffisantes. » 
🖋️n°CD111 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 38, insérer l’alinéa suivant : « II quater. – A compter du 1er janvier 2026, l’utilisation de produits phytopharmaceutiques contenant une ou des substances perfluoroalkylées ou polyfluoroalkylées, ou dont les métabolites sont des substances perfluoroalkylées ou polyfluoroalkylées, est interdite. »
🖋️n°CD244 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 38, insérer les quatre alinéas suivants : « g) Le IV est ainsi modifié : « – les mots : « à compter du 1er janvier 2022 » sont supprimés ; « – après le mot : « précitée », sont insérés les mots : « ou dont les autorisations ont expiré au titre du même règlement (CE) n° 1107/2009 » ; « – est complété par une phrase ainsi rédigée : « Sont également interdits la production, le stockage et la circulation des substances actives non approuvées pour des raisons liées à la protection de la santé humaine ou animale ou de l’environnement conformément au règlement (CE) n° 1107/2009 ou dont les autorisations ont expiré au titre du même règlement (CE) n° 1107/2009 ».
🖋️n°CD31 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 38, insérer les trois alinéas suivants : « g) Le IV est ainsi modifié : « – Après le mot : « précitée, », sont insérés les mots : « ainsi que la production, le stockage et la circulation de ces substances actives non approuvées, » ; « – Est ajoutée une phrase ainsi rédigée : « Il en va de même des substances et des produits phytopharmaceutiques contenant des substances dont les autorisations, au titre du même règlement (CE) n° 1107/2009 précédemment mentionné, ont expiré » ; ».
🖋️n°CD138 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 39 : « 3° L’article L. 253‑8‑3 est ainsi rédigé : « Art. L. 253‑8‑3. – Conformément au Règlement d’exécution (UE) 2023/564 de la Commission, les données définies à l’annexe I de ce même règlement relatives à l’utilisation des produits phytopharmaceutiques mentionnés à l’article L. 253‑1 par les exploitants mentionnés à l’article L. 257‑1, sont enregistrées sous forme électronique, dans un format lisible par machine au sens du 13 de l’article 2 de la directive (UE) 2019/1024 du Parlement européen et du Conseil du 20 juin 2019 concernant les données ouvertes et la réutilisation des informations du secteur public. « Ces données sont rendues accessibles à l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail, dans le cadre de ses missions et notamment du dispositif de surveillance dénommé phytopharmacovigilance défini à l’article L. 253‑8‑1. « Ces informations sont également mises à la disposition du public dans un format ouvert, aisément réutilisable et exploitable par un système de traitement automatisé, sous une forme garantissant leur caractère anonyme. »
🖋️n°CD473 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 40 à 46.
🖋️n°CD32 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 40 à 46.
🖋️n°CD198 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 40 à 46.
🖋️n°CD241 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 40 à 46.
🖋️n°CD292 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 40 à 46.
🖋️n°CD431 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 40 à 46.
🖋️n°CD461 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 40 à 46.
🖋️n°CD445 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 40 à 45.
🖋️n°CD405 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 42, insérer l’alinéa suivant : « Il est composé des représentants de la profession agricole, des représentants des chambres d’agriculture, des représentants des instituts techniques agricoles et des représentants de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement. »
🖋️n°CE526 Tombé • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 12 à 24 les trois alinéas suivants : « Le second alinéa du I est remplacé par un I bis ainsi rédigé : « I bis. – Par dérogation au I, la pulvérisation aérienne par aéronef circulant sans personne à bord de produits phytopharmaceutiques au sens du règlement 1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE du Conseil, de produits de biocontrôle mentionnés à l’article L. 253‑6 et de produit autorisés en agriculture biologique est autorisée s’il n’y a pas d’autre solution viable, lorsqu’elle présente des avantages manifestes pour la santé humaine et l’environnement par rapport aux applications par voie terrestre ou en cas de danger sanitaire grave qui ne peut être maitrisé par d’autres moyens. « Un arrêté conjoint des ministres chargés de l’agriculture, de l’environnement et de la santé définit les conditions de la présente dérogation, conformément à l’article 9 de la directive 2009/128/CE du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 instaurant un cadre d’action communautaire pour parvenir à une utilisation des pesticides compatible avec le développement durable. »
🖋️n°CD273 Tombé • Il y a +2 semaines
À la première phrase de l’alinéa 45, après le mot : « cultural » insérer les mots : « en fonction des spécificités du territoire concerné ».
🖋️n°CE574 Tombé • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 12 à 24 les trois alinéas suivants : « Le second alinéa du I est remplacé par un I bis ainsi rédigé : « I bis. – Par dérogation au I, la pulvérisation aérienne par aéronef circulant sans personne à bord de produits phytopharmaceutiques au sens du règlement 1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE du Conseil, de produits de biocontrôle mentionnés à l’article L. 253‑6 et de produit autorisés en agriculture biologique est autorisée s’il n’y a pas d’autre solution viable, lorsqu’elle présente des avantages manifestes pour la santé humaine et l’environnement par rapport aux applications par voie terrestre ou en cas de danger sanitaire grave qui ne peut être maitrisé par d’autres moyens. « Un arrêté conjoint des ministres chargés de l’agriculture, de l’environnement et de la santé définit les conditions de la présente dérogation, conformément à l’article 9 de la directive 2009/128/CE du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 instaurant un cadre d’action communautaire pour parvenir à une utilisation des pesticides compatible avec le développement durable. »
🖋️n°CE490 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 15, supprimer les mots : « de biocontrôle mentionnés à l’article L. 253‑6 et figurant sur la liste mentionnée au IV de l’article L. 253‑7, de produits autorisés en agriculture biologique et de produits à faible risque au sens de l’article 47 du règlement (CE) n° 1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE du Conseil ».
🖋️n°CE587 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 15, supprimer les mots :  « sur les bananeraies et »
🖋️n°CE625 Retiré • Il y a +1 semaine
I. – Rétablir l’alinéa 25 dans la rédaction suivante : « b) Les II et II bis sont abrogés ; » II. – En conséquence, supprimer les alinéas 26 à 38.
🖋️n°CE295 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE296 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE297 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE298 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE787 Tombé • Il y a +1 semaine
I. – À l’alinéa 32, après les mots : « après avis » insérer les mots : « de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail et » ; II. – À l’alinéa 32, après le mot : « exceptionnel » insérer les mots : « et pour une durée totale ne pouvant excéder trois ans » ; III. – À l’alinéa 32, après les mots : « déroger » insérer les mots : « , pour une durée maximale de 120 jours, renouvelable une fois par an » ; IV. – À l’alinéa 34, supprimer les mots : « ou manifestement insuffisantes » ; V. – Après l’alinéa 34, insérer l’alinéa suivant : « Les filières concernées connaissent une perte de rendement supérieure à 30 % par rapport à la moyenne des cinq années précédentes, et une diminution du potentiel de production supérieur à 15 % par rapport à la moyenne des trois années précédentes » ; VI. – Compléter l’alinéa 35 par les mots : « et les filières mettent en œuvre les préconisations des plans nationaux de recherche et innovation » ; VII. – Après l’alinéa 35, insérer l’alinéa suivant : « Le décret mentionné au premier alinéa du présent II ter est abrogé sans délai dès lors que les conditions mentionnées au présent II ter ne sont plus remplies. ».
🖋️n°CE321 Retiré • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 32, supprimer les mots : « ainsi que des semences traitées avec ces produits ».
🖋️n°CE515 Retiré • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 32, après les mots :  « usage déterminé » Insérer les mots :  « et pour une durée limitée ».
🖋️n°CE324 Retiré • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 34.
🖋️n°CE325 Retiré • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 35.
🖋️n°CE327 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 36, substituer aux mots :  « peut interdire » le mot :  « interdit ».
🖋️n°CE326 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 36, substituer aux mots :  « de semences traitées » les mots : « de ces produits ».
🖋️n°CE328 Tombé • Il y a +1 semaine
compléter l’alinéa 36 par les mots :  « , dans les parcelles concernées par ces traitements ainsi que dans les parcelles situées dans un rayon de 3 kilomètres. »
🖋️n°CE329 Tombé • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 36 par la phrase suivante : « La durée de cette interdiction ne peut être inférieure à la durée de persistance des substances entrant dans la composition des produits mentionnés au II. Cette durée est déterminée par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail et par l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement dans les conditions de pH, d’humidité et de température équivalente à celles de la parcelle concernée, en tenant compte de l’exposition chronique et de la toxicité de ces produits à des doses sublétales, notamment pour les pollinisateurs. »
🖋️n°CE331 Tombé • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi l’alinéa 37 : « Le décret mentionné au présent II ter est pris après un avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail sur les risques pour la santé humaine et l’environnement liés aux dérogations envisagées. Cet avis est rendu public. »
🖋️n°CE333 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l’alinéa 38.
🖋️n°CE316 Retiré • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 38, insérer les quatre alinéas suivants : « g) Le IV est ainsi modifié : « – les mots : « à compter du 1er janvier 2022 » sont supprimés ; « – après le mot : « précitée », sont insérés les mots : « ou dont les autorisations ont expiré au titre du même règlement (CE) n° 1107/2009 » ; « – est complété par une phrase ainsi rédigée : « Sont également interdits la production, le stockage et la circulation des substances actives non approuvées pour des raisons liées à la protection de la santé humaine ou animale ou de l’environnement conformément au règlement (CE) n° 1107/2009 ou dont les autorisations ont expiré au titre du même règlement (CE) n° 1107/2009 ».
🖋️n°CE300 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE337 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l’alinéa 41.
🖋️n°CE446 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l’alinéa 41. 
🖋️n°CE335 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 41, après le mot : « solution », insérer les mots : « de biocontrôle mentionnée à l’article L. 253‑6 ».
🖋️n°CE336 Tombé • Il y a +1 semaine
À la fin de l’alinéa 41, substituer aux mots : « lorsque les alternatives sont inexistantes, insuffisantes ou susceptibles de disparaître à brève échéance » les mots : « conformément aux alinéas 2 à 4 de l’article L. 254‑6‑4. »
🖋️n°CE492 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 41, insérer un 5° ainsi rédigé : « 5° Après l’article 253‑2, il est inséré un article 253‑2‑1 ainsi rédigé : « Le ministère chargé de l’agriculture publie chaque année un rapport détaillant les produits phytopharmaceutiques autorisés en France et en Europe, afin d’évaluer l’efficacité de l’autorité administrative chargée de la délivrance des autorisations de mise sur le marché et les risques de concurrence déloyale au sein de l’Union européenne. »
🖋️n°CE650 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 42 à 46.
🖋️n°CE338 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l’alinéa 42.
🖋️n°CE447 Tombé • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi l’alinéa 42 : « Il est institué un conseil d’appui à la protection des cultures, placé auprès du ministre chargé de l’agriculture. »
🖋️n°CE536 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 42, insérer l’alinéa suivant : « Il est composé des représentants de la profession agricole, des représentants des chambres d’agriculture, des représentants des instituts techniques agricoles et des représentants de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement. »
🖋️n°CE339 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l’alinéa 43.
🖋️n°CE340 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l’alinéa 44.
🖋️n°CE448 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l’alinéa 44. 
🖋️n°CE343 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 45.
🖋️n°CE449 Tombé • Il y a +1 semaine
1° À l'alinéa 45, substituer aux mots :  « pour les usages prioritaires » les mots :  « de manière indépendante » ; 2° À la fin du même alinéa, supprimer les mots :  « tenant compte du cycle cultural et s’emploie à le respecter. Ce calendrier est présenté au conseil d’orientation pour la protection des cultures ».
🖋️n°CE344 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 46.
🖋️n°CE318 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 46, après le mot :  « décret », insérer les mots :  « en Conseil d’État ».
🖋️n°CD453 Retiré • Il y a +2 semaines
Après le quinzième alinéa de l’article L. 1313‑1 du code de la santé publique, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Dans son champ de compétence, et pour les décisions relevant des onzième, douzième, treizième et quatorzième alinéas du présent article, l’agence ne peut prendre des mesures qui ne sont pas nécessaires à la transposition d’une décision d’autorisation de mise sur le marché de l’Union européenne. »
🖋️n°CD180 Retiré • Il y a +2 semaines
🖋️n°CD452 Retiré • Il y a +2 semaines
À la première phrase du deuxième alinéa de l’article L. 1313‑6‑1 du code de la santé publique, les mots : « peut, avant toute décision, » sont remplacés par les mots : « peut, avant toute décision relative aux onzième, douzième, treizième et quatrzième alinéas de l’article L. 1313‑1 du présent code, consulter ou bien être saisi par un ou plusieurs membres du comité d’évaluation des autorisations de mise sur le marché. »
🖋️n°CD376 Retiré • Il y a +2 semaines
Article 3
🖋️n°CD9 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD197 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD296 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD416 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CE138 Adopté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 2 à 9 les huit alinéas suivants :  1° L’article L. 181‑9 est ainsi modifié : – au début du premier alinéa, est ajoutée la référence : « I. – » ; – il est ajouté un II ainsi rédigé : « II. – Par dérogation au I, lorsque que la demande d’autorisation environnementale porte sur un projet destiné à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, l’instruction de la demande se déroule en trois phases : « 1° Une phase d’examen ; « 2° Une phase de consultation du public, qui est réalisée sous la forme d’une enquête publique conformément au chapitre III du titre II du présent livre ; « 3° Une phase de décision. » ; 2° Après la première phrase du premier alinéa du I de l’article L. 181‑10, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Pour les projets destinés à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, elle est réalisée selon les modalités prévues au II de l’article L. 181‑9. »
🖋️n°CE276 Adopté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 2 à 9 les huit alinéas suivants :  1° L’article L. 181‑9 est ainsi modifié : – au début du premier alinéa, est ajoutée la référence : « I. – » ; – il est ajouté un II ainsi rédigé : « II. – Par dérogation au I, lorsque que la demande d’autorisation environnementale porte sur un projet destiné à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, l’instruction de la demande se déroule en trois phases : « 1° Une phase d’examen ; « 2° Une phase de consultation du public, qui est réalisée sous la forme d’une enquête publique conformément au chapitre III du titre II du présent livre ; « 3° Une phase de décision. » ; 2° Après la première phrase du premier alinéa du I de l’article L. 181‑10, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Pour les projets destinés à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, elle est réalisée selon les modalités prévues au II de l’article L. 181‑9. »
🖋️n°CE456 Adopté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 2 à 9 les huit alinéas suivants :  1° L’article L. 181‑9 est ainsi modifié : – au début du premier alinéa, est ajoutée la référence : « I. – » ; – il est ajouté un II ainsi rédigé : « II. – Par dérogation au I, lorsque que la demande d’autorisation environnementale porte sur un projet destiné à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, l’instruction de la demande se déroule en trois phases : « 1° Une phase d’examen ; « 2° Une phase de consultation du public, qui est réalisée sous la forme d’une enquête publique conformément au chapitre III du titre II du présent livre ; « 3° Une phase de décision. » ; 2° Après la première phrase du premier alinéa du I de l’article L. 181‑10, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Pour les projets destinés à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, elle est réalisée selon les modalités prévues au II de l’article L. 181‑9. »
🖋️n°CE637 Adopté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 2 à 9 les huit alinéas suivants :  1° L’article L. 181‑9 est ainsi modifié : – au début du premier alinéa, est ajoutée la référence : « I. – » ; – il est ajouté un II ainsi rédigé : « II. – Par dérogation au I, lorsque que la demande d’autorisation environnementale porte sur un projet destiné à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, l’instruction de la demande se déroule en trois phases : « 1° Une phase d’examen ; « 2° Une phase de consultation du public, qui est réalisée sous la forme d’une enquête publique conformément au chapitre III du titre II du présent livre ; « 3° Une phase de décision. » ; 2° Après la première phrase du premier alinéa du I de l’article L. 181‑10, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Pour les projets destinés à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, elle est réalisée selon les modalités prévues au II de l’article L. 181‑9. »
🖋️n°CE644 Adopté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 2 à 9 les huit alinéas suivants :  1° L’article L. 181‑9 est ainsi modifié : – au début du premier alinéa, est ajoutée la référence : « I. – » ; – il est ajouté un II ainsi rédigé : « II. – Par dérogation au I, lorsque que la demande d’autorisation environnementale porte sur un projet destiné à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, l’instruction de la demande se déroule en trois phases : « 1° Une phase d’examen ; « 2° Une phase de consultation du public, qui est réalisée sous la forme d’une enquête publique conformément au chapitre III du titre II du présent livre ; « 3° Une phase de décision. » ; 2° Après la première phrase du premier alinéa du I de l’article L. 181‑10, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Pour les projets destinés à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, elle est réalisée selon les modalités prévues au II de l’article L. 181‑9. »
🖋️n°CE658 Adopté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 2 à 9 les huit alinéas suivants :  1° L’article L. 181‑9 est ainsi modifié : – au début du premier alinéa, est ajoutée la référence : « I. – » ; – il est ajouté un II ainsi rédigé : « II. – Par dérogation au I, lorsque que la demande d’autorisation environnementale porte sur un projet destiné à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, l’instruction de la demande se déroule en trois phases : « 1° Une phase d’examen ; « 2° Une phase de consultation du public, qui est réalisée sous la forme d’une enquête publique conformément au chapitre III du titre II du présent livre ; « 3° Une phase de décision. » ; 2° Après la première phrase du premier alinéa du I de l’article L. 181‑10, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Pour les projets destinés à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, elle est réalisée selon les modalités prévues au II de l’article L. 181‑9. »
🖋️n°CE715 Adopté • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 12 par les mots :  « (prévention et réduction intégrées de la pollution) ».
🖋️n°CE642 Adopté • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants : « L’article L. 511‑1 du code de l’environnement est ainsi modifié :  « Après le premier alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Les dispositions du présent titre prennent en compte les spécificités des projets des exploitations agricoles, qui font l’objet de procédures et prescriptions adaptées si nécessaire. » 
🖋️n°CE97 Adopté • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par les deux alinéas suivants :  « Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110-1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages bovins, au relèvement des seuils de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE140 Adopté • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants :  « Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110-1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages bovins, au relèvement des seuils de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE278 Adopté • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants :  « Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110-1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages bovins, au relèvement des seuils de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE652 Adopté • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants :  « Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110-1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages bovins, au relèvement des seuils de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE660 Adopté • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants :  « Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110-1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages bovins, au relèvement des seuils de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE274 Adopté • Il y a +1 semaine
I. – Il est instauré un moratoire sur la délivrance des autorisations environnementales prévues aux articles L. 181‑1 à L. 181‑4 du code de l’environnement pour les élevages de saumons dont la totalité du grossissement est prévue dans des installations aquacoles à circuit fermé. II. – Le moratoire prévu au I du présent article est instauré pour une durée de dix ans à compter de la publication de la présente loi. »
🖋️n°CE395 Adopté • Il y a +1 semaine
I. – Il est instauré un moratoire sur la délivrance des autorisations environnementales prévues aux articles L. 181‑1 à L. 181‑4 du code de l’environnement pour les élevages de saumons dont la totalité du grossissement est prévue dans des installations aquacoles à circuit fermé. II. – Le moratoire prévu au I du présent article est instauré pour une durée de dix ans à compter de la publication de la présente loi.
🖋️n°CE422 Adopté • Il y a +1 semaine
I. – Il est instauré un moratoire sur la délivrance des autorisations environnementales prévues aux articles L. 181‑1 à L. 181‑4 du code de l’environnement pour les élevages de saumons dont la totalité du grossissement est prévue dans des installations aquacoles à circuit fermé. II. – Le moratoire prévu au I du présent article est instauré pour une durée de dix ans à compter de la publication de la présente loi. »
🖋️n°CE217 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CE6 Rejeté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CE389 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CE589 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CE263 Rejeté • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi cet article : « L’article L. 214‑11 du code rural et de la pêche maritime est complété par six alinéas ainsi rédigés : « Est interdite la mise en production de tout bâtiment nouveau ou réaménagé d’élevage ayant recours : « 1° Aux instruments de contention visés aux dispositions suivantes :  « a) À l’article 5 de la directive 1999/74/CE du Conseil du 19 juillet 1999 établissant des normes minimales relatives à la protection des poules pondeuses ; « b) Au quatrième alinéa de l’article 3 de la directive 2008/120/CE du Conseil du 18 décembre 2008 établissant les normes minimales relatives à la protection des porcs ; « c) Au a du 1 de l’article 3 de la directive du Conseil 2008/119/CE du Conseil du 18 décembre 2008 établissant les normes minimales relatives à la protection des veaux ; « 2° À tous les systèmes de contention des animaux à des visés de production selon des modalités définies par décret dans les douze mois suivant l’entrée en vigueur de la présente loi. »
🖋️n°CE95 Non soutenu • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 2 à 9 les huit alinéas suivants :  1° L’article L. 181‑9 est ainsi modifié : – au début du premier alinéa, est ajoutée la référence : « I. – » ; – il est ajouté un II ainsi rédigé : « II. – Par dérogation au I, lorsque que la demande d’autorisation environnementale porte sur un projet destiné à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, l’instruction de la demande se déroule en trois phases : « 1° Une phase d’examen ; « 2° Une phase de consultation du public, qui est réalisée sous la forme d’une enquête publique conformément au chapitre III du titre II du présent livre ; « 3° Une phase de décision. » ; 2° Après la première phrase du premier alinéa du I de l’article L. 181‑10, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Pour les projets destinés à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, elle est réalisée selon les modalités prévues au II de l’article L. 181‑9. »
🖋️n°CE759 Non soutenu • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 2 à 9 les huit alinéas suivants :  1° L’article L. 181‑9 est ainsi modifié : – au début du premier alinéa, est ajoutée la référence : « I. – » ; – il est ajouté un II ainsi rédigé : « II. – Par dérogation au I, lorsque que la demande d’autorisation environnementale porte sur un projet destiné à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, l’instruction de la demande se déroule en trois phases : « 1° Une phase d’examen ; « 2° Une phase de consultation du public, qui est réalisée sous la forme d’une enquête publique conformément au chapitre III du titre II du présent livre ; « 3° Une phase de décision. » ; 2° Après la première phrase du premier alinéa du I de l’article L. 181‑10, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Pour les projets destinés à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, elle est réalisée selon les modalités prévues au II de l’article L. 181‑9. »
🖋️n°CE563 Irrecevable • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 4, après le mot :  « mots », insérer les mots :  «et peut prendre en charge »
🖋️n°CE568 Irrecevable • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 4, après le mot :  « mots », insérer les mots :   « et prend en charge »
🖋️n°CE565 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Après la seconde occurrence du mot : « réponses »,  rédiger ainsi la fin de l’alinéa 6 :  « peuvent être élaborées avec l’appui de la Commission nationale du débat public et transmises et publiées en une fois, jusqu’à la fin de la consultation du public ; »
🖋️n°CE357 Rejeté • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi l’alinéa 10 : « 4° À l’article L. 511‑1 après le mot : « santé », sont insérés les mots : « humaine et animale, notamment si ces installations risquent de renforcer les risques d’émergence ou de propagation de zoonoses » ;
🖋️n°CE391 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 11 à 16.
🖋️n°CE261 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 11 à 14.
🖋️n°CE96 Rejeté • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 11 à 16 les trois alinéas suivants : « 1° Au second alinéa du I de l’article L. 512‑7, après la première occurrence de la référence :« annexe I », sont insérés les mots : « à l’exception des activités d’élevage » ; « 2° Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110 1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages porcins et avicoles, au relèvement du seuil Autorisation de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE139 Rejeté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 11 à 16 les trois alinéas suivants : « 1° Au second alinéa du I de l’article L. 512‑7, après la première occurrence de la référence :« annexe I », sont insérés les mots : « à l’exception des activités d’élevage » ; « 2° Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110 1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages porcins et avicoles, au relèvement du seuil Autorisation de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE651 Rejeté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 11 à 16 les trois alinéas suivants : « 1° Au second alinéa du I de l’article L. 512‑7, après la première occurrence de la référence :« annexe I », sont insérés les mots : « à l’exception des activités d’élevage » ; « 2° Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110 1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages porcins et avicoles, au relèvement du seuil Autorisation de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE659 Rejeté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 11 à 16 les trois alinéas suivants : « 1° Au second alinéa du I de l’article L. 512‑7, après la première occurrence de la référence :« annexe I », sont insérés les mots : « à l’exception des activités d’élevage » ; « 2° Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110 1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages porcins et avicoles, au relèvement du seuil Autorisation de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE392 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 13 et 14.
🖋️n°CE567 Rejeté • Il y a +1 semaine
I. – À l’alinéa 14, après la première occurrence du mot : « l’élevage »,  insérer les mots :  « et dans les conditions fixées au I quater, » II. – En conséquence, après l’alinéa 14, insérer un nouvel alinéa ainsi rédigé : « I quater. – Les installations d’élevage mentionnées au présent I ter peuvent relever du régime d’enregistrement à condition de s’inscrire dans le cadre d’un contrat d’agriculture durable établi conformément aux dispositifs régionaux en vigueur, intégrant un diagnostic stratégique et systémique de l’exploitation, un plan d’action sur cinq ans, et des engagements spécifiques visant à prévenir et à atténuer les impacts sur l’environnement. Ce plan d’action doit inclure des mesures concrètes visant à réduire l’utilisation des intrants agricoles, notamment les produits phytosanitaires et les engrais chimiques, afin de limiter les conséquences sur l’environnement. »
🖋️n°CE470 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 14 par les mots : « dès lors que ces installations s’inscrivent dans le cadre d’un groupement agricole d’exploitation en commun mentionné au chapitre III du titre II du livre III du code rural et de la pêche maritime »
🖋️n°CE471 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 14 par les mots : « dès lors que ces installations s’inscrivent dans le cadre d’un groupement agricole d’exploitation en commun mentionné au chapitre III du titre II du livre III du code rural et de la pêche maritime et dont le nombre d'associés est au moins égal à trois.»
🖋️n°CE472 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 14 par les mots : « dès lors que ces installations s’inscrivent dans le cadre d’un groupement agricole d’exploitation en commun mentionné au chapitre III du titre II du livre III du code rural et de la pêche maritime et dont le nombre d'associés est au moins égal à quatre.»
🖋️n°CE393 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après le mot :  « vigueur », rédiger ainsi la fin de l’alinéa 16 :  « au plus tôt en 2100 et si l’acte d’exécution prévu au 2 de l’article 70 decies de la directive 2010/75/UE du Parlement européen et du Conseil relative aux émissions industrielles et aux émissions de l’élevage a bien été publié »
🖋️n°CE354 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après le mot :  « publication », rédiger ainsi la fin de l’alinéa 16 :  « du rapport de la Commission européenne sur les émissions des élevages dans l’Union européenne prévu au 3 de l’article 70 decies de la directive 2024/1785/EU du Parlement européen et du Conseil du 24 avril 2024 modifiant la directive 2010/75/EU du Parlement européen et du conseil relative aux émissions industrielles. »
🖋️n°CE455 Non soutenu • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants : « L’article L. 511‑1 du code de l’environnement est ainsi modifié :  « Après le premier alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Les dispositions du présent titre prennent en compte les spécificités des projets des exploitations agricoles, qui font l’objet de procédures et prescriptions adaptées si nécessaire. » 
🖋️n°CE454 Non soutenu • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les quatre alinéas suivants : « L’article L. 512‑7‑2 du code de l’environnement est ainsi modifié : « 1° Le 1° est ainsi rédigé : « Si, sur la base des informations fournies par le maître d’ouvrage, les incidences du projet sur l’environnement et la santé humaine sont notables au regard des critères pertinents énumérés à l’annexe de l’article R122‑3‑1. Le cas échéant, il tient compte des résultats disponibles d’autres évaluations pertinentes des incidences sur l’environnement requises au titre d’autres législations applicables. Il indique les motifs qui fondent sa décision au regard d’un ensemble de critères pertinents tels qu’énumérés à l’annexe de l’article R122‑3‑1, ainsi que des mesures et caractéristiques du projet présenté par le maître d’ouvrage et destinées à éviter ou réduire les effets négatifs notables de celui-ci sur l’environnement et la santé humaine ; » « 2° Le 2° est abrogé ; « 3° Le cinquième alinéa est ainsi rédigé : « Dans les cas mentionnés au 1° le projet est soumis à évaluation environnementale. Dans les cas mentionnés au 2° et ne relevant pas du 1°, le projet n’est pas soumis à évaluation environnementale. »
🖋️n°CE641 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les quatre alinéas suivants : « L’article L. 512‑7‑2 du code de l’environnement est ainsi modifié : « 1° Le 1° est ainsi rédigé : « Si, sur la base des informations fournies par le maître d’ouvrage, les incidences du projet sur l’environnement et la santé humaine sont notables au regard des critères pertinents énumérés à l’annexe de l’article R122‑3‑1. Le cas échéant, il tient compte des résultats disponibles d’autres évaluations pertinentes des incidences sur l’environnement requises au titre d’autres législations applicables. Il indique les motifs qui fondent sa décision au regard d’un ensemble de critères pertinents tels qu’énumérés à l’annexe de l’article R122‑3‑1, ainsi que des mesures et caractéristiques du projet présenté par le maître d’ouvrage et destinées à éviter ou réduire les effets négatifs notables de celui-ci sur l’environnement et la santé humaine ; » « 2° Le 2° est abrogé ; « 3° Le cinquième alinéa est ainsi rédigé : « Dans les cas mentionnés au 1° le projet est soumis à évaluation environnementale. Dans les cas mentionnés au 2° et ne relevant pas du 1°, le projet n’est pas soumis à évaluation environnementale. »
🖋️n°CE452 Non soutenu • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants :  « Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110-1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages bovins, au relèvement des seuils de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE594 Non soutenu • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants :  « Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110-1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages bovins, au relèvement des seuils de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE761 Non soutenu • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants :  « Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110-1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages bovins, au relèvement des seuils de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE554 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après le deuxième alinéa de l’article L. 122‑1 du code de l’environnement, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « La décision d’autorisation environnementale doit être accompagnée d’un document rendant compte de la prise en compte des observations formulées par l’autorité environnementale, ou, à défaut, justifiant les raisons pour lesquelles ces observations n’ont pas été retenues. Ce document est mis à la disposition du public. »
🖋️n°CE552 Rejeté • Il y a +1 semaine
L’article L. 122‑1 du code de l’environnement est complété par un VII ainsi rédigé : « VII. – Lorsque l’autorité environnementale rend un avis défavorable ou identifie des lacunes majeures dans le contenu de l’étude d’impact, l’autorité compétente ne peut délivrer l’autorisation environnementale qu’après réponse formelle et complète du pétitionnaire et un nouvel avis rendu par l’autorité environnementale. »
🖋️n°CE597 Rejeté • Il y a +1 semaine
I. – L’article L173‑1 du code de l’environnement est rétabli dans sa version antérieure à la loi n° 2025‑268 du 24 mars 2025 d’orientation pour la souveraineté alimentaire et le renouvellement des générations en agriculture. II. – L’article L171‑7-3 du code de l’environnement est abrogé.
🖋️n°CE208 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 181‑17 du code de l’environnement, sont insérés deux articles L. 181‑17‑1 et L. 181‑17‑2 ainsi rédigés : « Art. L. 181‑17‑1. – Le juge administratif des référés, saisi d’une demande de suspension d’une décision accordant une autorisation environnementale prise au titre de l’article L. 181‑1 ou d’une des décisions accordant une autorisation, un enregistrement, une déclaration, une absence d’opposition, une approbation, une dérogation ou un agrément au titre d’une autre législation mentionnée au I de l’article L. 181‑2, fait droit à cette demande si elle comporte un moyen propre à créer, en l’état de l’instruction, un doute sérieux quant à la légalité de celle-ci. « Art. L. 181‑17‑2. – Le juge administratif des référés, saisi d’une demande de suspension d’une décision accordant une autorisation environnementale prise au titre de l’article L. 181‑1 ou d’une des décisions accordant une autorisation, un enregistrement, une déclaration, une absence d’opposition, une approbation, une dérogation ou un agrément au titre d’une autre législation mentionnée au I de l’article L. 181‑2, statue dans un délai de cinq jours si le requérant fait état d’un risque d’atteinte irréversible, et ceci même en présence d’un risque incertain. »
🖋️n°CE560 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 181‑17 du code de l’environnement, sont insérés deux articles L. 181‑17‑1 et L. 181‑17‑2 ainsi rédigés : « Art. L. 181‑17‑1. – Le juge administratif des référés, saisi d’une demande de suspension d’une décision accordant une autorisation environnementale prise au titre de l’article L. 181‑1 ou d’une des décisions accordant une autorisation, un enregistrement, une déclaration, une absence d’opposition, une approbation, une dérogation ou un agrément au titre d’une autre législation mentionnée au I de l’article L. 181‑2, fait droit à cette demande si elle comporte un moyen propre à créer, en l’état de l’instruction, un doute sérieux quant à la légalité de celle-ci. « Art. L. 181‑17‑2. – Le juge administratif des référés, saisi d’une demande de suspension d’une décision accordant une autorisation environnementale prise au titre de l’article L. 181‑1 ou d’une des décisions accordant une autorisation, un enregistrement, une déclaration, une absence d’opposition, une approbation, une dérogation ou un agrément au titre d’une autre législation mentionnée au I de l’article L. 181‑2, statue dans un délai de cinq jours si le requérant fait état d’un risque d’atteinte irréversible, et ceci même en présence d’un risque incertain. »
🖋️n°CE207 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 181‑17 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 181‑17‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 181‑17‑1 (nouveau). – Le juge statue dans un délai de douze mois sur les recours contre les décisions accordant une autorisation environnementale prise au titre de l’article L. 181‑1 ou contre une des décisions accordant une autorisation, un enregistrement, une déclaration, une absence d’opposition, une approbation, une dérogation ou un agrément au titre d’une autre législation mentionnée au I de l’article L. 181‑2. »
🖋️n°CE562 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 181‑17 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 181‑17‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 181‑17‑1 (nouveau). – Le juge statue dans un délai de douze mois sur les recours contre les décisions accordant une autorisation environnementale prise au titre de l’article L. 181‑1 ou contre une des décisions accordant une autorisation, un enregistrement, une déclaration, une absence d’opposition, une approbation, une dérogation ou un agrément au titre d’une autre législation mentionnée au I de l’article L. 181‑2. »
🖋️n°CE414 Rejeté • Il y a +1 semaine
À l’article L 511‑1 du code de l’environnement, après le mot : « santé », sont insérés les mots : « humaine et animale, le bien-être animal ».
🖋️n°CE615 Rejeté • Il y a +1 semaine
L’article L512‑1 du code l’environnement est ainsi modifié : 1° après les mots : « Sont soumises à », sont insérés les mots : « évaluation et à » ; 2° Après le premier alinéa, est inséré un alinéa ainsi rédigé : « L’évaluation, dénommée évaluation environnementale, est délivrée dans les conditions prévues à la Section I du Chapitre II du Titre II du Livre Ier du présent code. »
🖋️n°CE539 Rejeté • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 512‑1 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 512‑1‑1 ainsi rédigé :  « Art. L. 512‑1‑1 (nouveau). – I. – Il est instauré un moratoire sur la délivrance des autorisations environnementales prévues aux articles L. 181‑1 à L. 181‑4 du présent code pour les élevages soumis à autorisation au titre de l’article L512‑1 du présent code. « II. – Le moratoire prévu au I du présent article est instauré pour une durée de dix ans à compter de la publication de la présente loi. »
🖋️n°CE403 Rejeté • Il y a +1 semaine
L’article L. 512‑2 du code de l’environnement est ainsi rédigé : « Ne peuvent être autorisées les installations d’élevage mentionnées à l’article L. 511‑1 du présent code dans les aires d’alimentation des captages associées à des points de prélèvement sensibles mentionnées au 7° du II de l’article L. 211‑3 du présent code ».
🖋️n°CE418 Rejeté • Il y a +1 semaine
L’article L. 512‑2 du code de l’environnement est ainsi rédigé : « À compter de la promulgation de la présente loi, ne peuvent être autorisées les nouvelles installations d’élevage mentionnées à l’article L. 512‑1 dans les bassins connaissant d’importantes marées vertes sur les plages. »
🖋️n°CE419 Rejeté • Il y a +1 semaine
L’article L. 512‑2 du code de l’environnement est ainsi rédigé : « Une installation d’élevage soumise à autorisation au sens de l’article L. 512‑1 du code de l’environnement ne peut être autorisée si : « 1° l’installation accroît la demande en eau, et est menée dans une zone présentant, ou susceptible de présenter sous l’effet du changement climatique, une insuffisance, autre qu’exceptionnelle, des ressources par rapport aux besoins en eau ; « 2° l’installation est menée dans une zone qui pourrait, du fait de l’utilisation de l’eau par et pour ce projet, présenter une insuffisance, autre qu’exceptionnelle, des ressources par rapport aux besoins en eau ; « 3° l’installation risque de porter atteinte à la gestion équilibrée de la ressource en eau au sens de l’article L. 211‑1 du code de l’environnement. »
🖋️n°CE617 Rejeté • Il y a +1 semaine
L’article L. 512‑2 du code de l’environnement est ainsi rédigé :  « Ne peuvent faire l’objet d’aucun agrandissement les installations d’élevage soumises à autorisation mentionnées à l’article L 512‑1 du présent code implantées à une distance inférieure à 500 mètres : « 1° des habitations ou locaux habituellement occupés par des tiers, à l’exception des logements occupés par des personnels de l’installation, des hébergements et locations dont l’exploitant a la jouissance et des logements occupés par les anciens exploitants ; « 2° des stades ou des terrains de camping agréés, à l’exception des terrains de camping à la ferme ;  « 3° des zones destinées à l’habitation par des documents d’urbanisme opposables aux tiers. »
🖋️n°CE619 Rejeté • Il y a +1 semaine
L’article L. 512‑2 du code de l’environnement est ainsi rédigé :  « Les installations d’élevage soumises à autorisation et mentionnées à l’article L. 512‑1 du présent code sont implantées à une distance minimale de 500 mètres : « 1° des habitations ou locaux habituellement occupés par des tiers, à l’exception des logements occupés par des personnels de l’installation, des hébergements et locations dont l’exploitant a la jouissance et des logements occupés par les anciens exploitants ; « 2° des stades ou des terrains de camping agréés, à l’exception des terrains de camping à la ferme ;  « 3° des zones destinées à l’habitation par des documents d’urbanisme opposables aux tiers. »
🖋️n°CE549 Rejeté • Il y a +1 semaine
I. – Après l’article L. 515‑26 du code de l’environnement, le chapitre V du titre Ier du livre V du code de l’environnement est complété par une section 7 ainsi rédigée : « Section 7 – Installations d’élevage « Art. L. 515‑27. – I. – Constitue un élevage industriel toute installation d’élevage concentrant au sein d’une exploitation plus de 40 000 emplacements pour les volailles ou plus de 2 000 emplacements pour les porcs de production de plus de 30kg ou plus de 750 emplacements pour les truies ou plus de 800 veaux de boucherie ou de bovins à l’engraissement ou plus de 400 vaches laitières. « II. – À compter de la promulgation de la présente loi et pour une durée de dix ans, aucune autorisation portant sur un projet d’élevage industriel ne peut être accordée par les autorités compétentes. « Durant la même période, les installations existantes entrant dans la catégorie des élevages industriels ne peuvent faire l’objet d’aucune extension de leur capacité d’accueil d’animaux domestiques et celles qui n’y entrent pas ne peuvent faire l’objet d’aucune extension ayant pour effet un dépassement des seuils définis au I. « III. – Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application du présent article ». II. – Après l’article L. 332‑1 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 332‑2 ainsi rédigé : « Art. L. 332‑2. – L’autorisation d’exploiter prévue au titre des articles L. 331‑2 et suivants du présent code ne peut être délivrée s’agissant des exploitations relevant de la catégorie des élevages industriels au sens de l’article L. 515‑27 I. du code de l’environnement ».
🖋️n°CE577 Rejeté • Il y a +1 semaine
Le chapitre V du titre Ier du livre V du code de l’environnement est complété par une section 7 ainsi rédigée : « Section 7 – Plan progressif de sortie de l’élevage industriel et de retour de l’élevage paysan « Art. L. 515‑27. – I. – Afin de sortir progressivement de l’élevage industriel et afin de développer un élevage paysan, dix ans après la promulgation de la présente loi, aucune installation d’élevage ne peut concentrer au sein d’une exploitation plus de 40 000 emplacements pour les volailles, ou plus de 2 000 emplacements pour les porcs de production de plus de 30kg, ou plus de 750 emplacements pour les truies, ou plus de 800 veaux de boucherie ou bovins à l’engraissement, ou plus de 400 vaches laitières. « II. – L’État se fixe pour objectif d’accompagner les salariés et les propriétaires des élevages dépassant les seuils mentionnés au I., et de leur permettre notamment de développer des élevages en plein air et pâturant. « III. – Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application du présent article. »
🖋️n°CE500 Rejeté • Il y a +1 semaine
L’ article L. 77‑15‑1 du code de justice administrative est abrogé. 
🖋️n°CE273 Rejeté • Il y a +1 semaine
Le 2° du II de l’ article L. 77-15-1 du code de justice administrative est abrogé.
🖋️n°CE634 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Avant le dernier alinéa de l’article L. 101‑2-1 du code de l’urbanisme, il est inséré un c ainsi rédigé : « c) Par dérogation au a, non artificialisée une surface occupée par des constructions, ouvrages, installations ou aménagements nécessaires à l’exploitation agricole. »
🖋️n°CE705 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Au III de l’article 194 de la loi n° 2021-1104 du 22 août 2021 portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets, après le 6°, il est inséré un 6° bis ainsi rédigé : « 6° bis Une surface occupée par des constructions, des ouvrages, des installations ou des aménagements nécessaires à l’exploitation agricole n’est pas comptabilisée dans la consommation d’espaces naturels, agricoles et forestiers. Les modalités de mise en œuvre du présent 6° bis sont précisées par décret en Conseil d’Etat ; ».
🖋️n°CE396 Irrecevable • Il y a +1 semaine
L’exploitation des céphalopodes au titre d’une activité d’élevage est interdite sur l’ensemble du territoire national.
🖋️n°CD275 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Après le IV de l’article L. 1 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un V ainsi rédigé : « V. – Les politiques publiques prévoient des objectifs de développement des services de remplacement sur l’ensemble du territoire national, afin de garantir la continuité de l’activité agricole et d’assurer un soutien effectif aux exploitants agricoles, notamment en cas d’incapacité temporaire à réaliser leurs tâches quotidiennes. « Ces politiques visent également à promouvoir le bien-être des agriculteurs, et en particulier des éleveurs, en facilitant l’accès à des périodes de repos ou à un accompagnement adapté lors d’événements imprévus, et à réduire la charge mentale qui pèse sur eux lorsqu’ils ne peuvent assurer eux-mêmes la conduite de leur exploitation, notamment par la mise à disposition de services de remplacement accessibles et adaptés sur l’ensemble du territoire. « Les services de l’État donnent accès à l’ensemble des informations concernant les démarches administratives et les aides pouvant être attribuées aux exploitants souhaitant bénéficier du service de remplacement. »
🖋️n°CD274 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Le 2° du II de l’article L. 122‑3 du code de l’environnement est complété par sept alinéas ainsi rédigés : « Pour les ouvrages de production d’électricité à partir de l’énergie mécanique du vent jusqu’au poste HTA/BT inclus, les ouvrages de production d’électricité à partir de l’énergie solaire installés au sol jusqu’au poste HAT/BT inclus, les ouvrages de stockage d’électricité jusqu’au poste HTA/BT inclus et les transformateurs d’antenne-relais de radiotéléphonie mobile, l’étude d’impact comprend également : « – un repérage des établissements d’élevage et de leurs installations situés dans un certain périmètre autour de l’aménagement mentionné à l’alinéa précédent ; « – les états des lieux initiaux suivants : « a) un état des lieux électrique et géobiologique des établissements d’élevage et de leurs installations ; « b) un état des lieux technico-économique et sanitaire des établissements d’élevage. « Dans le cas où l’éleveur refuserait la réalisation de ces états des lieux mentionnés aux a et b, une attestation de refus signée par l’éleveur doit être intégrée à l’étude d’impact. « Les modalités d’application du présent article sont déterminées par un décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CD229 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Le quatorzième alinéa de l’article L. 312‑1 du code rural et de la pêche maritime est complété par une phrase ainsi rédigée : « Lorsqu’une opération est relative à une exploitation agricole d’élevage ou à l’installation d’un agriculteur ayant pour projet une exploitation d’élevage, le schéma directeur régional des exploitations agricoles établit l’ordre des priorités sur la base d’un critère d’appréciation supplémentaire prépondérant relatif, selon les espèces, au développement du pâturage, ainsi qu’au développement des systèmes d’exploitation hors cage ou avec accès au plein air. »
🖋️n°CD12 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi cet article : « L’article L. 214‑11 du code rural et de la pêche maritime est complété par six alinéas ainsi rédigés : « Est interdite la mise en production de tout bâtiment nouveau ou réaménagé d’élevage ayant recours : « 1° Aux instruments de contention visés aux dispositions suivantes :  « a) À l’article 5 de la directive 1999/74/CE du Conseil du 19 juillet 1999 établissant des normes minimales relatives à la protection des poules pondeuses ; « b) Au quatrième alinéa de l’article 3 de la directive 2008/120/CE du Conseil du 18 décembre 2008 établissant les normes minimales relatives à la protection des porcs ; « c) Au a du 1 de l’article 3 de la directive du Conseil 2008/119/CE du Conseil du 18 décembre 2008 établissant les normes minimales relatives à la protection des veaux ; « 2° À tous les systèmes de contention des animaux à des visés de production selon des modalités définies par décret dans les douze mois suivant l’entrée en vigueur de loi n°2025-268 du 24 mars 2025 d’orientation pour la souveraineté agricole et le renouvellement des générations en agriculture. »
🖋️n°CD13 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi cet article : « Le 2° du II de l’article 44 de la loi n° 2025‑268 du 24 mars 2025 d’orientation pour la souveraineté alimentaire et le renouvellement des générations en agriculture est supprimé. »
🖋️n°CD266 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi cet article : « I. – Il est instauré un moratoire sur la délivrance des autorisations environnementales prévues aux articles L. 181‑1 à L. 181‑4 du code de l’environnement pour les élevages de saumons dont la totalité du grossissement est prévue dans des installations aquacoles à circuit fermé. « II. – Le moratoire prévu au I du présent article est instauré pour une durée de dix ans à compter de la publication de la présente loi. »
🖋️n°CE453 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 2, rétablir le 1° dans la rédaction suivante : « 1° Le premier alinéa du V de l’article L. 122‑1 est complété par une phrase ainsi rédigée :« L’avis de l’autorité environnementale se fonde sur les enseignements de la science et cite les études académiques mobilisées pour son élaboration. » ; »
🖋️n°CE527 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 2, rétablir le 1° dans la rédaction suivante : « 1° Le premier alinéa du V de l’article L. 122‑1 est complété par une phrase ainsi rédigée :« L’avis de l’autorité environnementale se fonde sur les enseignements de la science et cite les études académiques mobilisées pour son élaboration. » ; »
🖋️n°CE640 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 2, rétablir le 1° dans la rédaction suivante : « 1° Le premier alinéa du V de l’article L. 122‑1 est complété par une phrase ainsi rédigée :« L’avis de l’autorité environnementale se fonde sur les enseignements de la science et cite les études académiques mobilisées pour son élaboration. » ; »
🖋️n°CE528 Tombé • Il y a +1 semaine
Rétablir le 2° dans la rédaction suivante :  1° L’article L. 181‑9 est ainsi modifié : – au début du premier alinéa, est ajoutée la référence : « I. – » ; – À la fin, il est ajouté un II ainsi rédigé : « II. – Par dérogation au I, lorsque que la demande d’autorisation environnementale porte sur un projet destiné à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, l’instruction de la demande se déroule en trois phases : « 1° Une phase d’examen ; « 2° Une phase de consultation du public, qui est réalisée sous la forme d’une enquête publique conformément au chapitre III du titre II du présent livre ; « 3° Une phase de décision. » ;
🖋️n°CE275 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 2, rédiger ainsi le 2° : « 2° L’article L. 181‑9 du code de l’environnement est rétabli dans sa version antérieure à la loi n° 2023‑973 du 23 octobre 2023 relative à l’industrie verte. »
🖋️n°CE260 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 3 à 9.
🖋️n°CE390 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 3 à 9.
🖋️n°CD297 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 2 à 9.
🖋️n°CD69 Tombé • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 2 à 9, les huit alinéas suivants : « 1° L’article L. 181‑9 est ainsi modifié :  « – au début du premier alinéa, est ajoutée la mention : « I. – » ; « – il est complété par un II ainsi rédigé : « II. – Par dérogation au I, lorsque que la demande d’autorisation environnementale porte sur un projet destiné à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, l’instruction de la demande se déroule en trois phases : « 1° Une phase d’examen ; « 2° Une phase de consultation du public, qui est réalisée sous la forme d’une enquête publique conformément au chapitre III du titre II du présent livre ; « 3° Une phase de décision. » ; « 2° Après la première phrase du premier alinéa du I de l’article L. 181‑10, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Pour les projets destinés à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, elle est réalisée selon les modalités prévues au II de l’article L. 181‑9. »
🖋️n°CD89 Tombé • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 2 à 9, les huit alinéas suivants : « 1° L’article L. 181‑9 est ainsi modifié :  « – au début du premier alinéa, est ajoutée la mention : « I. – » ; « – il est complété par un II ainsi rédigé : « II. – Par dérogation au I, lorsque que la demande d’autorisation environnementale porte sur un projet destiné à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, l’instruction de la demande se déroule en trois phases : « 1° Une phase d’examen ; « 2° Une phase de consultation du public, qui est réalisée sous la forme d’une enquête publique conformément au chapitre III du titre II du présent livre ; « 3° Une phase de décision. » ; « 2° Après la première phrase du premier alinéa du I de l’article L. 181‑10, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Pour les projets destinés à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, elle est réalisée selon les modalités prévues au II de l’article L. 181‑9. »
🖋️n°CD102 Tombé • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 2 à 9, les huit alinéas suivants : « 1° L’article L. 181‑9 est ainsi modifié :  « – au début du premier alinéa, est ajoutée la mention : « I. – » ; « – il est complété par un II ainsi rédigé : « II. – Par dérogation au I, lorsque que la demande d’autorisation environnementale porte sur un projet destiné à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, l’instruction de la demande se déroule en trois phases : « 1° Une phase d’examen ; « 2° Une phase de consultation du public, qui est réalisée sous la forme d’une enquête publique conformément au chapitre III du titre II du présent livre ; « 3° Une phase de décision. » ; « 2° Après la première phrase du premier alinéa du I de l’article L. 181‑10, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Pour les projets destinés à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, elle est réalisée selon les modalités prévues au II de l’article L. 181‑9. »
🖋️n°CD347 Tombé • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 2 à 9, les huit alinéas suivants : « 1° L’article L. 181‑9 est ainsi modifié :  « – au début du premier alinéa, est ajoutée la mention : « I. – » ; « – il est complété par un II ainsi rédigé : « II. – Par dérogation au I, lorsque que la demande d’autorisation environnementale porte sur un projet destiné à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, l’instruction de la demande se déroule en trois phases : « 1° Une phase d’examen ; « 2° Une phase de consultation du public, qui est réalisée sous la forme d’une enquête publique conformément au chapitre III du titre II du présent livre ; « 3° Une phase de décision. » ; « 2° Après la première phrase du premier alinéa du I de l’article L. 181‑10, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Pour les projets destinés à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, elle est réalisée selon les modalités prévues au II de l’article L. 181‑9. »
🖋️n°CD429 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 2, rétablir le 2 dans la rédaction suivante : « 2° L’article L. 181‑9 du code de l’environnement est rétabli dans sa version antérieure à la loi n° 2023‑973 du 23 octobre 2023 relative à l’industrie verte. »
🖋️n°CD459 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 2, rétablir le 2 dans la rédaction suivante : « 2° L’article L. 181‑9 est ainsi modifié : « – au début du premier alinéa, est ajoutée la mention : « I. – » ; « – il est ajouté un II ainsi rédigé : « II. – Par dérogation au I, lorsque que la demande d’autorisation environnementale porte sur un projet destiné à l’élevage de bovins, de porcs ou de volailles, l’instruction de la demande se déroule en trois phases : « 1° Une phase d’examen ; « 2° Une phase de consultation du public, qui est réalisée sous la forme d’une enquête publique conformément au chapitre III du titre II du présent livre ; « 3° Une phase de décision. » ; ».
🖋️n°CE564 Tombé • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 4 par les mots :  « et en s’appuyant sur la Commission nationale du débat public, »
🖋️n°CD10 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 3 à 9.
🖋️n°CE790 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 4, insérer l’alinéa suivant :  bisLe second alinéa du II est complété par les mots : « pour les projets d’installation d’élevage, la durée de la consultation est d’un mois ».
🖋️n°CE468 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 5 et 7.
🖋️n°CE621 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 5.
🖋️n°CE785 Tombé • Il y a +1 semaine
I. – Aux alinéas 5 et 7, avant les mots : « Le commissaire enquêteur » insérer les mots : « Pour les installations d’élevage, ». II. – À la première phrase de l’alinéa 6, avant les mots : « Ces réponses » insérer les mots : « Pour les installations d’élevage ».
🖋️n°CE544 Tombé • Il y a +1 semaine
I. – Aux alinéas 5 et 7, après le mot : « public » insérer les mots : « pour les installations d’élevage, ». II. – À la deuxième phrase de l’alinéa 6, avant les mots : « les réponses » insérer les mots : « Pour les installations d’élevage ».
🖋️n°CE480 Tombé • Il y a +1 semaine
I. – À l’alinéa 5, substituer au mot :  « remplacer »  le mot : « compléter ». II. – À l’alinéa 7, procéder à la même substitution. III. – après le mot :  « mots », rédiger ainsi la fin de l’alinéa 8 :   « et le premier jour de la permanence qui la complète »
🖋️n°CE712 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 5, substituer aux mots : « à des lieux, jours et heures », les mots : « en des lieux et à des jours et horaires ».
🖋️n°CE482 Tombé • Il y a +1 semaine
I. – Après le mot :  « commune »,  rédiger ainsi la fin de l'alinéa 5 :  « concernée par l’implantation du ou des projets ». II. – À l’alinéa 7, procéder à la même rédaction.
🖋️n°CE765 Tombé • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 5 par les mots : « et au sein de l’établissement public de coopération intercommunale concerné ».
🖋️n°CE481 Tombé • Il y a +1 semaine
I. – Compléter l’alinéa 5 par la phrase suivante :  « Le pétitionnaire prend en charge l’ensemble des frais associés aux permanences, y compris les frais de personnels. » II. – À alinéa 7, procéder à la même insertion. 
🖋️n°CE469 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 6. 
🖋️n°CE622 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 6. 
🖋️n°CE791 Retiré • Il y a +1 semaine
I. – À l’alinéa 5, après le mot :  « rédigée », insérer les mots : « Pour les installations d’élevage, ». II. – À l’alinéa 7, procéder à la même insertion. III. – À l’alinéa 6, après le mot :  « rédigées », insérer les mots : « Pour les installations d’élevage, ».
🖋️n°CE493 Tombé • Il y a +1 semaine
À la première phrase de l’alinéa 6, substituer aux mots :  « , à l’exception de la réponse à l’avis de l’autorité environnementale, sont facultatives »  les mots :  « sont obligatoires ».
🖋️n°CE713 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 6, substituer au mot : « jusqu’ »  les mots : « au plus tard ».
🖋️n°CE624 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 6, insérer les deux alinéas suivants :  b ter) Après le premier alinéa du III, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Afin de garantir une meilleure prise en compte des enjeux locaux, les communes concernées par le projet sont systématiquement consultées en amont de l’organisation de la consultation du public. L’avis des conseils municipaux des communes impactées doit être joint au dossier soumis au commissaire enquêteur ou à la commission d’enquête. »
🖋️n°CE566 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 6, insérer un nouvel alinéa ainsi rédigé : b ter) Au 3° du même III, après le mot : « internet » sont insérés les mots : « mis à disposition et hébergé par la Commission nationale du débat public ».
🖋️n°CE702 Tombé • Il y a +1 semaine
I. – Rédiger ainsi le début de l’alinéa 7 : « c) Le 5° dudit III est ainsi modifié :  « – Après la première phrase, il est inséré une phrase ainsi rédigée : (le reste sans changement) » II. – En conséquence, après l’alinéa 7, insérer l’alinéa suivant : « – À la dernière phrase, le mot : « clôture » est remplacé par le mot : « fin ». »
🖋️n°CE714 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 7, substituer aux mots : « à des lieux, jours et heures » les mots : « en des lieux et à des jours et horaires ».
🖋️n°CE766 Tombé • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 7 par les mots : « et au sein de l’établissement public de coopération intercommunale concerné. »
🖋️n°CE353 Retiré • Il y a +1 semaine
Substituer à l’alinéa 10 les trois alinéas suivants : « 4° Après l’article L. 512‑6‑1, il est inséré un article L. 512‑6‑2 ainsi rédigé : « Article L. 512‑6‑2. – Les députés et les sénateurs, ainsi que les représentants au Parlement européen élus en France, sont autorisés à visiter à tout moment et de façon inopinée les installations à des fins d’élevage soumises à autorisation au sens des articles L512‑1 à L512‑6‑1 du présent code ou soumises à enregistrement au sens des articles L512‑7 à L512‑7‑7 situées sur le territoire français. « Les députés, les sénateurs et les représentants au Parlement européen mentionnés au premier alinéa du présent article peuvent être accompagnés par un ou plusieurs journalistes titulaires de la carte d’identité professionnelle mentionnée à l’article L. 7111‑6 du code du travail, dans des conditions fixées par décret en Conseil d’État. » 
🖋️n°CD196 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 5 et 7. 
🖋️n°CD406 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – Aux alinéas 5 et 7, après le mot : « public » insérer les mots : « pour les installations d’élevage, ». II. – À la deuxième phrase de l’alinéa 6, avant les mots : « les réponses » insérer les mots : « Pour les installations d’élevage ».
🖋️n°CD195 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l’alinéa 6. 
🖋️n°CD460 Retiré • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 10, rétablir le 4 dans la rédaction suivante : « 4° Après le premier alinéa de l’article L. 511‑1, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :« Les dispositions du présent titre prennent en compte les spécificités des projets des exploitations agricoles, qui peuvent faire l’objet de procédures et prescriptions adaptées si nécessaire. » 
🖋️n°CD298 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 11 à 16.
🖋️n°CD11 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 11 à 14.
🖋️n°CD70 Tombé • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 11 à 16, les deux alinéas suivants : « 5° Au second alinéa du I de l’article L. 512‑7, après la première occurrence de la référence : « annexe I », sont insérés les mots : « , à l’exception des activités d’élevage, » ; « 6° Le principe de non-régression défini au 9 du II de l’article L. 110 1 ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages porcins et avicoles, au relèvement du seuil d’autorisation de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2. Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CD103 Tombé • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 11 à 16, les deux alinéas suivants : « 5° Au second alinéa du I de l’article L. 512‑7, après la première occurrence de la référence : « annexe I », sont insérés les mots : « , à l’exception des activités d’élevage, » ; « 6° Le principe de non-régression défini au 9 du II de l’article L. 110 1 ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages porcins et avicoles, au relèvement du seuil d’autorisation de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2. Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CD470 Retiré • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 12 : « a) Au second alinéa du I, après la première occurrence de la référence : « annexe I », sont insérés les mots : « à l’exception des activités d’élevage » ; ».
🖋️n°CD194 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 13 à 16. 
🖋️n°CE277 Retiré • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 11 à 16 les trois alinéas suivants : « 1° Au second alinéa du I de l’article L. 512‑7, après la première occurrence de la référence :« annexe I », sont insérés les mots : « à l’exception des activités d’élevage » ; « 2° Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110 1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages porcins et avicoles, au relèvement du seuil Autorisation de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE451 Retiré • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 11 à 16 les trois alinéas suivants : « 1° Au second alinéa du I de l’article L. 512‑7, après la première occurrence de la référence :« annexe I », sont insérés les mots : « à l’exception des activités d’élevage » ; « 2° Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110 1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages porcins et avicoles, au relèvement du seuil Autorisation de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE638 Retiré • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 11 à 16 les trois alinéas suivants : « 1° Au second alinéa du I de l’article L. 512‑7, après la première occurrence de la référence :« annexe I », sont insérés les mots : « à l’exception des activités d’élevage » ; « 2° Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110 1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages porcins et avicoles, au relèvement du seuil Autorisation de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE31 Retiré • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 11 à 16 les deux alinéas suivants : « Le principe de non-régression défini au 9° du II de l’article L. 110‑1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages de bovins, au rehaussement du seuil « enregistrement » de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511‑2 du même code. « Les modalités d’application du présent article sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CD71 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par les deux alinéas suivants : « III. – Le principe de non-régression défini au 9 du II de l’article L. 110 1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages bovins, au relèvement des seuils de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CD83 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par les deux alinéas suivants : « III. – Le principe de non-régression défini au 9 du II de l’article L. 110 1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages bovins, au relèvement des seuils de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CD90 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par les deux alinéas suivants : « III. – Le principe de non-régression défini au 9 du II de l’article L. 110 1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages bovins, au relèvement des seuils de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE623 Retiré • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 13 à 16.
🖋️n°CD420 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par les deux alinéas suivants : « III. – Le principe de non-régression défini au 9 du II de l’article L. 110 1 du code de l’environnement ne s’oppose pas, en ce qui concerne les élevages bovins, au relèvement des seuils de la nomenclature mentionnée à l’article L. 511 2 du même code. « Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE760 Retiré • Il y a +1 semaine
I. – Au début de l’alinéa 14, ajouter les mots :  « À l’exception des installations d’élevage bovin, » II. – Compléter l’alinéa 14 par la phrase suivante :  « Les installations d’élevage bovin sont soumises à la nomenclature des installations classées mentionnée à l’article L. 511‑2 du présent code ».
🖋️n°CE716 Retiré • Il y a +1 semaine
I. – Le premier alinéa de l’article L. 512‑1 du code de l’environnement est complété par les mots : « y compris lorsque ces dangers et inconvénients peuvent, en principe, eu égard aux caractéristiques des installations et de leur impact potentiel, être prévenus par le respect de prescriptions générales édictées par le ministre chargé des installations classées. » II. – En conséquence, les articles L. 512‑7 à L. 512‑7‑7 du même code sont abrogés.
🖋️n°CE417 Retiré • Il y a +1 semaine
L’article L. 512‑2 du code de l’environnement est ainsi rédigé : « Ne peuvent être autorisées les installations d’élevage mentionnées à l’article L. 512‑1 si elles n’ont pas fait l’objet d’un débat organisé par la Commission nationale du débat public ».
🖋️n°CE632 Retiré • Il y a +1 semaine
L’article L. 512‑2 du code de l’environnement est ainsi rédigé : « Les installations d’élevage soumises à autorisation mentionnées à l’article L. 512‑1 font l’objet d’une concertation préalable au sens des articles L. 121‑15‑1 et suivants du présent code. »
🖋️n°CE356 Retiré • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 512‑7‑7 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 512‑7‑8 ainsi rédigé : « Article L 512‑7‑8 (nouveau). – L’installation ou l’agrandissement d’un élevage relevant de l’article L. 511‑1 du présent code ne peut être autorisé, enregistré ou déclaré si : « 1° le projet accroît la demande en eau et est mené dans une zone présentant ou susceptible de présenter sous l’effet du changement climatique, une insuffisance, autre qu’exceptionnelle, des ressources par rapport aux besoins en eau ; « 2° le projet est mené dans une zone qui pourrait, du fait de l’utilisation de l’eau par et pour ce projet, présenter une insuffisance, autre qu’exceptionnelle, des ressources par rapport aux besoins en eau ; « 3° le projet risque de porter atteinte à la gestion équilibrée de la ressource en eau au sens de l’article L. 211‑1 du code de l’environnement. »
🖋️n°CE394 Retiré • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 331‑2 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 331‑2‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 331‑2‑1. ‒ Les demandes d’autorisation présentées sur le fondement du I de l’article L. 331‑2 font l’objet d’un moratoire de trois ans lorsqu’elles portent sur l’installation, l’agrandissement ou la réunion d’exploitations agricoles au bénéfice d’une exploitation agricole mise en valeur par une ou plusieurs personnes physiques ou morales, dont les productions sont supérieures aux seuils correspondants aux catégorie A et E de la nomenclature des installations classées pour la protection de l’environnement définie par le décret n° 2013‑375 du 2 mai 2013 modifiant la nomenclature des installations classées et inscrite à l’article R. 511‑9 du code de l’environnement. »
🖋️n°CE416 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE558 Retiré • Il y a +1 semaine
Article 4
🖋️n°CE508 Adopté • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi cet article : « I. – L’article L. 361‑4‑6 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : « 1° Le premier alinéa du II est ainsi modifié : « a) après les mots : « chargé de l’agriculture, », sont insérés les mots : « et au comité départemental d’expertise mentionnée à l’article L. 361‑8, » ; « b) à la fin, sont ajoutées trois phrases ainsi rédigées : « Dès lors qu’un nombre suffisant de réclamations, précisé par arrêté préfectoral, est atteint au sein du département, le comité départemental d’expertise peut lancer une enquête de terrain en vue d’évaluer une perte moyenne de production sur une zone donnée. Au terme de cette dernière, le même comité, s’appuyant sur l’expertise de la chambre départementale d’agriculture, propose une rectification, le cas échéant, des évaluations des pertes de récolte ou de culture. L’organisme chargé de verser l’indemnisation fournit une réponse écrite dans un délai d’un mois à compter de la réception des préconisations du comité départemental d’expertise. » ; « 2° Après le mot : « article », la fin du III est ainsi rédigée : « , notamment les modalités permettant l’effectivité des voies de recours mentionnées au II. » « II. – Le présent article entre en vigueur le 1er juin 2025.
🖋️n°CE477 Adopté • Il y a +1 semaine
I. – Pour une durée de trois ans à compter d’une date fixée par décret et au plus tard le 1er janvier 2026, une expérimentation visant à instaurer une assurance permettant de couvrir les risques des pertes de récoltes ou de cultures causées par les espèces indigènes et invasives. II. – Au plus tard douze mois avant le terme de l’expérimentation, un comité en réalise l’évaluation afin de déterminer les suites qu’il convient de lui donner. Ce comité comprend notamment des représentants du ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire, des représentants des syndicats agricoles, ainsi que des personnalités qualifiées dont la compétence est reconnue en matière d’assurance récolte. Sa composition est fixée par arrêté du ministre chargé de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire. Ce comité ne perçoit pas de financement public. III. – Cette évaluation s’attache notamment à définir les effets de l’expérimentation en matière d’indemnisation des pertes de récoltes ou de cultures. Elle détermine, le cas échéant, les conditions dans lesquelles l’expérimentation peut être prolongée, élargie ou pérennisée, en identifiant les caractéristiques des territoires et des publics pour lesquels elle est susceptible de constituer une solution adaptée à l’attractivité des métiers de l’agriculture. IV. – Les modalités de mise en œuvre de l’expérimentation prévue au I sont définies par décret. La liste des territoires participant à l’expérimentation est fixée par un arrêté du ministre chargé de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire.
🖋️n°CE793 Adopté • Il y a +1 semaine
Le Gouvernement remet au Parlement, au plus tard le 1er janvier 2026, un rapport sur l’évolution du coût des primes d’assurance depuis l’entrée en vigueur de la loi du 2 mars 2022 relative à l’assurance récolte. Ce rapport portera notamment sur la situation des petites filières et des filières les plus à risque comme l’arboriculture, et sur la prise en compte dans les primes d’assurance des actions de protection mises en place par les exploitants.
🖋️n°CE431 Adopté • Il y a +1 semaine
Dans un délai d’un après la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport relatif à la création d’un fonds professionnel mutuel et solidaire pour la gestion des risques climatiques, au niveau national. Ce rapport identifie également les méthodes par lesquelles des entreprises de l’aval de la filière agroalimentaire peuvent être mises à contribution pour financer la création de ce fonds.
🖋️n°CD421 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi cet article : « À l’article L. 361‑4‑6 du code rural et de la pêche maritime, les II et III sont ainsi rédigés : « II. – Lorsque les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures reposent sur un indice et que les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures se trouvent contestées par l’exploitant, l’organisme chargé de verser l’indemnisation transmet, dans les trente jours, au comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours prévu à l’article D.[...], avec copie au comité d’analyse des indices, les éléments techniques qui ont servi de bases aux calculs de l’indemnité ou à son refus. « Le comité départemental de suivi de la mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours assure le suivi régulier de la pousse mesurée par l’indice au fur et à mesure de sa publication, et au moins trois fois par an. À ce titre, il vérifie son adéquation avec les résultats de l’observatoire national de la pousse de l’herbe appliqués aux fermes du réseau national en proximité de la zone de réclamation et transmis par le comité d’analyse des indices. Le comité départemental mène son analyse par tous moyens tant sur l’année de la campagne en cours que sur les années qui ont servi à constituer l’historique de l’indice. « Le comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours transmet ses analyses et avis, sous quinze jours, dans les conditions fixées par décret, au comité d’analyse des indices et à la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes mentionnée au premier alinéa de l’article L. 361‑8. « Seul en capacité de saisir le fournisseur d’indice pour vérifier l’absence d’erreur manifeste chez le fournisseur d’indice mais aussi chez tous les interlocuteurs agréés, le comité d’analyse des indices devra également se prononcer sur le bon niveau de corrélation des résultats observés sur les fermes du réseau de l’observatoire national de la pousse de l’herbe avec l’indice exprimé sur la même zone. « Si une erreur manifeste est constatée et corrigible par le fournisseur d’indice, celui-ci réalise les correctifs nécessaires dans un délai de quinze jours en informe le comitéd’analyse des indices qui transmettra ces informations au comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours pour les éleveurs, à l’organisme chargé de verser l’indemnisation ainsi qu’à la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes. L’organisme chargé de verser l’indemnisation doit disposer de ces rectifications dans un délai de quinze jours à compter de la décision, fournit une réponse écrite à l’exploitant dans un délai de quinze jours à compter de la réception de ces correctifs et verse l’indemnisation complémentaire dans le cadre de l’indemnisation de solidarité nationale et des garanties d’assurances lorsque souscrites. « Si aucune erreur manifeste n’est constatée par le fournisseur d’indice, le comité d’analyse des indices saisit la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes. Si le comité des indices le juge nécessaire, après avis de la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes, le fournisseur d’indice peut être appelé à apporter des améliorations à son indice pour les prochaines campagnes. Si la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes le juge nécessaire, en s’appuyant notamment sur le rapport du comité départemental, elle peut proposer, dans un délai d’un mois, l’indemnisation complémentaires des exploitants concernés par le Fonds de solidarité nationale prévu à l’article L. 361‑42 du code rural et de la pêche maritime. La commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes rend compte de sa décision auprès du comité d’analyse des indices, du comité départemental de gestion des recours et les organismes chargés de verser l’indemnisation. Dès qu’il en a connaissance, l’organisme chargé de verser l’indemnisation fournit une réponse écrite à l’exploitant. « La commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes rend un avis annuel sur la pertinence des critères retenus pour déterminer les pertes de récoltes ou de cultures et sur les conditions effectives de l’indemnisation des sinistrés. Cet avis est rendu notamment sur le fondement d’un rapport annuel produit par le comité d’analyse des indices ainsi que sur le fondement d’un état des référentiels ou des méthodes retenus pour apprécier les pertes de rendement. « III. – Un décret fixe les conditions d’application du présent article, notamment les modalités et les délais permettant l’effectivité des voies de recours mentionnées au II, et les conditions dans lesquelles les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures peuvent faire l’objet d’une demande de réévaluation par les exploitants, notamment en cas d’erreur manifeste relative à l’évaluation des pertes par un système indiciel. « Un décret fixe les missions, les modalités de fonctionnement et la composition des comités départementaux de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours pour les éleveurs. ».
🖋️n°CE423 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Substituer à l’alinéa 1 les huit alinéas suivants : « Le code rural et de la pêche est ainsi modifié : « 1° L’article L. 361‑4‑6 est ainsi modifié « a) Le premier alinéa du II est ainsi modifié : « –  Après les mots : « chargé de l’agriculture, », sont insérés les mots : « et au comité départemental d’expertise mentionné à l’article L. 361‑8, » ; « –  À la fin, sont ajoutées trois phrases ainsi rédigées : « Dès lors qu’un nombre suffisant de réclamations, précisé par arrêté préfectoral, est atteint au sein du département, le comité départemental d’expertise peut lancer une enquête de terrain en vue d’évaluer une perte moyenne de production sur une zone donnée. Au terme de cette enquête, le même comité propose, le cas échéant, une rectification des évaluations des pertes de récolte ou de culture. L’organisme chargé de verser l’indemnisation fournit une réponse écrite dans un délai d’un mois à compter de la réception des préconisations du comité départemental d’expertise. » ; « b) Après le mot : « article », la fin du III est ainsi rédigée : « , notamment les modalités permettant l’effectivité des voies de recours mentionnées au II. » ; « 2° L’article L361‑4‑2 est ainsi modifié : après l’alinéa 3, est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Lorsqu’elle procède à l’indemnisation des pertes de récolte, la troisième section du Fonds national de gestion des risques en agriculture peut attribuer, d’un montant fixé par décret, une prime complémentaire conditionnée à la mise en œuvre, par l’exploitation agricole concernée, de pratiques agronomiques ou de gestion reconnues comme renforçant sa résilience face à l’événement climatique à l’origine des pertes. » « 3° L’article L. 361‑8 est ainsi modifié : à la dernière phrase du dernier alinéa, les mots : « des entreprises d’assurance, de l’État » sont remplacés par les mots : « de l’institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE), défini aux articles R831‑1 à R831‑14 du code rural et de la pêche maritime ».
🖋️n°CE473 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Rétablir le I dans la rédaction suivante : « À l’article L. 361‑4‑6 du code rural et de la pêche maritime, les deuxième à quatrième sont remplacés par neuf alinéas ainsi rédigés : « II. – Lorsque les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures reposent sur un indice et que les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures se trouvent contestées par l’exploitant, l’organisme chargé de verser l’indemnisation transmet, dans les 30 jours, au comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours prévu à l’article D. [...], avec copie au comité d’analyse des indices, les éléments techniques qui ont servi de bases aux calculs de l’indemnité ou à son refus. « Le comité départemental de suivi de la mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours assure le suivi régulier de la pousse mesurée par l’indice au fur et à mesure de sa publication, et au moins trois fois par an. À ce titre, il vérifie son adéquation avec les résultats de l’observatoire national de la pousse de l’herbe appliqués aux fermes du réseau national en proximité de la zone de réclamation et transmis par le comité d’analyse des indices. Le comité départemental mène son analyse par tous moyens tant sur l’année de la campagne en cours que sur les années qui ont servi à constituer l’historique de l’indice. « Le comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours transmet ses analyses et avis, sous quinze jours, dans les conditions fixées par décret, au comité d’analyse des indices et à la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes mentionnée au premier alinéa de l’article L. 361‑8. « Seul en capacité de saisir le fournisseur d’indice pour vérifier l’absence d’erreur manifeste chez le fournisseur d’indice mais aussi chez tous les interlocuteurs agréés, le comité d’analyse des indices devra également se prononcer sur le bon niveau de corrélation des résultats observés sur les fermes du réseau de l’observatoire national de la pousse de l’herbe avec l’indice exprimé sur la même zone. « Si une erreur manifeste est constatée et corrigible par le fournisseur d’indice, celui-ci réalise les correctifs nécessaires dans un délai de quinze jours en informe le comité d’analyse des indices qui transmettra ces informations au comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours pour les éleveurs, à l’organisme chargé de verser l’indemnisation ainsi qu’à la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes. L’organisme chargé de verser l’indemnisation doit disposer de ces rectifications dans un délai de quinze jours à compter de la décision, fournit une réponse écrite à l’exploitant dans un délai de quinze jours à compter de la réception de ces correctifs et verse l’indemnisation complémentaire dans le cadre de l’indemnisation de solidarité nationale et des garanties d’assurances lorsque souscrites. « Si aucune erreur manifeste n’est constatée par le fournisseur d’indice, le comité d’analyse des indices saisit la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes. Si le comité des indices le juge nécessaire, après avis de la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes, le fournisseur d’indice peut être appelé à apporter des améliorations à son indice pour les prochaines campagnes. Si la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes le juge nécessaire, en s’appuyant notamment sur le rapport du comité départemental, elle peut proposer, dans un délai d’un mois, l’indemnisation complémentaires des exploitants concernés par le Fonds de solidarité nationale prévu à l’article L 361‑42 du code rural et de la pêche maritime. La commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes rend compte de sa décision auprès du comité d’analyse des indices, du comité départemental de gestion des recours et les organismes chargés de verser l’indemnisation. Dès qu’il en a connaissance, l’organisme chargé de verser l’indemnisation fournit une réponse écrite à l’exploitant. « La commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes rend un avis annuel sur la pertinence des critères retenus pour déterminer les pertes de récoltes ou de cultures et sur les conditions effectives de l’indemnisation des sinistrés. Cet avis est rendu notamment sur le fondement d’un rapport annuel produit par le comité d’analyse des indices ainsi que sur le fondement d’un état des référentiels ou des méthodes retenus pour apprécier les pertes de rendement. « III. – Un décret fixe les conditions d’application du présent article, notamment les modalités et les délais permettant l’effectivité des voies de recours mentionnées au II, et les conditions dans lesquelles les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures peuvent faire l’objet d’une demande de réévaluation par les exploitants, notamment en cas d’erreur manifeste relative à l’évaluation des pertes par un système indiciel. « Un décret fixe les missions, les modalités de fonctionnement et la composition des comités départementaux de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours pour les éleveurs. ».
🖋️n°CE474 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Rétablir le I dans la rédaction suivante : « À l’article L. 361‑4‑6 du code rural et de la pêche maritime, les deuxième à quatrième alinéas son remplacés par les neuf alinéas ainsi rédigés : « II. – Lorsque les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures reposent sur un indice et que les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures se trouvent contestées par l’exploitant, l’organisme chargé de verser l’indemnisation peut transmettre, dans les 30 jours, au comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours prévu à l’article D. [...], avec copie au comité d’analyse des indices, les éléments techniques qui ont servi de bases aux calculs de l’indemnité ou à son refus. « Le comité départemental de suivi de la mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours assure le suivi régulier de la pousse mesurée par l’indice au fur et à mesure de sa publication, et au moins trois fois par an. À ce titre, il vérifie son adéquation avec les résultats de l’observatoire national de la pousse de l’herbe appliqués aux fermes du réseau national en proximité de la zone de réclamation et transmis par le comité d’analyse des indices. Le comité départemental peut mener son analyse par tous moyens tant sur l’année de la campagne en cours que sur les années qui ont servi à constituer l’historique de l’indice. « Le comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours peut transmettre ses analyses et avis, sous quinze jours, dans les conditions fixées par décret, au comité d’analyse des indices et à la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes mentionnée au premier alinéa de l’article L. 361‑8. « Seul en capacité de saisir le fournisseur d’indice pour vérifier l’absence d’erreur manifeste chez le fournisseur d’indice mais aussi chez tous les interlocuteurs agréés, le comité d’analyse des indices pourra également se prononcer sur le bon niveau de corrélation des résultats observés sur les fermes du réseau de l’observatoire national de la pousse de l’herbe avec l’indice exprimé sur la même zone. « Si une erreur manifeste est constatée et corrigible par le fournisseur d’indice, celui-ci peut réaliser les correctifs nécessaires dans un délai de quinze jours en informe le comité d’analyse des indices qui pourra transmettre ces informations au comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours pour les éleveurs, à l’organisme chargé de verser l’indemnisation ainsi qu’à la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes. L’organisme chargé de verser l’indemnisation doit disposer de ces rectifications dans un délai de quinze jours à compter de la décision, fournit une réponse écrite à l’exploitant dans un délai de quinze jours à compter de la réception de ces correctifs et verse l’indemnisation complémentaire dans le cadre de l’indemnisation de solidarité nationale et des garanties d’assurances lorsque souscrites. « Si aucune erreur manifeste n’est constatée par le fournisseur d’indice, le comité d’analyse des indices peut saisir la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes. Si le comité des indices le juge nécessaire, après avis de la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes, le fournisseur d’indice peut être appelé à apporter des améliorations à son indice pour les prochaines campagnes. Si la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes le juge nécessaire, en s’appuyant notamment sur le rapport du comité départemental, elle peut proposer, dans un délai d’un mois, l’indemnisation complémentaires des exploitants concernés par le Fonds de solidarité nationale prévu à l’article L 361‑42 du code rural et de la pêche maritime. La commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes rend compte de sa décision auprès du comité d’analyse des indices, du comité départemental de gestion des recours et les organismes chargés de verser l’indemnisation. Dès qu’il en a connaissance, l’organisme chargé de verser l’indemnisation fournit une réponse écrite à l’exploitant. « La commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes rend un avis annuel sur la pertinence des critères retenus pour déterminer les pertes de récoltes ou de cultures et sur les conditions effectives de l’indemnisation des sinistrés. Cet avis est rendu notamment sur le fondement d’un rapport annuel produit par le comité d’analyse des indices ainsi que sur le fondement d’un état des référentiels ou des méthodes retenus pour apprécier les pertes de rendement. « III. – Un décret fixe les conditions d’application du présent article, notamment les modalités et les délais permettant l’effectivité des voies de recours mentionnées au II, et les conditions dans lesquelles les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures peuvent faire l’objet d’une demande de réévaluation par les exploitants, notamment en cas d’erreur manifeste relative à l’évaluation des pertes par un système indiciel. « Un décret fixe les missions, les modalités de fonctionnement et la composition des comités départementaux de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours pour les éleveurs. ».
🖋️n°CE279 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 2 à 4 les dix alinéas suivants : « À l’article L. 361‑4‑6 du code rural et de la pêche maritime, les deuxième à quatrième alinéas sont ainsi rédigé : « II. – Lorsque les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures reposent sur un indice et que les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures se trouvent contestées par l’exploitant, l’organisme chargé de verser l’indemnisation transmet, dans les 30 jours, au comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours, avec copie au comité d’analyse des indices, les éléments techniques qui ont servi de bases aux calculs de l’indemnité ou à son refus. « Le comité départemental de suivi de la mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours assure le suivi régulier de la pousse mesurée par l’indice au fur et à mesure de sa publication, et au moins trois fois par an. À ce titre, il vérifie son adéquation avec les résultats de l’observatoire national de la pousse de l’herbe appliqués aux fermes du réseau national en proximité de la zone de réclamation et transmis par le comité d’analyse des indices. Le comité départemental mène son analyse par tous moyens tant sur l’année de la campagne en cours que sur les années qui ont servi à constituer l’historique de l’indice. « Le comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours transmet ses analyses et avis, sous quinze jours, dans les conditions fixées par décret, au comité d’analyse des indices et à la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes mentionnée au premier alinéa de l’article L. 361‑8. « Seul en capacité de saisir le fournisseur d’indice pour vérifier l’absence d’erreur manifeste chez le fournisseur d’indice mais aussi chez tous les interlocuteurs agréés, le comité d’analyse des indices devra également se prononcer sur le bon niveau de corrélation des résultats observés sur les fermes du réseau de l’observatoire national de la pousse de l’herbe avec l’indice exprimé sur la même zone. « Si une erreur manifeste est constatée et corrigible par le fournisseur d’indice, celui-ci réalise les correctifs nécessaires dans un délai de quinze jours en informe le comité d’analyse des indices qui transmettra ces informations au comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours pour les éleveurs, à l’organisme chargé de verser l’indemnisation ainsi qu’à la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes. L’organisme chargé de verser l’indemnisation doit disposer de ces rectifications dans un délai de quinze jours à compter de la décision, fournit une réponse écrite à l’exploitant dans un délai de quinze jours à compter de la réception de ces correctifs et verse l’indemnisation complémentaire dans le cadre de l’indemnisation de solidarité nationale et des garanties d’assurances lorsque souscrites. « Si aucune erreur manifeste n’est constatée par le fournisseur d’indice, le comité d’analyse des indices saisit la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes. Si le comité des indices le juge nécessaire, après avis de la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes, le fournisseur d’indice peut être appelé à apporter des améliorations à son indice pour les prochaines campagnes. Si la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes le juge nécessaire, en s’appuyant notamment sur le rapport du comité départemental, elle peut proposer, dans un délai d’un mois, l’indemnisation complémentaires des exploitants concernés par le Fonds de solidarité nationale prévu à l’article L 361‑42 du code rural et de la pêche maritime. La commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes rend compte de sa décision auprès du comité d’analyse des indices, du comité départemental de gestion des recours et les organismes chargés de verser l’indemnisation. Dès qu’il en a connaissance, l’organisme chargé de verser l’indemnisation fournit une réponse écrite à l’exploitant.  « La commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes rend un avis annuel sur la pertinence des critères retenus pour déterminer les pertes de récoltes ou de cultures et sur les conditions effectives de l’indemnisation des sinistrés. Cet avis est rendu notamment sur le fondement d’un rapport annuel produit par le comité d’analyse des indices ainsi que sur le fondement d’un état des référentiels ou des méthodes retenus pour apprécier les pertes de rendement. « III. – Un décret fixe les conditions d’application du présent article, notamment les modalités et les délais permettant l’effectivité des voies de recours mentionnées au II, et les conditions dans lesquelles les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures peuvent faire l’objet d’une demande de réévaluation par les exploitants, notamment en cas d’erreur manifeste relative à l’évaluation des pertes par un système indiciel. « Un décret fixe les missions, les modalités de fonctionnement et la composition des comités départementaux de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours pour les éleveurs. ».
🖋️n°CE498 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 2 à 4 les dix aliénas suivants : « À l’article L. 361-4-6 du code rural et de la pêche maritime, les alinéas 2, 3 et 4 sont remplacés par un II et III ainsi rédigés : « II. – Lorsque les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures reposent sur un indice et que les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures se trouvent contestées par l’exploitant, l'organisme chargé de verser l'indemnisation transmet, dans les 30 jours, au comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours prévu à l’article D. [...], avec copie au comité d’analyse des indices, les éléments techniques qui ont servi de bases aux calculs de l'indemnité ou à son refus. « Le comité départemental de suivi de la mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours assure le suivi régulier de la pousse mesurée par l’indice au fur et à mesure de sa publication, et au moins trois fois par an. À ce titre, il vérifie son adéquation avec les résultats de l’observatoire national de la pousse de l’herbe appliqués aux fermes du réseau national en proximité de la zone de réclamation et transmis par le comité d’analyse des indices. Le comité départemental mène son analyse par tous moyens tant sur l’année de la campagne en cours que sur les années qui ont servi à constituer l’historique de l’indice. « Le comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours transmet ses analyses et avis, sous quinze jours, dans les conditions fixées par décret, au comité d’analyse des indices et à la commission chargée de l'orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes mentionnée au premier alinéa de l'article L. 361-8. « Seul en capacité de saisir le fournisseur d’indice pour vérifier l’absence d’erreur manifeste chez le fournisseur d’indice mais aussi chez tous les interlocuteurs agréés, le comité d’analyse des indices devra également se prononcer sur le bon niveau de corrélation des résultats observés sur les fermes du réseau de l’observatoire national de la pousse de l’herbe avec l’indice exprimé sur la même zone. « Si une erreur manifeste est constatée et corrigible par le fournisseur d’indice, celui-ci réalise les correctifs nécessaires dans un délai de quinze jours en informe le comité d’analyse des indices qui transmettra ces informations au comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours pour les éleveurs, à l’organisme chargé de verser l’indemnisation ainsi qu’à la commission chargée de l'orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes. L’organisme chargé de verser l’indemnisation doit disposer de ces rectifications dans un délai de quinze jours à compter de la décision, fournit une réponse écrite à l’exploitant dans un délai de quinze jours à compter de la réception de ces correctifs et verse l’indemnisation complémentaire dans le cadre de l’indemnisation de solidarité nationale et des garanties d’assurances lorsque souscrites. « Si aucune erreur manifeste n’est constatée par le fournisseur d’indice, le comité d’analyse des indices saisit la commission chargée de l'orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes. Si le comité des indices le juge nécessaire, après avis de la commission chargée de l'orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes, le fournisseur d’indice peut être appelé à apporter des améliorations à son indice pour les prochaines campagnes. Si la commission chargée de l'orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes le juge nécessaire, en s’appuyant notamment sur le rapport du comité départemental, elle peut proposer, dans un délai d’un mois, l’indemnisation complémentaires des exploitants concernés par le Fonds de solidarité nationale prévu à l’article L 361-42 du code rural et de la pêche maritime. La commission chargée de l'orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes rend compte de sa décision auprès du comité d’analyse des indices, du comité départemental de gestion des recours et les organismes chargés de verser l’indemnisation. Dès qu’il en a connaissance, l’organisme chargé de verser l’indemnisation fournit une réponse écrite à l’exploitant.  « La commission chargée de l'orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes rend un avis annuel sur la pertinence des critères retenus pour déterminer les pertes de récoltes ou de cultures et sur les conditions effectives de l'indemnisation des sinistrés. Cet avis est rendu notamment sur le fondement d'un rapport annuel produit par le comité d’analyse des indices ainsi que sur le fondement d'un état des référentiels ou des méthodes retenus pour apprécier les pertes de rendement. « III. – Un décret fixe les conditions d'application du présent article, notamment les modalités et les délais permettant l’effectivité des voies de recours mentionnées au II, et les conditions dans lesquelles les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures peuvent faire l'objet d'une demande de réévaluation par les exploitants, notamment en cas d'erreur manifeste relative à l'évaluation des pertes par un système indiciel. « Un décret fixe les missions, les modalités de fonctionnement et la composition des comités départementaux de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours pour les éleveurs. »
🖋️n°CE661 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 2 à 4 les dix alinéas suivants : « À l’article L. 361‑4‑6 du code rural et de la pêche maritime, les alinéas 2, 3 et 4 sont remplacés par un II et III ainsi rédigés : « II. – Lorsque les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures reposent sur un indice et que les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures se trouvent contestées par l’exploitant, l’organisme chargé de verser l’indemnisation transmet, dans les 30 jours, au comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours prévu à l’article D. [...], avec copie au comité d’analyse des indices, les éléments techniques qui ont servi de bases aux calculs de l’indemnité ou à son refus. « Le comité départemental de suivi de la mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours assure le suivi régulier de la pousse mesurée par l’indice au fur et à mesure de sa publication, et au moins trois fois par an. À ce titre, il vérifie son adéquation avec les résultats de l’observatoire national de la pousse de l’herbe appliqués aux fermes du réseau national en proximité de la zone de réclamation et transmis par le comité d’analyse des indices. Le comité départemental mène son analyse par tous moyens tant sur l’année de la campagne en cours que sur les années qui ont servi à constituer l’historique de l’indice. « Le comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours transmet ses analyses et avis, sous quinze jours, dans les conditions fixées par décret, au comité d’analyse des indices et à la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes mentionnée au premier alinéa de l’article L. 361‑8. « Seul en capacité de saisir le fournisseur d’indice pour vérifier l’absence d’erreur manifeste chez le fournisseur d’indice mais aussi chez tous les interlocuteurs agréés, le comité d’analyse des indices devra également se prononcer sur le bon niveau de corrélation des résultats observés sur les fermes du réseau de l’observatoire national de la pousse de l’herbe avec l’indice exprimé sur la même zone. « Si une erreur manifeste est constatée et corrigible par le fournisseur d’indice, celui-ci réalise les correctifs nécessaires dans un délai de quinze jours en informe le comité d’analyse des indices qui transmettra ces informations au comité départemental de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours pour les éleveurs, à l’organisme chargé de verser l’indemnisation ainsi qu’à la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes. L’organisme chargé de verser l’indemnisation doit disposer de ces rectifications dans un délai de quinze jours à compter de la décision, fournit une réponse écrite à l’exploitant dans un délai de quinze jours à compter de la réception de ces correctifs et verse l’indemnisation complémentaire dans le cadre de l’indemnisation de solidarité nationale et des garanties d’assurances lorsque souscrites. « Si aucune erreur manifeste n’est constatée par le fournisseur d’indice, le comité d’analyse des indices saisit la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes. Si le comité des indices le juge nécessaire, après avis de la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes, le fournisseur d’indice peut être appelé à apporter des améliorations à son indice pour les prochaines campagnes. Si la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes le juge nécessaire, en s’appuyant notamment sur le rapport du comité départemental, elle peut proposer, dans un délai d’un mois, l’indemnisation complémentaires des exploitants concernés par le Fonds de solidarité nationale prévu à l’article L 361‑42 du code rural et de la pêche maritime. La commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes rend compte de sa décision auprès du comité d’analyse des indices, du comité départemental de gestion des recours et les organismes chargés de verser l’indemnisation. Dès qu’il en a connaissance, l’organisme chargé de verser l’indemnisation fournit une réponse écrite à l’exploitant. « La commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes rend un avis annuel sur la pertinence des critères retenus pour déterminer les pertes de récoltes ou de cultures et sur les conditions effectives de l’indemnisation des sinistrés. Cet avis est rendu notamment sur le fondement d’un rapport annuel produit par le comité d’analyse des indices ainsi que sur le fondement d’un état des référentiels ou des méthodes retenus pour apprécier les pertes de rendement. « III. – Un décret fixe les conditions d’application du présent article, notamment les modalités et les délais permettant l’effectivité des voies de recours mentionnées au II, et les conditions dans lesquelles les évaluations des pertes de récoltes ou de cultures peuvent faire l’objet d’une demande de réévaluation par les exploitants, notamment en cas d’erreur manifeste relative à l’évaluation des pertes par un système indiciel. « Un décret fixe les missions, les modalités de fonctionnement et la composition des comités départementaux de suivi de mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours pour les éleveurs. ».
🖋️n°CE740 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « Après la huitième phrase du quatrième alinéa de l’article L. 125‑2 du code des assurances, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Les franchises ne s’appliquent qu’une seule fois lors de la succession d’aléas naturels de même nature sur une période courte, selon des modalités définies par décret. Cette application unique porte effet sur les seuls rapports entre assurés, ayant droits éventuels et assureurs, et n’emporte pas de conséquences sur les aides et garanties publiques applicables prévues au le code rural et de la pêche maritime ».
🖋️n°CE434 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « Après la huitième phrase du quatrième alinéa de l’article L. 125‑2 du code des assurances, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Les franchises ne s’appliquent qu’une seule fois lors de la succession d’aléas naturels de même nature sur une période courte, selon des modalités définies par décret. » »
🖋️n°CE736 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants : « Le Gouvernement est invité à engager, dans les meilleurs délais, des négociations au sein des instances de l’Union européenne afin d’obtenir une révision du point 1 de l’article 37 du règlement (UE) n° 1305/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013, en vue de permettre aux États membres d’étendre jusqu’à dix ans la période de référence utilisée pour le calcul de l’indemnisation des pertes de récoltes liées à des événements climatiques défavorables. « Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai d’un an à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport détaillant l’état d’avancement de ces négociations ainsi que les actions menées par la France pour soutenir cette demande. »
🖋️n°CD407 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport évaluant les pistes d’évolution à promouvoir pour réformer les modalités de calcul du potentiel de production moyen par culture, notamment les moyens de rendre le calcul de la moyenne olympique plus cohérent avec la réalité des impacts du changement climatique pour les exploitants. »
🖋️n°CE752 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par les deux alinéas suivants :  « Le Gouvernement est invité à engager, dans les meilleurs délais, des négociations au sein des instances de l’Union européenne afin d’obtenir une révision du point 1 de l’article 37 du règlement (UE) n° 1305/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013, en vue de permettre aux États membres d’étendre jusqu’à dix ans la période de référence utilisée pour le calcul de l’indemnisation des pertes de récoltes liées à des événements climatiques défavorables. « Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai d’un an à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport détaillant l’état d’avancement de ces négociations ainsi que les actions menées par la France pour soutenir cette demande. »
🖋️n°CE754 Irrecevable • Il y a +1 semaine
I. – Après l’article L. 361‑4‑7 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 361‑4‑8 ainsi rédigé : « Art. L. 361‑4‑8. – Un fonds professionnel mutuel et solidaire peut être créé à l’initiative des organisations interprofessionnelles agricoles reconnues au sens de l’article L. 632‑1 du présent code. « Ce fonds, propre à chaque filière agricole, a pour objet de mutualiser les pertes économiques subies par les exploitants agricoles en raison d’événements climatiques affectant leur production. « Il peut bénéficier, dans des conditions équivalentes à celles prévues pour les contrats d’assurance multirisques climatiques mentionnés à l’article L. 361‑4, des aides versées au titre de la deuxième section du Fonds national de gestion des risques en agriculture. « Les conditions de création, d’adhésion, de fonctionnement, de gouvernance et de contrôle de ces fonds sont déterminées par décret en Conseil d’État. » II. – L’article L. 361‑4 du même code est ainsi modifié : 1° Au premier alinéa, après les mots : « contrats d’assurance », sont insérés les mots : « ou de fonds professionnels mutuels et solidaires » ; 2° Il est complété par un alinéa ainsi rédigé : « De façon alternative à la souscription individuelle d’un contrat d’assurance, tout exploitant agricole peut choisir d’adhérer à un fonds professionnel mutuel et solidaire tel que défini à l’article L. 361‑4‑8. » III. – L’article L. 361‑4‑2 est ainsi modifié : 1° À la première phrase du deuxième alinéa, après le mot : « assurance », sont insérés les mots : « ou de leur fonds professionnel mutuel et solidaire » ; 2° À la première phrase du troisième alinéa, après le mot : « contrat », sont insérés les mots : « ou ayant adhéré à un fonds professionnel mutuel et solidaire » ; 3° À la dernière phrase du même alinéa, après les mots : « aux contrats d’assurance », sont insérés les mots : « ou aux fonds professionnels mutuels et solidaires ». IV. – À l’article L. 361‑4‑4, après la première phrase, il est inséré une phrase ainsi rédigée : « Ce comité émet également un avis sur les conditions d’agrément, de fonctionnement et d’évaluation des fonds professionnels mutuels et solidaires mentionnés à l’article L. 361‑4‑8. » V. – À l’article L. 361‑4‑6, après les mots : « contrats d’assurance », sont insérés les mots : « ou les fonds professionnels mutuels et solidaires ».
🖋️n°CE735 Rejeté • Il y a +1 semaine
Le 2° de l’article L-361‑4-1 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : après le mot : « production, », sont insérés les mots : « et proposant nécessairement des mesures d’indemnisation pour des baisses de qualité des productions causées par des évènements climatiques ».
🖋️n°CE733 Rejeté • Il y a +1 semaine
Le 2° de l’article L-361‑4‑1 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : après le mot : « production », sont insérés les mots : « en veillant à ce que l’agriculture biologique bénéficie d’un régime d’assurance préférentiel à production et culture équivalentes, incluant notamment un niveau de remboursement adapté aux prix actuels du marché ».
🖋️n°CE734 Rejeté • Il y a +1 semaine
Au 2° de l’article L-361‑4‑1 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : après le mot : « production », sont insérés les mots : « ainsi qu’un barème spécifique pour les parcelles accueillant des associations de cultures ». 
🖋️n°CE742 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Ajouter un III à l’article L. 364‑1 du code rural et de la pêche maritime ainsi rédigé : "III. –  Les entreprises d’assurance transmettent au fonds national de gestion des risques en agriculture mentionné à l’article L. 361‑1 dans des conditions fixées par arrêté du ministres en charge de l’Agriculture les informations relatives au volume de contrats souscrits, aux conditions de tarification et d’exclusion et au montant des aides publiques perçues au titre du soutien à ces contrats et en particulier l’assurance récolte telle qu’issue de l’article 4 de la présente loi, nonobstant d’autres dispositions particulières. La Cour des comptes dispose d’un droit d’accès à ces éléments et en rend compte notamment dans le cadre de sa mission d’assistance au Parlement prévu à l’article 58 de la loi organique n° 2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances."
🖋️n°CE430 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Après l’article 4, insérer l’article suivant :  Les entreprises d’assurance proposant une couverture contre les aléas climatiques aux exploitants agricoles transmettent chaque année à la Cour des Comptes un rapport portant sur : 1° Le volume de contrats souscrits, 2° Les conditions de tarification et d’exclusion, 3° Le montant des aides publiques perçues au titre de la subvention de ces contrats. Ces éléments sont publiés annuellement par la Cour des Comptes.    
🖋️n°CE442 Irrecevable • Il y a +1 semaine
L’État se donne pour objectif la création et la mise en place progressive, au plus tard en 2026, en coordination avec les régions et avec l’institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE),d’un cadre de réalisation de diagnostics d’accompagnement destinés à fournir des informations utiles aux exploitants agricoles pour adapter leur exploitation face aux conséquences du dérèglement climatique. Il comprend une évaluation de l’exploitation au regard, d’une part, de sa résilience face aux conséquences du dérèglement climatique, telles qu’elles sont estimées par la trajectoire de réchauffement de référence pour l’adaptation au dérèglement climatique et, d’autre part, de sa capacité à contribuer à l’atténuation de celui‑ci, notamment par la mise en place de pratiques agroécologiques, dont la gestion durable des haies. Il prend en compte les spécificités territoriales et thématiques des exploitations, en particulier celles relatives aux caractéristiques pédoclimatiques, à la ressource en eau, à la biodiversité, aux productions et aux capacités de diversification de l’exploitation ainsi qu’une évaluation de ses propriétés physiques, chimiques et biologiques, afin d’améliorer le potentiel agronomique et les pratiques. 
🖋️n°CE678 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Dans un délai de 12 mois à compter de la promulgation de la présente loi, l’État se dote d’une stratégie nationale en faveur de la préservation et de la restauration des prairies permanentes.
🖋️n°CE433 Rejeté • Il y a +1 semaine
L’impact des évènements climatiques sur la qualité des récoltes, notamment en matière de taux de Protéines Digestibles dans l’Intestin issues de l’Ensemble de l’azote ingéré (PDIE), de Protéines Digestibles dans l’Intestin issues de l’Azote non dégradé dans le rumen (PDIA), de Matière Sèche (MS) et d’Unités Fourragères (UF), est pris en compte dans la conception des indicateurs utilisés dans les contrats d’assurance multirisque climatique. Le Gouvernement veille, dans le cadre des travaux de révision des modalités assurantielles, à intégrer cette dimension qualitative lorsque les données disponibles le permettent.
🖋️n°CD215 Irrecevable • Il y a +2 semaines
I. – Après l’article 72 B du code général des impôts, il est inséré un article 72 B bis A ainsi rédigé : « Art. 72 B bis A. – L’indemnisation versée par l’État au titre de l’article L. 361‑3 du code rural et de la pêche maritime et utilisée pour reconstituer l’élevage dans les vingt-quatre mois suivant la date de publication de l’arrêté préfectoral portant déclaration d’infection n’est pas assujettie à l’impôt. » II. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.
🖋️n°CD386 Irrecevable • Il y a +2 semaines
L’article L. 201‑3 du code rural et de la pêche maritime est complété par un alinéa ainsi rédigé : « En cas de crise épizootique, notamment lors des pics épizootiques d’influenza aviaire, un référent préfectoral coordinateur est désigné pour chaque zone géographique de contamination. Ce référent est chargé de coordonner les actions nécessaires en lien avec les services déconcentrés de l’État, afin d’assurer la cohérence des mesures sanitaires et la communication rapide aux services de l’administration centrale les difficultés de terrain rencontrées. Les modalités de désignation de ces référents préfectoraux, ainsi que les conditions d’exercice de leurs fonctions, sont définies par un décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CD389 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Après le 6 du I de l’article L. 201‑4 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :  « 7° Assurer la sensibilisation et la formation des détenteurs d’oiseaux, professionnels ou non, aux bonnes pratiques de biosécurité afin de renforcer la prévention des épizooties. Cette sensibilisation prend en compte la diversité des modèles d’élevage et des modes de détention, et s’appuie sur des modalités pédagogiques adaptées aux réalités de terrain. Les actions de formation peuvent être conduites en lien avec les organisations professionnelles agricoles, les établissements d’enseignement agricole, les collectivités territoriales et les associations compétentes. Les conditions d’application du présent article sont précisées par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CD390 Irrecevable • Il y a +2 semaines
L’article L. 201‑7 du code rural et de la pêche maritime est complété par deux alinéas ainsi rédigés : « Dans les zones identifiées à risque particulier de diffusion du virus de l’influenza aviaire hautement pathogène, tout propriétaire ou détenteurs d’animaux, en concertation avec les interprofessions, syndicats agricoles et les pouvoirs publics, doit élaborer en amont des crises des mesures de dédensification préventive, afin d’adapter la gestion de la production avicole à la réduction des risques sanitaires, réduire les pressions épidémiologiques en période de crise et éviter des dépeuplements massifs. « Les modalités précises de mise en œuvre de ces mesures, ainsi que les critères de dédensification en fonction des risques territoriaux et des types d’élevage, sont fixées par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CD388 Irrecevable • Il y a +2 semaines
L’article L. 201‑14 du code rural et de la pêche maritime est complété par un III ainsi rédigé :  « III. – Dans le cadre des mesures de surveillance, de prévention et de lutte contre l’influenza aviaire hautement pathogène, l’évaluation du niveau de risque sur le territoire national pour la mise à l’abri des volailles galliformes en zone à risque particulier repose sur une échelle de risque à quatre niveaux, de 1 à 4, permettant une application différenciée, progressive et proportionnée des mesures de biosécurité selon les zones géographiques concernées. « Les modalités de définition et d’application de ces niveaux de risque sont fixées par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE738 Rejeté • Il y a +1 semaine
Pour assurer la mise en œuvre de la politique publique visée à l’article 4 de la présente loi, l’État met en place un Comité national d’observation de l’assurance récolte destinée aux prairies, en lien avec le Comité national de la gestion des risques en agriculture mentionné à l’article L. 361‑8 du code rural et de la pêche maritime. Ce comité rend public ses travaux de suivi et d’évaluation dans des conditions définies par arrêté ministériel. La participation de l’ensemble des parties prenantes à cet Observatoire est assurée dans des conditions définies par arrêté ministériel. Les membres siègent à titre bénévole.
🖋️n°CE475 Irrecevable • Il y a +1 semaine
I. – Pour une durée de trois ans à compter d’une date fixée par décret et au plus tard le 1er janvier 2026, une expérimentation visant à instaurer un comité départemental de suivi de la mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours assurant le suivi régulier de la pousse mesurée par l’indice au fur et à mesure de sa publication, en lien avec le comité d’analyse des indices et la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances. II. – Au plus tard douze mois avant le terme de l’expérimentation, un comité en réalise l’évaluation afin de déterminer les suites qu’il convient de lui donner. Ce comité comprend notamment des représentants du ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire, des représentants des syndicats agricoles, ainsi que des personnalités qualifiées dont la compétence est reconnue en matière d’assurance récolte. Sa composition est fixée par arrêté du ministre chargé de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire. Ce comité ne perçoit pas de financement public. III. – Cette évaluation s’attache notamment à définir les effets de l’expérimentation en matière d’indemnisation des pertes de récoltes ou de cultures. Elle détermine, le cas échéant, les conditions dans lesquelles l’expérimentation peut être prolongée, élargie ou pérennisée, en identifiant les caractéristiques des territoires et des exploitations pour lesquels elle est susceptible de constituer une solution adaptée à la préservation des récoltes. IV. – Les modalités de mise en œuvre de l’expérimentation prévue au I sont définies par décret. La liste des territoires participant à l’expérimentation est fixée par un arrêté du ministre chargé de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire. 
🖋️n°CD387 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Après le premier alinéa de l’article L. 209‑1 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Les associations de protection de l’environnement sont régulièrement associées aux opérations de surveillance de la faune sauvage conduites par l’État et les collectivités territoriales, y compris celles conduites à des fins de prévention des maladies épizootiques. Les modalités de cette participation sont fixées par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE429 Rejeté • Il y a +1 semaine
Dans un délai de deux ans à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport dressant un état des lieux de l’offre assurantielle proposée aux exploitants agricoles pour les assurer face aux évènements climatiques, au regard du montant important des aides publiques dont bénéficient les entreprises d’assurance commercialisant ces contrats et considérant la nécessité de favoriser une offre éthique et responsable. 
🖋️n°CD385 Irrecevable • Il y a +2 semaines
L’article L. 221‑1 du code rural et de la pêche maritime est complété par deux alinéas ainsi rédigés :  « 4° En cas de survenue ou de risque avéré de crise épizootique majeure, un Conseil scientifique de gestion des crises épizootiques est institué auprès du ministre chargé de l’agriculture. Ce conseil a pour mission d’éclairer les décisions publiques relatives à la prévention, à la gestion et à la sortie de crise, en apportant une expertise pluridisciplinaire en matière de santé animale, d’épidémiologie, de biosécurité, de gestion des risques économiques et de soutien aux acteurs agricoles. Ce conseil scientifique prend en compte les retours d’expérience et associe les acteurs des filières longues, courtes et indépendantes, les représentants des syndicats agricoles, les associations de consommateurs et les associations de bien-être animal. « Sa composition, ses missions détaillées, et ses modalités de fonctionnement sont définies par décret en Conseil d’État. Ses membres exercent leurs fonctions à titre bénévole. »
🖋️n°CD427 Irrecevable • Il y a +2 semaines
I. – Après l’article L. 253‑1 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 253‑1‑1 ainsi rédigé :  « Art L. 253‑1‑1. –  La liberté de produire sans pesticide est garantie aux agriculteurs dont les productions relèvent du mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de la conversion vers ce mode de production. « Les distributeurs et détenteurs de l’autorisation de mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et des adjuvants définis à l’article L. 253‑1 sont responsables de plein droit du préjudice économique résultant de la dissémination de ces produits et de leurs impacts sur les productions relevant du mode de production biologique visées au précédent alinéa. « Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application du présent alinéa. » II. – Après l’article L. 611‑4‑2 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 611‑4‑3 ainsi rédigé : « Art. L. 611‑4‑3. – Au plus tard le 1er janvier 2030, les ventes alimentaires des enseignes de grande distribution comprennent une part au moins égale, en valeur, à 20 % de produits issus de la de l’agriculture biologique. » III. – L’ article L0682‑1 du code rural et de la pêche maritime, est ainsi modifié : a) Au premier alinéa, après les mots : « produits de l’agriculture », sont insérés les mots : « notamment issus de l’agriculture biologique au sens de l’article L. 641‑13 du présent code » ; b) Le quatrième alinéa est complété par une phrase ainsi rédigée : « Il réalise sur cette base une comparaison entre les produits issus de l’agriculture biologique et les autres produits agricoles. » ; c) Le septième alinéa est complété par une phrase ainsi rédigée : « Ce rapport expose notamment, pour les enseignes de grande distribution, la part d’offre de produits biologiques, et la part du chiffre d’affaires tiré de leur vente. » IV. – L’article L. 611‑6 du code rural et de la pêche maritime est supprimé. V. – L’article L. 230‑5‑1 du code rural et de la pêche maritime est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « VII. – « Au plus tard au 1er janvier 2030, les repas servis en restauration collective dans tous les établissements chargés d’une mission de service public comptent 100 % de produits de qualité et durables, dont au moins 50 % de produits biologiques d’ici 2030 ; ». VI. – Dans un délai de douze mois à compter de la promulgation de la présente loi et afin de sécuriser la production et les débouchés de l’agriculture biologique, l’État établit une feuille de route pour accélérer, dans ce secteur, le recours aux conventions interprofessionnelles alimentaires territoriales telle que définie par la loi n° 2018 938 du 30 octobre 2018 pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine, durable et accessible à tous. VII. – À compter du 1er janvier 2026, l’État se dote d’un dispositif interministériel de suivi et d’évaluation de l’impact environnemental et de santé publique des mesures de la politique agricole commune et du plan stratégique national mises en œuvre. VIII. – D’ici le 1er janvier 2026, l’État se dote d’une stratégie visant à renforcer la contribution de l’agriculture biologique à l’autonomie agroalimentaire française et européenne. IX. – Après l’article L. 3232‑8 du code de la santé publique, il est inséré un article L. 3232‑8‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 3232‑8-1. – Afin de faciliter le choix du consommateur au regard des effets des produits phytopharmaceutiques sur la santé humaine et sur l’environnement, toute denrée alimentaire produite à partir de produits agricoles ayant été cultivés avec un traitement phytopharmaceutique doit être signalée par voie de marquage ou d’étiquetage ou par tout autre procédé adapté. Il est visible ou accessible pour le consommateur, en particulier au moment de l’acte d’achat. »
🖋️n°CE723 Rejeté • Il y a +1 semaine
Les entreprises d’assurance proposant une couverture contre les aléas climatiques aux exploitants agricoles transmettent chaque année au Haut Conseil pour le Climat, mentionné à l’article L. 132‑4 et suivants du code de l’environnement, un rapport portant sur : 1° Le volume de contrats souscrits, 2° Les conditions de tarification et d’exclusion, 3° Le montant des aides publiques perçues au titre de la subvention de ces contrats. Ces éléments sont publiés annuellement par le Haut Conseil pour le Climat.
🖋️n°CD354 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport évaluant l’opportunité de demander une réforme de la politique agricole commune au niveau européen. Ce rapport évalue l’opportunité de mesures telles que le subventionnement des travailleurs actifs plutôt que des hectares, d’une grille d’aides dégressive suivant le nombre d’hectares, d’une rémunération des services environnementaux, et de la création d’aides spécifiques pour les petites fermes.
🖋️n°CE444 Rejeté • Il y a +1 semaine
Dans un délai de deux ans à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport décrivant l’impact comparé des événements climatiques extrêmes sur les cultures issues de l’agriculture biologique et sur les cultures conventionnelles. Ce rapport évalue notamment leur degré de vulnérabilité et de résilience face aux effets du dérèglement climatique, afin d’éclairer les politiques publiques d’assurance et d’adaptation du secteur agricole.
🖋️n°CE724 Rejeté • Il y a +1 semaine
Dans un délai de deux ans à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport décrivant l’état des connaissances sur l’impact des événements climatiques sur la qualité des récoltes. La qualité des récoltes sera évaluée en mesurant les taux de Protéines Digestibles dans l’Intestin issues de l’Ensemble de l’azote ingéré (PDIE), de Protéines Digestibles dans l’Intestin issues de l’Azote non dégradé dans le rumen (PDIA), de Matière Sèche (MS), et d’Unités Fourragères (UF) des récoltes. Ce rapport décrira également la possibilité d’intégrer les pertes économiques associées à une baisse de qualité des récoltes aux contrats assurantiels multirisque climatique.
🖋️n°CD355 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport évaluant l’opportunité d’adapter les politiques de réduction des risques et les règlements sanitaires en vigueur aux spécificités des petites fermes. Ce rapport évalue notamment l’opportunité de différencier les règles applicables aux élevages à haute densité en bâtiments fermés et celles applicables aux exploitations plus vertueuses, telles que les petites fermes qui pratiquent un élevage extensif, en polyculture, en circuit court, en plein air, ou utilisant des races résistantes.
🖋️n°CE813 Retiré • Il y a +5 jours
Rédiger ainsi cet article : « L’article L. 361‑4‑6 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : « 1° Le premier alinéa du II est ainsi modifié : « a) après les mots : « chargé de l’agriculture, », sont insérés les mots : « et au comité départemental d’expertise mentionnée à l’article L. 361‑8, » ; « b) à la fin, sont ajoutées trois phrases ainsi rédigées : « Dès lors qu’un nombre suffisant de réclamations, précisé par arrêté préfectoral, est atteint au sein du département, le comité départemental d’expertise peut lancer une enquête de terrain en vue d’évaluer une perte moyenne de production sur une zone donnée. Au terme de cette dernière, le même comité, s’appuyant sur l’expertise de la chambre départementale d’agriculture, propose une rectification, le cas échéant, des évaluations des pertes de récolte ou de culture. L’organisme chargé de verser l’indemnisation fournit une réponse écrite dans un délai d’un mois à compter de la réception des préconisations du comité départemental d’expertise. » ; « 2° Après le mot : « article », la fin du III est ainsi rédigée : « , notamment les modalités permettant l’effectivité des voies de recours mentionnées au II. »
🖋️n°CE799 Tombé • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 2 et 3 les quatre alinéas suivants : « L’État met en place un plan pluriannuel de renforcement de l’offre d’assurance contre les risques climatiques en agriculture destinée aux prairies.  « Ce plan porte sur l’information régulière des éleveurs quant à l’évaluation de leurs pertes de récoltes éventuelles et le perfectionnement et l’accroissement de la performance de cette évaluation fondée sur des indices, la meilleure intégration de l’ensemble des aléas climatiques dans l’assurance des prairies, la meilleure prise en compte des spécificités présentées par les parcelles comportant des associations de cultures et la simplification et l’accélération de la procédure de recours contre les évaluations de pertes de récoltes ou de culture. « Ce plan pluriannuel étudie les conditions dans lesquelles des instances départementales placées auprès du préfet pourraient se réunir à la demande des organisations syndicales d’exploitants agricoles représentatives, afin de présenter les résultats des indices utilisés et d’analyser les éventuels points de contestation. Le représentant de l’État dans le département transmettrait une synthèse des travaux de l'instance départementale d’expertise à la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances garantissant les dommages causés aux récoltes mentionnée au premier alinéa de l’article L. 361‑8 et au comité des indices mentionné au premier alinéa du II de l’article L. 361‑4‑6. « Le plan étudie également les moyens d’améliorer la prise en compte de la perte de qualité de l’herbe récoltée dans l’évaluation des pertes. »
🖋️n°CE523 Tombé • Il y a +1 semaine
Rétablir le I dans la rédaction suivante : « I. – L’article L. 361‑4‑6 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : « 1° Le premier alinéa du II est ainsi modifié : « a) Après les mots : « chargé de l’agriculture, », sont insérés les mots : « et au comité départemental d’expertise mentionné à l’article L. 361‑8, » ; « b) À la fin, sont ajoutées trois phrases ainsi rédigées : « Dès lors qu’un nombre suffisant de réclamations, précisé par arrêté préfectoral, est atteint au sein du département, le comité départemental d’expertise peut lancer une enquête de terrain en vue d’évaluer une perte moyenne de production sur une zone donnée. Au terme de cette enquête, le même comité, s’appuyant sur l’expertise de la chambre départementale d’agriculture, propose, le cas échéant, une rectification des évaluations des pertes de récolte ou de culture. L’organisme chargé de verser l’indemnisation fournit une réponse écrite dans un délai d’un mois à compter de la réception des préconisations du comité départemental d’expertise. » ; « 2° Après le mot : « article », la fin du III est ainsi rédigée : « , notamment les modalités permettant l’effectivité des voies de recours mentionnées au II. » « II. – Le présent article entre en vigueur le 1er juin 2025. »
🖋️n°CE476 Tombé • Il y a +1 semaine
Rétablir le II dans la rédaction suivante :  « I. – Pour une durée de trois ans à compter d’une date fixée par décret et au plus tard le 1er janvier 2025, une expérimentation visant à instaurer un comité départemental de suivi de la mesure de la variation de la pousse et de gestion des recours assurant le suivi régulier de la pousse mesurée par l’indice au fur et à mesure de sa publication, en lien avec le comité d’analyse des indices et la commission chargée de l’orientation et du développement des assurances. « II. – Au plus tard douze mois avant le terme de l’expérimentation, un comité en réalise l’évaluation afin de déterminer les suites qu’il convient de lui donner. Ce comité comprend notamment des représentants du ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire, des représentants des syndicats agricoles, ainsi que des personnalités qualifiées dont la compétence est reconnue en matière d’assurance récolte. Sa composition est fixée par arrêté du ministre chargé de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire. Ce comité ne perçoit pas de financement public. « III. – Cette évaluation s’attache notamment à définir les effets de l’expérimentation en matière d’indemnisation des pertes de récoltes ou de cultures. Elle détermine, le cas échéant, les conditions dans lesquelles l’expérimentation peut être prolongée, élargie ou pérennisée, en identifiant les caractéristiques des territoires et des exploitations pour lesquels elle est susceptible de constituer une solution adaptée à la préservation des récoltes. « IV. – Les modalités de mise en œuvre de l’expérimentation prévue au I sont définies par décret. La liste des territoires participant à l’expérimentation est fixée par un arrêté du ministre chargé de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire. »
🖋️n°CE440 Tombé • Il y a +1 semaine
I. – Compléter la première phrase de l'alinéa 2, par les mots : « et à l’arboriculture » II. – Compléter la seconde phrase du même alinéa par les mots : « et des arboriculteurs » III. – À la même phrase du même alinéa, supprimer les mots : « des prairies ».
🖋️n°CE425 Tombé • Il y a +1 semaine
À la deuxième phrase de l’alinéa 2, après le mot : « campagne »,  insérer les mots :  « , le renforcement de la formation et des obligations d’information des professionnels de l’assurance sur les phénomènes naturels impactant la ressource en eau et sur les risques qui y sont associés ». 
🖋️n°CE424 Tombé • Il y a +1 semaine
 À la deuxième phrase de l’alinéa 2, après le mot :  « campagne », insérer les mots :  « sur l’offre assurantielle existante ». 
🖋️n°CE437 Tombé • Il y a +1 semaine
À la deuxième phrase de l’alinéa 2, après le mot : « indicielle, »  insérer les mots : « , en veillant notamment à une meilleure prise en compte des parcelles accueillant des associations de cultures ».
🖋️n°CE792 Tombé • Il y a +1 semaine
I. – À l’alinéa 2, après les mots :  « indicielle, » Insérer les mots : « la consolidation de l’indice par le déploiement des fermes de référence et la publication des mesures en étant issues, ». II. – Compléter cet article par l’alinéa suivant : « IV. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services. »
🖋️n°CE569 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 2, substituer aux mots : « des aléas climatiques », les mots : « des effets du changement climatique ».
🖋️n°CE728 Tombé • Il y a +1 semaine
À la seconde phrase de l’alinéa 2, substituer au mot : « aléas »  le mot :  « évènements ».
🖋️n°CE426 Tombé • Il y a +1 semaine
À la deuxième phrase de l’alinéa 2, après le mot : « climatiques »,  insérer les mots :  « ainsi que des pertes d’exploitation liées aux restrictions d’eau par les arrêtés préfectoraux ».
🖋️n°CE730 Tombé • Il y a +1 semaine
À la seconde phrase de l’alinéa 2, après le mot :  « climatiques »,  insérer les mots :  « notamment causés par le dérèglement climatique ».
🖋️n°CE443 Tombé • Il y a +1 semaine
À la deuxième phrase de l’alinéa 2, après le mot :  « prairies »,  insérer les mots :  « , une évaluation du potentiel des haies comme infrastructure écologique s’inscrivant dans une démarche de prévention des risques climatiques en augmentant la qualité des sols et la résilience des exploitations face aux canicules, aux sécheresses et aux inondations ».
🖋️n°CE575 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 2, après le mot : « prairies »,  insérer les mots : « , une amélioration de la couverture et des indemnisations,  ».
🖋️n°CE441 Tombé • Il y a +1 semaine
Compléter l’alinéa 2 par la phrase suivante :  « Ce plan étudie également la possibilité pour les cultures en agriculture biologique de bénéficier d’un régime d’assurance préférentiel, incluant notamment un niveau de remboursement adapté aux prix actuels du marché, à production et culture équivalentes. »
🖋️n°CE628 Retiré • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant : « Le plan pluriannuel intègre également un volet spécifique sur les pertes de fourrage liées aux attaques de grands prédateurs, notamment le loup et l’ours, afin de garantir aux éleveurs une couverture adaptée aux réalités du terrain. »
🖋️n°CE427 Tombé • Il y a +1 semaine
À la première phrase de l’alinéa 3,substituer au mot : « étudie », le mot : « prévoit ».
🖋️n°CE438 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 3, après la première phrase, rédiger ainsi la fin de l’alinéa : « Le représentant de l’État est chargé de présenter et expliquer les résultats des indices utilisés, d’échanger sur les éventuels points de contestation et de les analyser ainsi que de transmettre une synthèse des travaux de l’instance au comité national des indices. »
🖋️n°CE721 Tombé • Il y a +1 semaine
À la deuxième phrase de l’alinéa 3, substituer aux mots : « pourraient être chargées »  les mots :  « sont chargées ».
🖋️n°CE722 Tombé • Il y a +1 semaine
À la troisième phrase de l’alinéa 3, substituer au mot :  « transmettrait »,  le mot :  « transmet ».
🖋️n°CE547 Tombé • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « IV. – Un bilan annuel coécrit par les ministères de l’Agriculture et de la Transition écologique présente les derniers résultats des programmes de recherche étudiant l’impact du changement climatique sur les ressources fourragères des surfaces pastorales et sur les dispositifs permettant l’adaptation des pratiques pastorales. »
🖋️n°CE739 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 3, insérer l’alinéa suivant : « Le plan pluriannuel propose une évaluation de l’impact des évènements climatiques sur la qualité des récoltes, notamment en matière de taux de Protéines Digestibles dans l’Intestin issues de l’Ensemble de l’azote ingéré (PDIE), de Protéines Digestibles dans l’Intestin issues de l’Azote non dégradé dans le rumen (PDIA), de Matière Sèche (MS) et d’Unités Fourragères (UF), de sorte de permettre la prise en compte dans la conception des indicateurs utilisés dans les contrats d’assurance multirisque climatique. »
🖋️n°CE737 Tombé • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 3, insérer l’alinéa suivant : « Ce plan étudie également la possibilité d’étendre ses propres dispositifs et diffusion de données à l’arboriculture. »
🖋️n°CE795 Tombé • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « Afin de produire des données issues du terrain permettant de fiabiliser les indices utilisés, l’État se donne comme objectif de pérenniser l'existence d'un dispositif de relevé de points d'observation de la pousse de l'herbe dans un réseau de fermes de référence reflétant la diversité des situations pédoclimatiques du territoire. »
🖋️n°CE548 Tombé • Il y a +1 semaine
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport évaluant les pistes d’évolution à promouvoir pour réformer les modalités de calcul du potentiel de production moyen par culture, notamment les moyens de rendre le calcul de la moyenne olympique plus cohérent avec la réalité des impacts du changement climatique pour les exploitants. »
🖋️n°CE428 Retiré • Il y a +1 semaine
L’article L. 361‑4 du code rural et de la pêche maritime est abrogé.
🖋️n°CE432 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CD377 Retiré • Il y a +2 semaines
🖋️n°CE725 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE726 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE727 Retiré • Il y a +1 semaine
Article 5
🖋️n°CD487 Adopté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CD3 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD193 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD299 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD417 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD437 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD311 Adopté • Il y a +2 semaines
Le 5° bis du I de l’article L. 211‑1 du code de l’environnement est ainsi rédigé : « 5° bis La réduction des volumes prélevés dans les eaux superficielles ou souterraines destinées à l’usage d’irrigation agricole, l’adaptation des pratiques agricoles au changement climatique par des solutions fondées sur la nature, et l’usage exclusif de l’eau stockée dans les ouvrages existants de stockage de l’eau à usage d’irrigation agricole pour l’irrigation de cultures relevant du mode de production biologique au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de conversion vers ce mode de production. »
🖋️n°CD489 Adopté • Il y a +1 semaine
I. – L’article L. 2224‑7‑5 du code général des collectivités territoriales est ainsi modifié :  1° Au premier alinéa, le mot : « peut » est remplacé par le mot : « doit » ; 2° Le second alinéa est supprimé. II. – L’article L. 2224‑7‑6, du code général des collectivités territoriales est ainsi modifié :  1° Au premier alinéa, les mots : « qui contribue à la gestion et à la préservation de la ressource en eau » sont supprimés ; 2° Au troisième alinéa, la première phrase est complétée par les mots : « dans un délai maximal de deux ans suivant la date de promulgation de la présente loi ».  3° La deuxième phrase est supprimée. III. – Le dernier alinéa de l’article L. 2224‑7‑7 du code général des collectivités territoriales est supprimé. IV. – L’article L. 211‑3 du code de l’environnement est ainsi modifié :   1° Le 7° du II est abrogé ;  2° Le IV est complété par deux alinéas ainsi rédigés :  « 4° Les modalités par lesquelles l’autorité administrative compétente encadre, par un programme pluriannuel d’actions, les installations, travaux, activités, dépôts, ouvrages, aménagement ou occupations du sol de nature à nuire directement ou indirectement à la qualité des eaux dans les aires d’alimentation des captages. Le programme d’actions concerne notamment les pratiques agricoles, en limitant ou interdisant, le cas échéant, certaines occupations des sols et l’utilisation d’intrants.  « L’autorité administrative soumet le projet de programme pluriannuel d’actions à la consultation du comité de bassin mentionné à l’article L. 213‑8, de la commission locale de l’eau prévue à l’article L. 212‑4 ainsi que, le cas échéant, de l’établissement public territorial de bassin mentionné à l’article L. 213‑12. » ;  3° À la première phrase du V, la référence : « 7° du II » est remplacée par la référence : « 4° du IV » ;  4° Le VI est ainsi rédigé :  « VI. – À l’intérieur des aires d’alimentation des captages associées à des points de prélèvement sensibles, au sens de l’article L. 211‑11‑1 du présent code, il est interdit d’utiliser ou de faire utiliser des engrais azotés minéraux et des produits phytopharmaceutiques de synthèse mentionnés au premier alinéa de l’article L. 253‑1 du code rural et de la pêche maritime. L’interdiction ne s’applique ni aux produits de bio‑contrôle mentionnés à l’article L. 253‑6 du même code et figurant sur la liste mentionnée au IV de l’article L. 253‑7 dudit code ni aux produits autorisés en agriculture biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du même code. L’interdiction ne s’applique pas non plus aux traitements et mesures nécessaires à la destruction et à la prévention de la propagation des organismes nuisibles mentionnés à l’article L. 251‑3 du code rural et de la pêche maritime. » 
🖋️n°CD313 Adopté • Il y a +2 semaines
Après le VI de l’article L. 213‑9‑2 du code de l’environnement, il est inséré un VI bis ainsi rédigé : « VI bis. – L’agence ne peut pas financer la construction, l’alimentation, l’entretien ou le démantèlement des réserves de substitution destinées à l’irrigation. Ces constructions sont financées directement par les seules personnes qui prélèvent, stockent ou utilisent de l’eau par leur biais. »
🖋️n°CD309 Adopté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 214‑11 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 214‑11‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 214‑11‑1. – La délivrance d’une autorisation environnementale pour la construction et l’exploitation de projets d’ouvrages de stockage de l’eau à des fins d’irrigation agricole alimentés par des prélèvements d’eau dans les eaux superficielles ou souterraines, telle que prévue par les articles L. 214‑1 et suivants du code de l’environnement, est conditionnée à la réalisation d’une étude hydrologique approfondie dans les cinq années précédentes à l’échelle territoriale pertinente. Cette étude établit un bilan de la disponibilité et des usages de la ressource en eau sur le territoire concerné ainsi que des projections à moyen et à long terme de l’évolution de la ressource prenant en compte les effets du changement climatique. Elle détermine en conséquence les volumes qui peuvent être prélevés dans le respect du bon fonctionnement des écosystèmes aquatiques. »
🖋️n°CD36 Adopté • Il y a +2 semaines
L’article L. 541‑39 du code de l’environnement est complété par un III ainsi rédigé : « III. – Dans les zones de répartition des eaux et les périmètres mentionnées au 6° du II de l’article L. 211‑3, l’irrigation des cultures intermédiaires à vocation énergétique mentionnée au I à partir de prélèvements dans les eaux superficielles ou souterraines, ou d’ouvrages de stockage alimentés par des prélèvements dans les eaux superficielles ou souterraines, n’est pas autorisée. »
🖋️n°CD308 Adopté • Il y a +2 semaines
Dans un contexte de changement climatique et en raison des impacts sur la ressource en eau et des conséquences écologiques, économiques et sociales, il est instauré un moratoire suspendant la délivrance des autorisations pour la construction de méga-bassines tel que prévu par les articles L. 214‑1 et suivants du code de l’environnement. Dans l’attente d’une réforme législative en la matière, ce moratoire est instauré pour une durée de dix ans à compter de la promulgation de la présente loi, y compris aux projets en cours d’instruction. Les autorisations de construction et d’exploitation de méga-bassines délivrées dans les dix années précédant la promulgation de la présente loi sont suspendues durant la durée du moratoire.
🖋️n°CD147 Adopté • Il y a +2 semaines
Dans un délai d’un an, la poursuite de l’utilisation des ouvrages de stockage de l’eau à usage d’irrigation agricole alimentés par des prélèvements dans les eaux superficielles ou souterraines existant sur le territoire national et ayant bénéficié d’une autorisation environnementale est conditionnée : 1° À la mise en place, dans le périmètre du territoire concerné, d’un schéma directeur de la biodiversité et de l’adaptation des pratiques agricoles au changement climatique basé sur les solutions fondées sur la nature ; 2° À la baisse des volumes prélevés, définis sur la base d’une étude portant sur l’hydrologie, les milieux, les usages et le climat prenant en compte l’impact du changement climatique ; 3° Au partage de l’eau entre agriculteurs ; 4° À l’usage exclusif de l’eau stockée dans ces ouvrages pour l’irrigation de cultures relevant du mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de conversion vers ce mode de production, pour favoriser la restauration de la qualité des eaux. Un décret précise les modalités d’application du présent article.
🖋️n°CD375 Adopté • Il y a +2 semaines
L’État publie annuellement un bilan des volumes totaux d’eau prélevés par les ouvrages de stockage d’eau et des différentes stratégies d’irrigation agricole dans un contexte de changement climatique. Il présente notamment les territoires et cultures les plus consommatrices.
🖋️n°CD189 Adopté • Il y a +2 semaines
Dans un délai de trois mois à compter de la promulgation de la présente loi et en perspective de la loi d’orientation agricole, le Gouvernement remet au Parlement un rapport relatif aux pratiques agricoles économes en eau permettant de réduire les besoins d’irrigation pour parvenir à un meilleur équilibre avec le climat tel qu’il évolue. Ce rapport identifie, territoire par territoire, les types de culture et les modes de production les plus résilients au regard des données scientifiques relatives au changement climatique dans un double objectif de souveraineté alimentaire et d’adaptation au changement climatique.
🖋️n°CD373 Adopté • Il y a +2 semaines
Dans un délai de 12 mois à compter de la promulgation de la présente loi, l’État se dote d’une stratégie nationale de préservation et restauration des cours d’eau, fixée par décret, qui définit la marche à suivre pour conduire la politique de préservation et de restauration des cours d’eau sur le territoire. Cette stratégie définit une trajectoire chiffrée pour atteindre l’objectif de 25 000 km de cours d’eau restaurés, associée à un plan d’action national. Le plan d’action national définit des objectifs pluriannuels chiffrés en termes de linéaires de cours d’eau restaurés, les zones à prioriser et des mesures pour y parvenir.
🖋️n°CE211 Adopté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CE212 Adopté • Il y a +1 semaine
Le 5° bis du I de l’article L. 211‑1 du code de l’environnement est ainsi rédigé : « 5° bis La réduction des volumes prélevés dans les eaux superficielles ou souterraines destinées à l’usage d’irrigation agricole, l’adaptation des pratiques agricoles au changement climatique par des solutions fondées sur la nature, et l’usage exclusif de l’eau stockée dans les ouvrages existants de stockage de l’eau à usage d’irrigation agricole pour l’irrigation de cultures relevant du mode de production biologique au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de conversion vers ce mode de production. »
🖋️n°CE214 Adopté • Il y a +1 semaine
Après le VI de l’article L. 213‑9‑2 du code de l’environnement, il est inséré un VI bis ainsi rédigé : « VI bis. – L’agence ne peut pas financer la construction, l’alimentation, l’entretien ou le démantèlement des réserves de substitution destinées à l’irrigation. Ces constructions sont financées directement par les seules personnes qui prélèvent, stockent ou utilisent de l’eau par leur biais. »
🖋️n°CE215 Adopté • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 214‑11 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 214‑11‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 214‑11‑1. – La délivrance d’une autorisation environnementale pour la construction et l’exploitation de projets d’ouvrages de stockage de l’eau à des fins d’irrigation agricole alimentés par des prélèvements d’eau dans les eaux superficielles ou souterraines, telle que prévue par les articles L. 214‑1 et suivants du code de l’environnement, est conditionnée à la réalisation d’une étude hydrologique approfondie dans les cinq années précédentes à l’échelle territoriale pertinente. Cette étude établit un bilan de la disponibilité et des usages de la ressource en eau sur le territoire concerné ainsi que des projections à moyen et à long terme de l’évolution de la ressource prenant en compte les effets du changement climatique. Elle détermine en conséquence les volumes qui peuvent être prélevés dans le respect du bon fonctionnement des écosystèmes aquatiques. »
🖋️n°CE216 Adopté • Il y a +1 semaine
L’article L. 541‑39 du code de l’environnement est complété par un III ainsi rédigé : « III. – Dans les zones de répartition des eaux et les périmètres mentionnées au 6° du II de l’article L. 211‑3, l’irrigation des cultures intermédiaires à vocation énergétique mentionnée au I à partir de prélèvements dans les eaux superficielles ou souterraines, ou d’ouvrages de stockage alimentés par des prélèvements dans les eaux superficielles ou souterraines, n’est pas autorisée. »
🖋️n°CE213 Adopté • Il y a +1 semaine
I. – L’article L. 2224‑7‑5 du code général des collectivités territoriales est ainsi modifié :  1° Au premier alinéa, le mot : « peut » est remplacé par le mot : « doit » ; 2° Le second alinéa est supprimé. II. – L’article L. 2224‑7‑6, du code général des collectivités territoriales est ainsi modifié :  1° Au premier alinéa, les mots : « qui contribue à la gestion et à la préservation de la ressource en eau » sont supprimés ; 2° Au troisième alinéa, la première phrase est complétée par les mots : « dans un délai maximal de deux ans suivant la date de promulgation de la présente loi ».  3° La deuxième phrase est supprimée. III. – Le dernier alinéa de l’article L. 2224‑7‑7 du code général des collectivités territoriales est supprimé. IV. – L’article L. 211‑3 du code de l’environnement est ainsi modifié :   1° Le 7° du II est abrogé ;  2° Le IV est complété par deux alinéas ainsi rédigés :  « 4° Les modalités par lesquelles l’autorité administrative compétente encadre, par un programme pluriannuel d’actions obligatoires, les installations, travaux, activités, dépôts, ouvrages, aménagement ou occupations du sol de nature à nuire directement ou indirectement à la qualité des eaux dans les aires d’alimentation des captages. Le programme d’actions concerne notamment les pratiques agricoles, en limitant ou interdisant, le cas échéant, certaines occupations des sols et l’utilisation d’intrants.  « L’autorité administrative soumet le projet de programme pluriannuel d’actions à la consultation du comité de bassin mentionné à l’article L. 213‑8, de la commission locale de l’eau prévue à l’article L. 212‑4 ainsi que, le cas échéant, de l’établissement public territorial de bassin mentionné à l’article L. 213‑12. » ;  3° Le V est ainsi modifié :  a) À la première phrase, la référence : « 7° du II » est remplacée par la référence : « 4° du IV » ; b) À la seconde phrase, les mots : « peut délimiter » sont remplacés par le mot : « délimite » ; 4° Le VI est ainsi rédigé :  « VI. – À l’intérieur des aires d’alimentation des captages associées à des points de prélèvement sensibles, au sens de l’article L. 211‑11‑1 du présent code, il est interdit d’utiliser ou de faire utiliser des engrais azotés minéraux et des produits phytopharmaceutiques de synthèse mentionnés au premier alinéa de l’article L. 253‑1 du code rural et de la pêche maritime. L’interdiction ne s’applique ni aux produits de bio‑contrôle mentionnés à l’article L. 253‑6 du même code et figurant sur la liste mentionnée au IV de l’article L. 253‑7 dudit code ni aux produits autorisés en agriculture biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du même code. L’interdiction ne s’applique pas non plus aux traitements et mesures nécessaires à la destruction et à la prévention de la propagation des organismes nuisibles mentionnés à l’article L. 251‑3 du code rural et de la pêche maritime. » 
🖋️n°CE218 Adopté • Il y a +1 semaine
Dans un contexte de changement climatique et en raison des impacts sur la ressource en eau et des conséquences écologiques, économiques et sociales, il est instauré un moratoire suspendant la délivrance des autorisations pour la construction de méga-bassines tel que prévu par les articles L. 214‑1 et suivants du code de l’environnement. Dans l’attente d’une réforme législative en la matière, ce moratoire est instauré pour une durée de dix ans à compter de la promulgation de la présente loi, y compris aux projets en cours d’instruction. Les autorisations de construction et d’exploitation de méga-bassines délivrées dans les dix années précédant la promulgation de la présente loi sont suspendues durant la durée du moratoire.
🖋️n°CE220 Adopté • Il y a +1 semaine
Dans un délai d’un an, la poursuite de l’utilisation des ouvrages de stockage de l’eau à usage d’irrigation agricole alimentés par des prélèvements dans les eaux superficielles ou souterraines existant sur le territoire national et ayant bénéficié d’une autorisation environnementale est conditionnée : 1° À la mise en place, dans le périmètre du territoire concerné, d’un schéma directeur de la biodiversité et de l’adaptation des pratiques agricoles au changement climatique basé sur les solutions fondées sur la nature ; 2° À la baisse des volumes prélevés, définis sur la base d’une étude portant sur l’hydrologie, les milieux, les usages et le climat prenant en compte l’impact du changement climatique ; 3° Au partage de l’eau entre agriculteurs ; 4° À l’usage exclusif de l’eau stockée dans ces ouvrages pour l’irrigation de cultures relevant du mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de conversion vers ce mode de production, pour favoriser la restauration de la qualité des eaux. Un décret précise les modalités d’application du présent article.
🖋️n°CE224 Adopté • Il y a +1 semaine
Dans un délai de trois mois à compter de la promulgation de la présente loi et en perspective de la loi d’orientation agricole, le Gouvernement remet au Parlement un rapport relatif aux pratiques agricoles économes en eau permettant de réduire les besoins d’irrigation pour parvenir à un meilleur équilibre avec le climat tel qu’il évolue. Ce rapport identifie, territoire par territoire, les types de culture et les modes de production les plus résilients au regard des données scientifiques relatives au changement climatique dans un double objectif de souveraineté alimentaire et d’adaptation au changement climatique.
🖋️n°CE225 Adopté • Il y a +1 semaine
Dans un délai de douze mois à compter de la promulgation de la présente loi, l’État se dote d’une stratégie nationale de préservation et restauration des cours d’eau, fixée par décret, qui définit la marche à suivre pour conduire la politique de préservation et de restauration des cours d’eau sur le territoire. Cette stratégie définit une trajectoire chiffrée pour atteindre l’objectif de 25 000 kilomètres de cours d’eau restaurés, associée à un plan d’action national. Le plan d’action national définit des objectifs pluriannuels chiffrés en termes de linéaires de cours d’eau restaurés, les zones à prioriser et des mesures pour y parvenir.
🖋️n°CE222 Adopté • Il y a +1 semaine
L’État publie annuellement un bilan des volumes totaux d’eau prélevés par les ouvrages de stockage d’eau et des différentes stratégies d’irrigation agricole dans un contexte de changement climatique. Il présente notamment les territoires et cultures les plus consommatrices.
🖋️n°CD332 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 7 : « Au premier alinéa du I de l’article L. 121‑8 du code de l’environnement, après la première occurrence du mot : « de », sont insérés les mots : « tous les projets d’intérêt national majeur au sens de l’article L. 300‑6‑2 du code de l’urbanisme et de ».
🖋️n°CD331 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 7 : « L’article L. 300‑6‑2 du code de l’urbanisme est abrogé »
🖋️n°CD350 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 213‑1 est complété par une phrase ainsi rédigée : « Au plus tard le 1er janvier 2026, ce décret est modifié pour intégrer à la composition du comité de nouveaux représentants des usagers de l’eau et de la jeunesse ».
🖋️n°CD267 Irrecevable • Il y a +2 semaines
I. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° À l’article 126 de la loi n° 2025‑127 du 14 février 2025 de finances pour 2025, au II, la huitième ligne du tableau est supprimée. » II. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services. »
🖋️n°CD328 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 13 : « L’article 12 de la loi n° 2023‑491 du 22 juin 2023 relative à l’accélération des procédures liées à la construction de nouvelles installations nucléaires à proximité de sites nucléaires existants et au fonctionnement des installations existantes est abrogé. »
🖋️n°CD329 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 13 : « 8° Le dernier alinéa de l’article L. 122‑1 du code de l’énergie est supprimé. « 9° L’article L. 122‑1‑1 du code de l’expropriation pour cause d’utilité publique est abrogé. »
🖋️n°CD330 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 13 : « 8° L’article L. 211‑2‑1 du code de l’énergie est abrogé. »
🖋️n°CD477 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CD478 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CD479 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CD481 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CD482 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CD483 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CD73 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « 8° Au deuxième alinéa du III de l’article L. 213‑10‑4, les mots :« l’élevage » sont remplacés par les mots : « l’exploitation agricole ».
🖋️n°CD424 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « 8° Au deuxième alinéa du III de l’article L. 213‑10‑4, les mots : « l’élevage » sont remplacés par les mots : « l’exploitation agricole ».
🖋️n°CD372 Rejeté • Il y a +2 semaines
Au début de la première phrase du premier alinéa du I de l’article L. 110‑1 du code de l’environnement, après le mot : « naturels », est inséré le mot : « aquatiques, ».
🖋️n°CD310 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 122‑1‑2 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 122‑1‑3 ainsi rédigé : « Art. L. 122‑1‑3. – L’étude d’impact, mentionnée à l’article L. 122‑1, de projets d’ouvrages de stockage de l’eau à des fins d’irrigation agricole alimentés par des prélèvements d’eau dans les eaux superficielles ou souterraines prend en compte l’état de la ressource en eau à l’échelle du bassin pertinent au moment de l’étude ainsi que les effets du changement climatique sur la disponibilité de la ressource à l’horizon de dix et trente ans. »
🖋️n°CD247 Rejeté • Il y a +2 semaines
Le 3° du II de l’article L. 212‑1 du code de l’environnement est complété par un 4° ainsi rédigé : « 4° À l’évaluation des besoins structurels en matière d’irrigation et de stockage d’eau, dans le cadre des objectifs de maintien des capacités de production agricole et de préservation durable des masses d’eau constituant le territoire hydrologique de chaque bassin ou groupement de bassins. »
🖋️n°CD248 Rejeté • Il y a +2 semaines
Au VI de l’article L. 212‑1 du code de l’environnement, après le mot :« attendre, », sont insérés les mots : « ou qu’elle contredise la disposition énoncée au 5° bis du I de l’article L. 211‑1, ».
🖋️n°CD457 Rejeté • Il y a +2 semaines
L’article L. 215‑7‑1 du code de l’environnement est complété par quatre alinéas ainsi rédigés : » « Il ne s’agit pas de fossés, de rigoles ou d’aménagements artificiels, sauf s’ils reprennent ou prolongent un lit naturel. « Une cartographie des cours d’eau est réalisée dans chaque département sous l’autorité du représentant de l’État et mise à jour tous les 10 ans. Elle est publiée sur des sites internet désignés par décret. « Toute personne peut se prévaloir de cette cartographie, même erronée, tant qu’elle n’a pas été mise à jour. « Les dispositions du présent article ne peuvent pas faire obstacle à l’application des dispositions législatives ou réglementaires préservant directement la santé publique, la sécurité des personnes et des biens ou l’environnement. »
🖋️n°CD340 Rejeté • Il y a +2 semaines
L’article 44 de la loi n° 2025‑268 du 24 mars 2025 d’orientation pour la souveraineté alimentaire et le renouvellement des générations en agriculture est abrogé.
🖋️n°CD339 Rejeté • Il y a +2 semaines
Le 1° du II de l’article 44 de la loi n° 2025‑268 du 24 mars 2025 d’orientation pour la souveraineté alimentaire et le renouvellement des générations en agriculture est abrogé.
🖋️n°CD451 Irrecevable • Il y a +2 semaines
I – Au premier alinéa de l’article L. 212‑3 du code de l’environnement, après le mot : « généraux », sont insérés les mots : « , les objectifs de réduction des prélèvements » II. L’article est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « L’intégralité du territoire français doit être couverte par un schéma d’aménagement et de gestion des eaux à compter du 1er janvier 2027. »
🖋️n°CD374 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Dans un délai de 12 mois à compter de la promulgation de la présente loi, l’État se dote d’une stratégie nationale de déploiement des paiements pour services environnementaux, fixée par décret, qui définit la marche à suivre pour les développer sur toutes les zones prioritaires.
🖋️n°CD379 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Dans un délai de 12 mois à compter de la promulgation de la présente loi, l’État se dote d’une stratégie nationale en faveur de la préservation et de la restauration des prairies permanentes.
🖋️n°CE590 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE591 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE664 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE717 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE592 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE665 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE744 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE753 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE755 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE662 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE666 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE667 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE668 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE669 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE670 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE747 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE750 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE756 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE673 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE674 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE675 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CD4 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi cet article : « I. – En raison de l’accélération du changement climatique et de ses conséquences pour la gestion équilibrée et durable de la ressource en eau, ainsi que pour le respect des équilibres naturels et l’accès à l’eau potable inscrits à l’article L. 210‑1 du code de l’environnement, est instauré un moratoire suspendant la délivrance des autorisations environnementales prévues au I de l’article L. 214‑3 du même code pour les ouvrages de stockage de l’eau à usage d’irrigation agricole alimentés par des prélèvements dans les eaux superficielles ou souterraines ainsi que pour les infrastructures associées à ces ouvrages. Ce moratoire s’applique à compter de la promulgation de la présente loi jusqu’à la promulgation d’une réforme du code de l’environnement concernant l’usage de l’eau en agriculture, y compris aux demandes d’autorisation environnementale en cours d’instruction. « II. – Dans l’intérêt de la salubrité publique, de la sécurité d’approvisionnement en eau potable des populations et de la préservation des milieux aquatiques, les autorisations environnementales délivrées pour des ouvrages de stockage de l’eau à usage d’irrigation agricole alimentés par des prélèvements dans les eaux superficielles ou souterraines ainsi que pour les travaux et infrastructures associés à ces ouvrages, dont les travaux n’ont pas commencé, sont abrogées sans indemnité de la part de l’État exerçant ses pouvoir de police conformément au II et selon les modalités prévues au III de l’article L. 214‑4 du code de l’environnement. « Le cas échéant, les concours financiers des agences de l’eau définis à l’article L. 213‑8‑1 du même code et prévus en application de l’article L. 213‑9‑2 pour la construction de ces ouvrages, sont annulés. « Dans les territoires et bassins concernés, la gestion de l’eau pour l’irrigation agricole fait l’objet d’une concertation préalable définie à la section 4 du chapitre 1er du titre II du livre Ier du code de l’environnement, sur la base des données scientifiques les plus récentes, de la prise en compte de l’impact du changement climatique sur la ressource en eau, les milieux aquatiques et l’accès à l’eau potable, de la nécessaire restauration de la qualité de l’eau et de la prise en compte de tous les usages de l’eau dans le respect de la hiérarchie des usages de l’eau précisée au II de l’article L. 211‑1 du même code. « III. – Dans un délai de trois ans, la poursuite de l’utilisation des ouvrages de stockage de l’eau à usage d’irrigation agricole alimentés par des prélèvements dans les eaux superficielles ou souterraines existants sur le territoire national et ayant bénéficié d’une autorisation environnementale est conditionnée : « 1° À la mise en place, dans le périmètre du territoire concerné, d’un schéma directeur de la biodiversité et de l’adaptation des pratiques agricoles au changement climatique basé sur les solutions fondées sur la nature ; « 2° À la baisse des volumes prélevés, définis sur la base d’une étude portant sur l’hydrologie, les milieux, les usages et le climat prenant en compte l’impact du changement climatique ; « 3° Au partage de l’eau entre agriculteurs ; « 4° À l’usage exclusif de l’eau stockée dans ces ouvrages pour l’irrigation de cultures relevant du mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de conversion vers ce mode de production, pour favoriser la restauration de la qualité des eaux. « Un décret précise les modalités d’application du présent III. « IV. – Les ouvrages de stockage de l’eau à usage d’irrigation agricole alimentés par des prélèvements dans les eaux superficielles ou souterraines déclarés illégaux par décisions de justice passées en force de chose jugée ne peuvent faire l’objet d’aucune mesure de régularisation. Ces installations sont démantelées et font l’objet de prescriptions de remise en état du site, conformément à l’article L. 214‑3‑1 du code de l’environnement. »
🖋️n°CD5 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi cet article : « En raison de l’accélération du changement climatique et de ses conséquences pour la gestion équilibrée et durable de la ressource en eau, ainsi que pour le respect des équilibres naturels et l’accès à l’eau potable inscrits à l’article L. 210‑1 du code de l’environnement, est instauré un moratoire suspendant la délivrance des autorisations environnementales prévues au I de l’article L. 214‑3 du même code pour les ouvrages de stockage de l’eau à usage d’irrigation agricole alimentés par des prélèvements dans les eaux superficielles ou souterraines ainsi que pour les infrastructures associées à ces ouvrages. Ce moratoire s’applique à compter de la promulgation de la présente loi jusqu’à la promulgation d’une réforme du code de l’environnement concernant l’usage de l’eau en agriculture, y compris aux demandes d’autorisation environnementale en cours d’instruction. »
🖋️n°CD115 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi cet article : « Après la section 1 du chapitre IV du titre Ier du livre II du code de l’environnement, il est inséré une nouvelle section ainsi rédigée : « Section 1 bis : Interdiction de construction « Art. L. 214‑11‑1. – Sont appelées réserves de substitution destinées à l’irrigation les ouvrages dont le principal objectif est de concourir à l’irrigation, alimentés par prélèvement d’eau ou bien dans un système aquifère tel que défini à l’article L. 211‑7, ou bien dans les cours d’eau définis à l’article L. 215‑7‑1, dont le volume d’eau pouvant être stocké est supérieur à 20 000 mètres cubes et stocké par imperméabilisation du sol et à l’air libre. « N’est pas une réserve de substitution tout ouvrage de stockage d’eau dont l’objectif principal est d’assurer la sécurité publique, notamment la lutte contre les incendies et celle contre les incidents nucléaires ou industriels. «  Art. L. 214‑11‑2. – La construction de réserves de substitution destinées à l’irrigation est interdite. « Sont arrêtés les projets de construction de réserves de substitution destinées à l’irrigation non encore achevés ou non encore instruits, y compris ceux autorisés selon les modalités prévues aux articles L. 214‑1 et suivants avant la date de promulgation de la présente loi. « Art. L. 214‑11‑3. – Le non respect des interdictions prévues à l’article L. 214‑11‑2 est puni de deux ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. »
🖋️n°CD116 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi cet article : « L’article L. 213‑9‑2 du code de l’environnement est ainsi modifié : « 1° Le I est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « En ce qui concerne l’irrigation agricole, les concours de l’agence de l’eau sont réservés aux actions ou travaux d’intérêt général incluant d’une part, une forte réduction des prélèvements dans les eaux superficielles ou souterraines sur la base d’une étude sur l’hydrologie, les milieux, les usages et le climat prenant en compte le changement climatique, d’autre part un plan d’adaptation des pratiques agricoles au changement climatique prioritairement par des solutions fondées sur la nature, et enfin l’usage exclusif de l’irrigation pour des cultures relevant du mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de conversion vers ce mode de production. » « 2° Après le VI, il est inséré un VI bis ainsi rédigé :  « VI bis. – L’agence ne peut pas financer la construction, l’alimentation ou l’entretien de réserves de substitution destinées à l’irrigation, ni le démantèlement de réserves de substitution jugées illégales. »
🖋️n°CD117 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi cet article : « Après l’article L. 214‑11 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 214‑11‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 214‑11‑1. – Pour les projets en cours d’instruction, pour les projets en cours de construction, ainsi que pour tous les futurs projets de construction de réserves de substitution destinées à l’irrigation, l’autorisation de construction ne peut pas être délivrée sans la réalisation d’un projet de territoire pour la gestion de l’eau, lequel doit prendre en compte les résultats de l’étude hydrologie, milieux, usages, climat.  « Un projet de territoire pour la gestion de l’eau est une démarche reposant sur une approche globale de la ressource en eau sur un périmètre cohérent d’un point de vue hydrologique ou hydrogéologique. Cette démarche est co-construite par l’ensemble des usagers du périmètre retenu. Cette démarche est considérée réalisée lorsqu’elle aboutit à un engagement de l’ensemble des usagers. Cet engagement garantit la préservation des ressources d’eau disponibles en respectant la bonne fonctionnalité des écosystèmes aquatiques, en anticipant le changement climatique, en s’y adaptant, et garantit la compatibilité des usages entre eux. Cet engagement intègre l’enjeu de préservation de la qualité des eaux. Le projet de territoire pour la gestion de l’eau veille à ce que soit respectée la priorisation des usages telle que définie à l’article L. 211‑1. « Une étude hydrologie, milieux, usages, climat doit permettre d’améliorer les connaissances concernant la ressource en eau, et ses usages sur le territoire. Elle analyse les possibilités de prélèvements sur l’ensemble de l’année et établit une prévision de ces éléments dans le cadre du changement climatique. Cette étude peut proposer : « 1° Une adaptation des objectifs de gestion structurelle ; « 2° Une révision des objectifs de gestion de crise ; « 3° Un ajustement des volumes qui peuvent être prélevés par unité de gestion ; « 4° La définition des objectifs hivernaux de débits et de niveaux piézométriques. »
🖋️n°CD192 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi cet article : I. – À partir du 1er janvier 2026, chaque établissement public territorial de bassin au sens de l’article L. 213‑12 du code de l’environnement, en lien avec le représentant de l’État dans le département, répertorie et cartographie l’ensemble des retenues d’eau existantes à l’échelle de son bassin ou de son groupement de sous-bassins hydrographique. II. – Tout projet de retenue d’eau s’inscrit dans les différents schémas directeurs d’aménagement de gestion des eaux définis à l’article L. 212‑1 du code de l’environnement. III. – Après concertation avec les collectivités territoriales concernées, un décret précise les modalités d’application du présent article.
🖋️n°CD37 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 1 à 4.
🖋️n°CD344 Tombé • Il y a +2 semaines
Après le premier alinéa, insérer l’alinéa suivant : « 1A° Après l’article L. 122‑1‑2, il est inséré un article L. 122‑1‑3 ainsi rédigé : « Art. L. 122‑1‑3. – L’étude d’impact, mentionnée à l’article L. 122‑1, de projets d’ouvrages de stockage de l’eau à des fins d’irrigation agricole alimentés par des prélèvements d’eau dans les eaux superficielles ou souterraines prend en compte l’état de la ressource en eau à l’échelle du bassin pertinent au moment de l’étude ainsi que les effets attendus du changement climatique sur la disponibilité de la ressource à l’horizon de dix et trente ans. 
🖋️n°CD362 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant : « a) A Au premier alinéa du I, après le mot : « climatique », sont insérés les mots : « et à la lutte contre l’effondrement de la biodiversité ».
🖋️n°CD363 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant : « a) Au début du 1° du I, après le mot : « inondations », est inséré le mot : « sécheresse ».
🖋️n°CD364 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant : « a) A Au 1° du I, après le mot : « aquatiques », sont insérés les mots : « des cours d’eau y compris intermittents ».
🖋️n°CD365 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant : « a) A Au 1° du I, après la première occurrence du mot : « humides », sont insérés les mots : « ainsi que l’équilibre et la connectivité des réseaux hydrographiques ».
🖋️n°CD368 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 2, insérer les deux alinéas suivants : « a) A Après le 3° du I, il est inséré un 3° bis ainsi rédigé : « 3° bis Le développement de pratiques agricoles économes et autonomes et le déploiement d’infrastructures agroécologiques ; »
🖋️n°CD367 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 2, insérer les deux alinéas suivants : « a) A Après le 4° du I, il est inséré un 4° bis ainsi rédigé : « 4°bis Le ralentissement du cycle de l’eau, le rechargement des nappes, l’infiltration des eaux dans le sol, la prévention du ruissellement ; ».
🖋️n°CD118 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 2, insérer les deux alinéas suivants : « a) A Le 5 du I est ainsi rédigé :  « 5° L’utilisation de l’eau comme commun notamment pour la production d’électricité d’origine renouvelable, utilisation respectant la hiérarchie des usages de l’eau ».
🖋️n°CD366 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant : « a) A Au début du 5° du I, après le mot : « comme », la fin de l’alinéa est ainsi rédigée : « commun naturel ; ».
🖋️n°CD369 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant : « a) A Le 7° du I est complété par les mots : « en priorisant les têtes de bassin versant. »
🖋️n°CD128 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 2, insérer les deux alinéas suivants : « a) Le 5 bis du I est ainsi rédigé :  « La promotion d’une politique active de stockage naturel de l’eau, passant par la lutte contre la fonte des glaciers et l’artificialisation des sols, et par le déploiement de solutions basées sur la nature, notamment la protection des zones humides, des haies, et le reméandrage des cours d’eau ».
🖋️n°CD38 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi les alinéas 3 et 4 : « a) Le 5° bis du I est ainsi rédigé : « 5° bis La réduction des volumes prélevés dans les eaux superficielles ou souterraines destinées à l’usage d’irrigation agricole, l’adaptation des pratiques agricoles au changement climatique par des solutions fondées sur la nature, et l’usage exclusif de l’eau stockée dans les ouvrages existants de stockage de l’eau à usage d’irrigation agricole pour l’irrigation de cultures relevant du mode de production biologique au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de conversion vers ce mode de production. »
🖋️n°CD39 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 4 : « 5° ter La réduction de la consommation d’eau à usage d’irrigation agricole pour tenir compte des effets de l’accélération du changement climatique et de ses conséquences pour la gestion équilibrée et durable de la ressource en eau, ainsi que pour le respect des équilibres naturels et l’accès à l’eau potable inscrits à l’article L. 210‑1 du code de l’environnement, et en réservant son usage aux filières biologiques et à la sécurisation des approvisionnements alimentaires nationaux à l’exclusion des productions destinées à l’exportation ; »
🖋️n°CD119 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 5 : « b) Au début du 6°, après le mot : « promotion », sont ajoutés les mots : « prioritairement de la sobriété dans les usages de l’eau, et secondairement, d’une ».
🖋️n°CD40 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 5 : « b) Après le 7° du I, il est inséré un 8° ainsi rédigé : « 8° La restauration des milieux aquatiques, notamment des tourbières, zones humides, mangroves, ripisylves et herbiers marins, qui rendent des services écosystémiques d’importance significative, notamment pour l’agriculture, tels que l’adaptation au changement climatique et la séquestration de carbone. »
🖋️n°CD41 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 5 : « 1° bis A L’article L. 211‑1‑1 est ainsi modifié : « a) À la première phrase, après la référence : « L. 211‑1 », sont insérés les mots : « ainsi que leur restauration, leur création et leur valorisation, » ; « b) À la deuxième phrase, après le mot : « inondations », sont insérés les mots : « , à la captation de carbone, à l’adaptation au changement climatique et à l’atténuation de ses effets sur le cycle de l’eau, ».
🖋️n°CD300 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 6, 7, 12 et 13.
🖋️n°CD408 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 6, 7, 12 et 13.
🖋️n°CD42 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 6 et 7.
🖋️n°CD301 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 6 et 7.
🖋️n°CD383 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 6 et 7.
🖋️n°CD75 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 7 : « Art. L. 211‑1‑2. – Les ouvrages de stockage d’eau soumis aux dispositions des articles L. 214‑2 à L. 214‑6 qui poursuivent à titre principal une finalité agricole qui s’entend au sens de l’article L. 311‑1 du code rural, sont présumés d’intérêt général majeur dans les zones relevant de l’article L. 211‑2 du code de l’environnement compromettant le potentiel de production agricole lorsqu’ils sont issus d’une démarche territoriale concertée sur la répartition de la ressource en eau entre l’ensemble des usagers, qu’ils s’accompagnent d’une incitation dans des utilisations efficaces, économes et durables de la ressource en eau et qu’ils concourent, le cas échéant, à un accès à l’eau pour ces usagers. À cet effet, l’État et ses établissements publics, les régions, les départements, les communes et leurs groupements veillent, chacun dans son domaine de compétence, à la cohérence des diverses politiques publiques sur ces territoires afin de déployer les ouvrages de stockage de l’eau tel que définis à l’alinéa précédent. Pour l’application du IX de l’article L. 212‑1 et de l’article X de l’article L. 212‑1, l’État veille à la prise en compte de cette cohérence dans les schémas d’aménagement et de gestion des eaux. »
🖋️n°CD428 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 7 : « Art. L. 211‑1‑2. – Les ouvrages de stockage d’eau soumis aux dispositions des articles L. 214‑2 à L. 214‑6 qui poursuivent à titre principal une finalité agricole qui s’entend au sens de l’article L. 311‑1 du code rural, sont présumés d’intérêt général majeur dans les zones relevant de l’article L. 211‑2 du code de l’environnement compromettant le potentiel de production agricole lorsqu’ils sont issus d’une démarche territoriale concertée sur la répartition de la ressource en eau entre l’ensemble des usagers, qu’ils s’accompagnent d’une incitation dans des utilisations efficaces, économes et durables de la ressource en eau et qu’ils concourent, le cas échéant, à un accès à l’eau pour ces usagers. À cet effet, l’État et ses établissements publics, les régions, les départements, les communes et leurs groupements veillent, chacun dans son domaine de compétence, à la cohérence des diverses politiques publiques sur ces territoires afin de déployer les ouvrages de stockage de l’eau tel que définis à l’alinéa précédent. Pour l’application du IX de l’article L. 212‑1 et de l’article X de l’article L. 212‑1, l’État veille à la prise en compte de cette cohérence dans les schémas d’aménagement et de gestion des eaux. »
🖋️n°CD191 Tombé • Il y a +2 semaines
Après les mots :  « stockage d’eau »,  la fin de l’alinéa 7 est ainsi rédigée : « s’inscrivent dans les différents schémas directeurs d’aménagement de gestion des eaux définis à l’article L. 212‑1 du code de l’environnement. »
🖋️n°CD52 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 7, supprimer les mots :  « ou souterraines ».
🖋️n°CD141 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 7, supprimer les mots :  « ou souterraines ».
🖋️n°CD55 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 7, substituer aux mots : « une finalité agricole », les mots : « l’objectif de résilience des systèmes agricoles et des systèmes alimentaires territoriaux dans le cadre des projets alimentaires territoriaux mentionnés au III de l’article L.1 du code rural et de la pêche maritime ».
🖋️n°CD371 Tombé • Il y a +2 semaines
Après les mots : « finalité agricole », rédiger ainsi la fin de l’alinéa 7 : « ne peuvent bénéficier de subventions publiques ».
🖋️n°CD54 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 7, après les mots :  « finalité agricole », insérer les mots : « , à l’exclusion de l’irrigation des cultures destinées à l’exportation, ».
🖋️n°CD51 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – L’alinéa 7 est ainsi modifié : 1° Substituer aux mots : « sont présumés d’intérêt général majeur » les mots : « ne peuvent être autorisés » ; 2° Substituer aux mots : « lorsqu’ils » les mots : « que s’ils ».
🖋️n°CD86 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 7, après le mot : « pérenne », insérer les mots :  « en eau ».
🖋️n°CD57 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 7, substituer aux mots : « le potentiel de production agricole » les mots : « la sécurité alimentaire définie au 2° du I A de l’article L. 1 du code rural et de la pêche maritime ».
🖋️n°CD50 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 7, après les mots :  « production agricole »,  insérer les mots :  « lorsque l’eau stockée dans ces ouvrages est exclusivement destinée à l’irrigation de cultures relevant du mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de conversion vers ce mode de production, pour favoriser la restauration de la qualité des eaux, ».
🖋️n°CD59 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 7, après les mots :  « lorsqu’ils », insérer les mots : « sont fondés sur des données scientifiques complètes datant de moins de deux ans sur l’hydrologie, les milieux, les usages et le climat prenant en compte l’impact du changement climatique, qu’ils »
🖋️n°CD48 Tombé • Il y a +2 semaines
À l'alinéa 7, après les mots :  « lorsqu’ils », insérer les mots : « sont pertinents au regard des données scientifiques les plus récentes d’une étude hydrologie, milieux, usages et climat, qu’ils ».
🖋️n°CD157 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 7 après les mots : « lorsqu’ils » insérer les mots : « concourent directement à la souveraineté alimentaire, qu’ils ».
🖋️n°CD163 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot :  « concertée »,  insérer les mots :  « avec le comité de bassin mentionné à l’article L. 213‑8 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 213‑8 du code de l’environnement, est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « Pour la composition des collèges, si une personne dispose de plusieurs rattachements statutaires relatifs au 1°, 2°, 2°bis, 3° du présent article, sa participation au comité de bassin est comptabilisée pour chacun de ses rattachements afin d’éviter un déséquilibre de la représentativité des collèges et de l’ensemble du comité de bassin. »
🖋️n°CD140 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot : « concertée »,  insérer les mots : « dans chaque comité de bassin ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 213‑8 est ainsi modifié : « a) au début du  2° le chiffre « 20 » est remplacé par le chiffre : « 30 » ; « b) au début du  2° bis le chiffre :  « 20 » est remplacé par le chiffre : « 10 ».
🖋️n°CD231 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot :  « concertée »  insérer les mots : « et transparente en lien avec le comité de bassin mentionné à l’article L 213‑8 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 213‑8 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « La publication en ligne des comptes-rendus, des documents de séance, et des délibérations ainsi que des enregistrements vidéos des réunions des comités de bassin est obligatoire. »
🖋️n°CD232 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot :  « concertée »  insérer les mots : « et transparente en lien avec le comité de bassin mentionné à l’article L. 213‑8 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 213‑8 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « Pour les délibérations des comités de bassin, la publication systématique des votes nominatifs est obligatoire. »
🖋️n°CD230 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot :  « concertée »  insérer les mots :  « et transparente en lien avec le comité de bassin mentionné à l’article L. 213‑8 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 213‑8 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « La mise œuvre d’un enregistrement vidéo lors de chacune des réunions est obligatoire. »
🖋️n°CD239 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot :  « concertée »  insérer les mots : « en lien avec le comité de bassin mentionné à l’article L. 213‑8 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° Le 2° bis de l’article L. 213‑8 du code de l’environnement est complété par une phrase ainsi rédigée : « En outre, les représentants agricoles comportent systématiquement un éleveur et un maraîcher ; ».
🖋️n°CD237 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot :  « concertée »  insérer les mots : « et transparente en lien avec les commissions locales de l’eau mentionnées à l’article L. 212‑4 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa est ainsi rédigé :  « La publication en ligne des comptes-rendus, des documents de séance, et des délibérations ainsi que des enregistrements vidéos des réunions est obligatoire. »
🖋️n°CD236 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot :  « concertée »  insérer les mots : « et transparente en lien avec les commissions locales de l’eau mentionnées à l’article L. 212‑4 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa est ainsi rédigé :  « Chaque réunion des commissions fait l’objet d’un enregistrement vidéo lors de chacune des réunions ».
🖋️n°CD246 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot :  « concertée »  insérer les mots :  « en lien avec la commission locale de l’eau mentionnée à l’article L 212‑4 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° À l’article L. 212‑4 du code de l’environnement, les 1°, 2° et 3° du II sont remplacés par les quatre alinéas suivants : « 1° Pour 40 %, d’un premier collège composé d’un député et d’un sénateur ainsi que, pour chacun d’eux, un suppléant ayant la même qualité de député ou de sénateur, de représentants des conseils départementaux et régionaux et, majoritairement, de représentants des communes ou de groupements de collectivités territoriales compétents dans le domaine de l’eau ; « 2° Pour 25 %, d’un deuxième collège composé de représentants des usagers non économiques de l’eau, des milieux aquatiques, des milieux marins et de la biodiversité, des associations agréées de protection de l’environnement et de défense des consommateurs et des instances représentatives de la pêche ainsi que de personnalités qualifiées ; « 3° Pour 15 %, d’un troisième collège composé de représentants des usagers économiques de l’eau, des milieux aquatiques, des milieux marins et de la biodiversité ainsi que des organisations professionnelles ; « 4° Pour 20 %, d’un quatrième collège composé de représentants de l’État ou de ses établissements publics concernés. »
🖋️n°CD240 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot :  « concertée »  insérer les mots : « en lien avec les commissions locales de l’eau mentionnées à l’article L. 212‑4 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° Le 2° de l’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par une phrase ainsi rédigée : « En outre, les représentants agricoles comportent systématiquement un éleveur et un maraîcher ; ».
🖋️n°CD234 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot :  « concertée »  insérer les mots : « en lien avec les commissions locales de l’eau mentionnées à l’article L. 212‑4 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa est ainsi rédigé :  « Les personnes ayant commis des infractions ou des délits relatifs au Titre Ier du Livre II du code de l’environnement ne peuvent siéger au sein d’une commission locale de l’eau, du conseil d’administration d’une agence de l’eau ou d’un comité de bassin. »
🖋️n°CD170 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot :  « concertée », insérer les mots :  « en lien avec les commissions locales de l’eau mentionnées à l’article L. 212‑4 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé : « Pour la composition de la commission locale de l’eau, si une personne dispose de plusieurs rattachements statutaires relatifs au détail des 1°, 2° et 3° du II du présent article, sa participation à la dite commission est comptabilisée pour chacun de ses rattachements afin d’éviter un déséquilibre de la représentativité de la dite commission. 
🖋️n°CD173 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot :  « concertée »,  insérer les mots :  « en lien avec les commissions locales de l’eau mentionnées à l’article L. 212‑4 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa est ainsi rédigé : « En cas de conflit d’intérêt avéré pour un représentant, est prononcée sa révocation immédiate le cas échéant de la commission locale de l’eau, du conseil d’administration d’une agence de l’eau et du comité de bassin, assortie de l’impossibilité de siéger à nouveau dans l’une de ces instances pendant 10 ans. »
🖋️n°CD174 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot : « concertée »,  insérer les mots : « en lien avec les commissions locales de l’eau mentionnées à l’article L. 212‑4 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa est ainsi rédigé :  « Chaque membre d’une commission locale de l’eau remplit au moment de sa nomination une déclaration publique d’intérêts, et informe le président de sa commission de toute situation pouvant présenter un risque de conflit d’intérêt ».
🖋️n°CD175 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot : « concertée »,  insérer les mots : « en lien avec les commissions locales de l’eau mentionnées à l’article L. 212‑4 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « Chaque membre d’une commission locale de l’eau en situation de conflit d’intérêt s’abstient de participer aux débats et au vote lors de l’étude du dossier pour lequel il a intérêt. ».
🖋️n°CD162 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 7, après le mot :  « concertée »,  insérer les mots :  « en lien avec le conseil d’administration de l’Agence de l’eau mentionné à l’article L213‑8‑1 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « Après le 5° de l’article L. 213‑8‑1 du code de l’environnement, il est ajouté un 6° ainsi rédigé : « 6° Dont au moins un représentant de l’agriculture biologique au sens de l’article L. 641‑13 du code de l’environnement. »
🖋️n°CD91 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 7, après la première occurrence du mot :  « usagers », substituer au signe : « , » le mot :  « ou ».
🖋️n°CD45 Tombé • Il y a +2 semaines
À la fin de l’alinéa 7, substituer aux mots : « d’un engagement dans des pratiques sobres en eau » les mots : « d’obligations de baisse substantielle des prélèvements destinés à l’irrigation agricole ».
🖋️n°CD47 Tombé • Il y a +2 semaines
Après les mots : « sobres en eau et », rédiger ainsi la fin de l’alinéa 7 : « sous réserve qu’ils préservent la sécurité d’approvisionnement en eau potable, en quantité et en qualité, pour la population ».
🖋️n°CD245 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – Compléter l’alinéa 7 par les mots :  « s’ils sont compatibles avec le schéma d’aménagement et de gestion des eaux mentionné à l’article L. 212‑3 du code de l’environnement ». II. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑3 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé : « Tous les sous-bassins sont couverts par un schéma d’aménagement et de gestion des eaux au plus tard le 1er janvier 2027 ».
🖋️n°CD43 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 7, insérer l’alinéa suivant : « 1° ter L’article L. 210‑1 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé : « Les données relatives à l’usage économique de l’eau par le secteur agricole, dont les volumes prélevés par exploitation agricole et la nature des cultures irriguées, sont rendues publiques. Un décret détermine la liste des informations publiées et les conditions dans lesquelles le public peut y accéder. »
🖋️n°CD370 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 7, insérer les deux alinéas suivants : « 1° ter Après l’article L. 211‑1‑1, il est inséré un article L. 211‑1‑3 ainsi rédigé : « Art. 211‑1‑3. – Le drainage d’une zone humide, tel que mentionné au V bis de l’article 211‑12 du code de l’environnement est interdit »
🖋️n°CD44 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 7, insérer les trois alinéas suivants : « Les autorisations environnementales délivrées pour des ouvrages de stockage de l’eau à usage d’irrigation agricole alimentés par des prélèvements dans les eaux superficielles ou souterraines, ainsi que pour les travaux et infrastructures associés à ces ouvrages, dont les travaux n’ont pas commencé, sont abrogées. « Le cas échéant, les concours financiers des agences de l’eau définis à l’article L. 213‑8‑1 du code de l’environnement et prévus en application de l’article L. 213‑9‑2 du même code pour la construction de ces ouvrages, sont annulés. « Dans les territoires et bassins concernés, la gestion de l’eau pour l’irrigation agricole fait l’objet d’une concertation préalable définie à la section 4 du chapitre 1er du titre II du livre Ier du code de l’environnement, sur la base des données scientifiques les plus récentes, de la prise en compte de l’impact du changement climatique sur la ressource en eau, les milieux aquatiques et l’accès à l’eau potable, de la nécessaire restauration de la qualité de l’eau et de la prise en compte de tous les usages de l’eau dans le respect de la hiérarchie des usages de l’eau précisée au II de l’article L. 211‑1 du même code. »
🖋️n°CD61 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° Le deuxième alinéa de l’article L. 210‑1 est complété par une phrase ainsi rédigée : « Les zones humides et les écosystèmes aquatiques dégradés doivent faire l’objet d’une restauration par des solutions fondées sur la nature. »
🖋️n°CD60 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° Le II de l’article L. 211‑3 du code de l’environnement est ainsi modifié : « a) Après le 6°, il est inséré un 6 bis ainsi rédigé : « 6° bis Conditionner la délivrance des autorisations de prélèvement d’eau dans les eaux superficielles ou souterraines pour remplir des ouvrages de stockage d’eau existants sur le territoire national et destinés à l’irrigation agricole à des actions d’adaptation au changement climatique fondées sur la nature, à la diminution des volumes consacrés à l’irrigation agricole dans le bassin concerné ainsi qu’à l’utilisation exclusive de l’eau stockée pour l’irrigation de surfaces agricoles exploitées selon le mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de conversion vers ce mode de production ; » « b) Après le premier alinéa du 7°, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Au plus tard le 1er janvier 2026, les surfaces agricoles situées dans le périmètre de ces zones sont exploitées selon le mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de conversion vers ce mode de production. « 3° à 5° (Supprimés) ».
🖋️n°CD257 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° Le III de l’article L. 212‑1 est complété par une phrase ainsi rédigée : « Le schéma comporte un plan d’adaptation au changement climatique précisant la trajectoire de réduction des prélèvements au regard des projections d’évolution de la ressource en eau et des usages. »
🖋️n°CD254 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑1 est ainsi modifié : « a) Le IV est complété par un 6° ainsi rédigé :  « 6° À un objectif immédiat de baisse des prélèvements en eau de 10 %, et de 25 % à l’horizon 2034, par rapport aux prélèvements en eau de 2019 » ; « b) La première phrase du V est complétée par les mots : « à l’exception des objectifs mentionnés au 6°. »
🖋️n°CD238 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « La publication en ligne des comptes-rendus, des documents de séance, et des délibérations ainsi que des enregistrements vidéos des réunions est obligatoire. »
🖋️n°CD235 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé : « Pour les délibérations des commissions locales de l’eau, la publication des votes nominatifs est obligatoire. »
🖋️n°CD233 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « Les personnes ayant commis des infractions ou des délits relatifs au Titre Ier du Livre II du code de l’environnement ne peuvent siéger au sein d’une commission locale de l’eau, du conseil d’administration d’une agence de l’eau ou d’un comité de bassin ».
🖋️n°CD185 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « Chaque réunion des commissions fait l’objet d’un enregistrement vidéo complet ».
🖋️n°CD177 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « En cas de conflit d’intérêt avéré pour un élu, est prononcée sa révocation immédiate le cas échéant du conseil d’administration d’une agence de l’eau, d’une commission locale de l’eau et du comité de bassin assortie de l’impossibilité de siéger à nouveau dans la commission pendant 10 ans. »
🖋️n°CD176 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « Chaque membre d’une commission locale de l’eau en situation de conflit d’intérêt s’abstient de participer aux débats et au vote lors de l’étude du dossier pour lequel il a intérêt. »
🖋️n°CD171 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « Pour la composition de la commission locale de l’eau, si une personne dispose de plusieurs rattachements statutaires relatifs au détail des 1°, 2° et 3° du présent II, sa participation à la dite commission est comptabilisée pour chacun de ses rattachements afin d’éviter un déséquilibre de la représentativité de la dite commission. »
🖋️n°CD169 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « Chaque membre d’une commission locale de l’eau remplit au moment de sa nomination une déclaration publique d’intérêts, et informe le président de sa commission de toute situation pouvant présenter un risque de conflit d’intérêt »
🖋️n°CD145 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° À l’article L. 213‑8 du code de l’environnement,  « a) Au début du 2°, le chiffre : « 20 » est remplacé par le chiffre : « 30 » ; « b) Au début du 3°, le chiffre : « 20 » est remplacé par le chiffre : « 10 ».
🖋️n°CD164 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 213‑8 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « Pour la composition des collèges, si une personne dispose de plusieurs rattachements statutaires relatifs au 1°, 2°, 2°bis, 3° du présent article, sa participation au comité de bassin est comptabilisée pour chacun de ses rattachements afin d’éviter un déséquilibre de la représentativité des collèges et de l’ensemble du comité de bassin. »
🖋️n°CD146 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° Le 3°bis de l’article L. 213‑8‑1 du code de l’environnement est complété par les mots : « dont au moins un représentant de l’agriculture biologique au sens de l’article L. 641‑13 du code de l’environnement. »
🖋️n°CD327 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 213‑10‑8 est ainsi modifié : « a) La deuxième colonne du tableau du deuxième alinéa du III est ainsi modifiée : « – à la deuxième ligne, le taux : « 9,0 » est remplacé par le taux : « 10,5 » ; « – à la troisième ligne, le taux : « 5,1 » est remplacé par le taux : « 5,5 » ; « – à la quatrième ligne, le taux : « 3,0 » est remplacé par le taux : « 3,5 » ; « – à la cinquième ligne, le taux : « 0,9 » est remplacé par le taux : « 1 » ; « – à la sixième ligne, le taux : « 5,0 » est remplacé par le taux : « 5,5 » ; « – à la dernière ligne, le taux : « 2,5 » est remplacé par le taux : « 3,5 » ; « b) Après le tableau du deuxième alinéa du III il est inséré un tableau ainsi rédigé : « 
UsagesCatégorie 1Catégorie 2
Minimum (en centimes d'euros par m3)maximum (en centimes d'euros par m3)Minimum (en centimes d'euros par m3)maximum (en centimes d'euros par m3)
Irrigation autre que l'irrigation gravitaire1.415.042.8210.08
Irrigation gravitaire0.20.70.41.4
Alimentation en eau potable2.8210.085.6420.16
Alimentation d'un canal0.0120.0420.0240.084
Refroidissement industriel conduisant à une restitution supérieure à 99%0.530.951.061.9
Autres usages économiques1,977.563.9315,12 
 ».
🖋️n°CD325 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° Le quatrième alinéa du 3 du B du VA de l’article L. 213‑10‑9 est supprimé. »
🖋️n°CD488 Tombé • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 9 à 11.
🖋️n°CD62 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 9 à 11.
🖋️n°CD190 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 9 à 11.
🖋️n°CD302 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 9 à 11.
🖋️n°CD381 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 9 à 11.
🖋️n°CD438 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 9 à 11.
🖋️n°CD456 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi les alinéas 9 à 11 : « 6°L’article L. 215‑7‑1 est complété par quatre alinéas ainsi rédigés : « Il ne s’agit pas de fossés, de rigoles ou d’aménagements artificiels, sauf s’ils reprennent ou prolongent un lit naturel. « Une cartographie des cours d’eau est réalisée dans chaque département sous l’autorité du représentant de l’État et mise à jour tous les 10 ans. Elle est publiée sur des sites internet désignés par décret. « Toute personne peut se prévaloir de cette cartographie, même erronée, tant qu’elle n’a pas été mise à jour. « Les dispositions du présent article ne peuvent pas faire obstacle à l’application des dispositions législatives ou réglementaires préservant directement la santé publique, la sécurité des personnes et des biens ou l’environnement. »
🖋️n°CD154 Tombé • Il y a +2 semaines
Substituer aux alinéas 9 à 11 l’alinéa suivant :  « 6° Tout manquement au régime d’autorisation ou de déclaration en application des articles L. 214‑1 à L. 214‑6 causés par des installations, ouvrages, travaux et activités visés à l’article L. 214‑1 et ayant fait l’objet d’une décision de justice définitive font l’objet d’une remise à l’état initial systématique et obligatoire. »
🖋️n°CD179 Retiré • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 213‑8 du code de l’environnement, est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « Pour la composition des collèges, si une personne dispose de plusieurs rattachements statutaires relatifs au 1°, 2°, 2°bis, 3° du présent article, sa participation au comité de bassin est comptabilisée pour chacun de ses rattachements afin d’éviter un déséquilibre de la représentativité des collèges et de l’ensemble du comité de bassin. »
🖋️n°CD181 Retiré • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « Pour la composition de la commission locale de l’eau, si une personne dispose de plusieurs rattachements statutaires relatifs au détail des 1°, 2° et 3° du présent II, sa participation à la dite commission est comptabilisée pour chacun de ses rattachements afin d’éviter un déséquilibre de la représentativité de la dite commission. »
🖋️n°CD182 Retiré • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa est ainsi rédigé :  « En cas de conflit d’intérêt avéré pour un représentant, est prononcée sa révocation immédiate le cas échéant de la commission locale de l’eau, du conseil d’administration d’une agence de l’eau et du comité de bassin, assortie de l’impossibilité de siéger à nouveau dans l’une de ces instances pendant 10 ans. »
🖋️n°CD183 Retiré • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa est ainsi rédigé :  « Chaque membre d’une commission locale de l’eau remplit au moment de sa nomination une déclaration publique d’intérêts, et informe le président de sa commission de toute situation pouvant présenter un risque de conflit d’intérêt ».
🖋️n°CD184 Retiré • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 : « 2° L’article L. 212‑4 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « Chaque membre d’une commission locale de l’eau en situation de conflit d’intérêt s’abstient de participer aux débats et au vote lors de l’étude du dossier pour lequel il a intérêt. ».
🖋️n°CD63 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 9 : « 6° Au premier alinéa de l’article L. 214‑2, après le mot : « aquatiques », sont insérés les mots : « , ainsi que sur les zones humides définies à l’article L. 211‑1 ».
🖋️n°CD303 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l'alinéa 10.
🖋️n°CD304 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 10, substituer aux mots :  « l’essentiel » les mots :  « l’ensemble ».
🖋️n°CD134 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter l’alinéa 10 par la phrase suivante :  « Ces zones humides doivent être restaurées. » 
🖋️n°CD357 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter l’alinéa 10 par la phrase suivante :  « Toute implantation de système agrivoltaïque et d’aérogénérateur sur une zone humide ou à proximité d’une zone humide est interdite ».
🖋️n°CD65 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l’alinéa 11.
🖋️n°CD305 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l’alinéa 11.
🖋️n°CD306 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 11 : « Un décret en Conseil d’État détermine les mesures prises en matière de protection de la biodiversité afin que les zones humides fortement modifiées puissent de nouveau assurer l’ensemble de leurs fonctions écosystémiques. »
🖋️n°CD352 Tombé • Il y a +2 semaines
Après le mot : « lesquelles les », rédiger ainsi la fin de l’alinéa 11 : « fonctions écosystémiques spécifiques d’une zone humide fortement modifiée doivent être restaurées, dans l’objectif de se conformer au Règlement (UE) 2024/1991 du Parlement européen et du Conseil du 24 juin 2024 relatif à la restauration de la nature et modifiant le règlement (UE) 2022/869 ».
🖋️n°CD444 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 11, insérer les quatre alinéas suivants : « 6° bis L’article L. 214‑3 est ainsi modifié : « a) Le I est complété par un alinéa ainsi rédigé : « Tous les prélèvements en eau soumis à autorisation au sens du présent I font l’objet d’une télé-transmission. » « b) Le premier alinéa du II est complété par une phrase est ainsi rédigée : « Tout prélèvement supérieur à 1000 mètres cubes d’eau par an fait au moins l’objet d’une déclaration. »
🖋️n°CD64 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 11, insérer les deux alinéas suivants : « 6° bis Après l’article L. 216‑7 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 216‑7‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 216‑7‑1. – Le fait, pour toute personne en état de récidive au sens du dernier alinéa de l’article 132‑11 du code pénal, de contrevenir aux mesures de limitation ou de suspension provisoire des usages de l’eau prescrites en application du 1° du II de l’article L. 211‑3 du présent code est puni de 15 000 euros d’amende. »
🖋️n°CD353 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 11, insérer les deux alinéas suivants : « 6° bis Après l’article L. 512‑1 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 512‑1‑1 ainsi rédigé :  « Art. L. 512‑1‑1. – Les installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE) soumises à autorisation, telles que définies à l’article L. 512‑1, ne peuvent être implantées sur des zones humides, telles que définies à l’article L. 211‑1. »
🖋️n°CD66 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 12 et 13.
🖋️n°CD307 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 12 et 13.
🖋️n°CD382 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 12 et 13.
🖋️n°CD67 Tombé • Il y a +2 semaines
I – Rédiger ainsi l’alinéa 12 : « L’article L. 411‑2‑1 du code de l’environnement est abrogé. » II – En conséquence, supprimer l’alinéa 13.
🖋️n°CD76 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l'alinéa 13 : « Art. L. 411‑2‑2. – Sont présumés répondre à une raison impérative d’intérêt public majeur, au sens du c du 4° du I de l’article L. 411‑2, les ouvrages de stockage d’eau, soumis aux dispositions des articles L. 214‑2 à L. 214‑6, qui poursuivent à titre principal une finalité agricole qui s’entend au sens de l’article L. 311‑1 du code rural dans les zones relevant de l’article L. 211‑2 du code de l’environnement compromettant le potentiel de production agricole lorsqu’ils résultent d’une démarche territoriale concertée sur la répartition de la ressource en eau entre l’ensemble des usagers, qu’ils s’accompagnent d’une incitation des usagers, le cas échéant, dans des utilisations efficaces, économes et durables de la ressource en eau et qu’ils concourent, le cas échéant, à un accès à l’eau pour tous les usagers. »
🖋️n°CD432 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 13 : « Art. L. 411‑2‑2. – Sont présumés répondre à une raison impérative d’intérêt public majeur, au sens du c du 4° du I de l’article L. 411‑2, les ouvrages de stockage d’eau, soumis aux dispositions des articles L. 214‑2 à L. 214‑6, qui poursuivent à titre principal une finalité agricole qui s’entend au sens de l’article L. 311‑1 du code rural dans les zones relevant de l’article L. 211‑2 du code de l’environnement compromettant le potentiel de production agricole lorsqu’ils résultent d’une démarche territoriale concertée sur la répartition de la ressource en eau entre l’ensemble des usagers, qu’ils s’accompagnent d’une incitation des usagers, le cas échéant, dans des utilisations efficaces, économes et durables de la ressource en eau et qu’ils concourent, le cas échéant, à un accès à l’eau pour tous les usagers. »
🖋️n°CD148 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 13, après la référence : « L. 411‑2 », insérer les mots :  « les projets d’ ».
🖋️n°CD144 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 13, supprimer les mots :  « ou souterraines ».
🖋️n°CD152 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 13, supprimer les mots :  « ou souterraines ».
🖋️n°CD151 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 13, substituer aux mots :  « une finalité agricole », les mots : « l’objectif de résilience des systèmes agricoles et des systèmes alimentaires territoriaux dans le cadre des projets alimentaires territoriaux mentionnés au III de l’article L.1 du code rural et de la pêche maritime ».
🖋️n°CD53 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 13, après la première occurrence du mot :  « agricole », insérer les mots : « , à l’exclusion de l’irrigation des cultures destinées à l’exportation, »
🖋️n°CD87 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 13, après le mot : « pérenne », insérer les mots :  « en eau ».
🖋️n°CD56 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 13, substituer aux mots : « le potentiel de production agricole » les mots : « la sécurité alimentaire définie au 2° du I A de l’article L. 1 du code rural et de la pêche maritime ».
🖋️n°CD49 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 13, après la deuxième occurrence du mot : « agricole » insérer les mots : « lorsque l’eau stockée dans ces ouvrages est exclusivement destinée à l’irrigation de cultures relevant du mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de conversion vers ce mode de production, pour favoriser la restauration de la qualité des eaux, ».
🖋️n°CD155 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 13, après les mots :  « lorsqu’ils », insérer les mots :  « sont destinés à l’usage exclusif de l’eau stockée dans ces ouvrages pour l’irrigation de cultures relevant du mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de conversion vers ce mode de production, qu’ils ».
🖋️n°CD58 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 13, après les mots :  « lorsqu’ils », insérer les mots : « sont fondés sur des données scientifiques complètes datant de moins de deux ans sur l’hydrologie, les milieux, les usages et le climat prenant en compte l’impact du changement climatique, qu’ils ».
🖋️n°CD475 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 13, après les mots : « lorsqu’ils » insérer les mots : « concourent directement à la souveraineté alimentaire, qu’ils ».
🖋️n°CD476 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 13, après le mot :  « concertée »,  insérer les mots :  « en lien avec les commissions locales de l’eau mentionnées à l’article L. 212‑4 du code de l’environnement ».
🖋️n°CD480 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 13, après le mot : « concertée »,  insérer les mots :  « et transparente en lien avec les commissions locales de l’eau mentionnées à l’article L. 212‑4 du code de l’environnement ».
🖋️n°CD484 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 13, après le mot :  « concertée »,  insérer les mots :  « dans chaque comité de bassin ».
🖋️n°CD485 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 13, après le mot :  « concertée »,  insérer les mots :  « avec le comité de bassin mentionné à l’article L. 213‑8 du code de l’environnement ».
🖋️n°CD486 Tombé • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 13, après le mot :  « concertée »,  insérer les mots :  « en lien avec le conseil d’administration de l’Agence de l’eau mentionné à l’article L. 213‑8‑1 du code de l’environnement ».
🖋️n°CD92 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 13, après la première occurrence du mot : « usagers » substituer au signe : « , «  le mot : « ou ».
🖋️n°CD156 Tombé • Il y a +2 semaines
À la fin de l’alinéa 13, substituer aux mots : « d’un engagement des usagers dans des pratiques sobres en eau »  les mots : « d’obligations de baisse substantielle des prélèvements destinés à l’irrigation agricole ».
🖋️n°CD149 Tombé • Il y a +2 semaines
À la fin de l’alinéa 13, après les mots : « sobres en eau », insérer les mots : « ainsi que d’un plan de sortie de l’utilisation de matière fertilisante contenant de l’azote sous forme minérale de synthèse ».
🖋️n°CD150 Tombé • Il y a +2 semaines
À la fin de l’alinéa 13, après les mots :  « sobres en eau », insérer les mots : « et d’un réel partage de l’eau entre agriculteurs ».
🖋️n°CD46 Tombé • Il y a +2 semaines
Après les mots : « sobres en eau et », rédiger ainsi la fin de l’alinéa 13 : « sous réserve qu’ils préservent la sécurité d’approvisionnement en eau potable, en quantité et en qualité, pour la population ». 
🖋️n°CD160 Retiré • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 13, après les mots : « lorsqu’ils » insérer les mots : « concourent directement à la souveraineté alimentaire, qu’ils ».
🖋️n°CD77 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par les sept alinéas suivants : « 8°L’article L. 212‑1 du code de l’environnement est ainsi modifié : « a) Après le 3° du II, il est inséré un 4° ainsi rédigé :  « 4° Au chiffrage des impacts économiques et sociaux sur le potentiel agricole. » ; « b) Le VIII est complété par une phrase ainsi rédigée : « Le schéma directeur d’aménagement et de gestion des eaux indique comment sont pris en compte, évités, réduits et compensés les impacts économiques et sociaux sur le potentiel agricole des objectifs de qualité et de quantité des eaux et des aménagements et dispositions nécessaires prévus au IX. » « c) Le IX est complété par deux alinéas ainsi rédigés :  « En particulier, le schéma directeur identifie les sous-bassins ou parties de sous-bassins dans lesquels une gestion coordonnée des ouvrages, notamment hydroélectriques, est nécessaire. » « L’écriture du plan d’aménagement et de gestion de l’eau n’excède pas ce qui est nécessaire pour atteindre les objectifs posés par l’article L. 212‑3, les exigences posées par les textes de niveau supérieur, tout en privilégiant la mesure la moins restrictive de liberté pour les personnes concernées et en respectant les principes de protection de l’agriculture et de son potentiel agricole. »
🖋️n°CD95 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par les sept alinéas suivants : « 8°L’article L. 212‑1 du code de l’environnement est ainsi modifié : « a) Après le 3° du II, il est inséré un 4° ainsi rédigé :  « 4° Au chiffrage des impacts économiques et sociaux sur le potentiel agricole. » ; « b) Le VIII est complété par une phrase ainsi rédigée : « Le schéma directeur d’aménagement et de gestion des eaux indique comment sont pris en compte, évités, réduits et compensés les impacts économiques et sociaux sur le potentiel agricole des objectifs de qualité et de quantité des eaux et des aménagements et dispositions nécessaires prévus au IX. » « c) Le IX est complété par deux alinéas ainsi rédigés :  « En particulier, le schéma directeur identifie les sous-bassins ou parties de sous-bassins dans lesquels une gestion coordonnée des ouvrages, notamment hydroélectriques, est nécessaire. » « L’écriture du plan d’aménagement et de gestion de l’eau n’excède pas ce qui est nécessaire pour atteindre les objectifs posés par l’article L. 212‑3, les exigences posées par les textes de niveau supérieur, tout en privilégiant la mesure la moins restrictive de liberté pour les personnes concernées et en respectant les principes de protection de l’agriculture et de son potentiel agricole. »
🖋️n°CD433 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par les sept alinéas suivants : « 8°L’article L. 212‑1 du code de l’environnement est ainsi modifié : « a) Après le 3° du II, il est inséré un 4° ainsi rédigé :  « 4° Au chiffrage des impacts économiques et sociaux sur le potentiel agricole. » ; « b) Le VIII est complété par une phrase ainsi rédigée : « Le schéma directeur d’aménagement et de gestion des eaux indique comment sont pris en compte, évités, réduits et compensés les impacts économiques et sociaux sur le potentiel agricole des objectifs de qualité et de quantité des eaux et des aménagements et dispositions nécessaires prévus au IX. » « c) Le IX est complété par deux alinéas ainsi rédigés :  « En particulier, le schéma directeur identifie les sous-bassins ou parties de sous-bassins dans lesquels une gestion coordonnée des ouvrages, notamment hydroélectriques, est nécessaire. » « L’écriture du plan d’aménagement et de gestion de l’eau n’excède pas ce qui est nécessaire pour atteindre les objectifs posés par l’article L. 212‑3, les exigences posées par les textes de niveau supérieur, tout en privilégiant la mesure la moins restrictive de liberté pour les personnes concernées et en respectant les principes de protection de l’agriculture et de son potentiel agricole. »
🖋️n°CD81 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « 8° Après la deuxième phrase du premier alinéa de l’article L. 212‑5 du code de l’environnement, il est inséré deux phrases ainsi rédigées : « Il chiffre les impacts économiques et sociaux sur le potentiel agricole des choix issus du constat de l’état de la ressource en eau et du milieu aquatique. Ces choix prennent en compte ces impacts de façon à les éviter, les réduire ou les compenser. »
🖋️n°CD98 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « 8° Après la deuxième phrase du premier alinéa de l’article L. 212‑5 du code de l’environnement, il est inséré deux phrases ainsi rédigées : « Il chiffre les impacts économiques et sociaux sur le potentiel agricole des choix issus du constat de l’état de la ressource en eau et du milieu aquatique. Ces choix prennent en compte ces impacts de façon à les éviter, les réduire ou les compenser. »
🖋️n°CD442 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par l’alinéa suivant : « 8° Après la deuxième phrase du premier alinéa de l’article L. 212‑5 du code de l’environnement, il est inséré deux phrases ainsi rédigées : « Il chiffre les impacts économiques et sociaux sur le potentiel agricole des choix issus du constat de l’état de la ressource en eau et du milieu aquatique. Ces choix prennent en compte ces impacts de façon à les éviter, les réduire ou les compenser. »
🖋️n°CD79 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 13, insérer l’alinéa suivant : « 8° Après le premier alinéa du I de l’article L. 212‑5‑1 du code de l’environnement, il est inséré deux phrases ainsi rédigées : « Le Plan d’aménagement et de gestion durable de l’eau chiffre les impacts économiques et sociaux sur le potentiel agricole des conditions de mise en œuvre des objectifs à atteindre. Il tient compte de ces impacts dans son écriture, de façon à les éviter, les réduire ou les compenser. L’écriture du plan d’aménagement et de gestion de l’eau n’excède pas ce qui est nécessaire pour atteindre les objectifs posés par l’article L. 212‑3, les exigences posées par les textes de niveau supérieur, tout en privilégiant la mesure la moins restrictive de liberté pour les personnes concernées et en respectant les principes de protection de l’agriculture et de son potentiel agricole. »
🖋️n°CD96 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 13, insérer l’alinéa suivant : « 8° Après le premier alinéa du I de l’article L. 212‑5‑1 du code de l’environnement, il est inséré deux phrases ainsi rédigées : « Le Plan d’aménagement et de gestion durable de l’eau chiffre les impacts économiques et sociaux sur le potentiel agricole des conditions de mise en œuvre des objectifs à atteindre. Il tient compte de ces impacts dans son écriture, de façon à les éviter, les réduire ou les compenser. L’écriture du plan d’aménagement et de gestion de l’eau n’excède pas ce qui est nécessaire pour atteindre les objectifs posés par l’article L. 212‑3, les exigences posées par les textes de niveau supérieur, tout en privilégiant la mesure la moins restrictive de liberté pour les personnes concernées et en respectant les principes de protection de l’agriculture et de son potentiel agricole. »
🖋️n°CD439 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 13, insérer l’alinéa suivant : « 8° Après le premier alinéa du I de l’article L. 212‑5‑1 du code de l’environnement, il est inséré deux phrases ainsi rédigées : « Le Plan d’aménagement et de gestion durable de l’eau chiffre les impacts économiques et sociaux sur le potentiel agricole des conditions de mise en œuvre des objectifs à atteindre. Il tient compte de ces impacts dans son écriture, de façon à les éviter, les réduire ou les compenser. L’écriture du plan d’aménagement et de gestion de l’eau n’excède pas ce qui est nécessaire pour atteindre les objectifs posés par l’article L. 212‑3, les exigences posées par les textes de niveau supérieur, tout en privilégiant la mesure la moins restrictive de liberté pour les personnes concernées et en respectant les principes de protection de l’agriculture et de son potentiel agricole. »
🖋️n°CD80 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par les quatre alinéas suivants : « 8° L’article L. 212‑5‑1 du code de l’environnement est ainsi modifié : « a) Au premier alinéa du II, les mots : « Le schéma comporte également un règlement qui peut » sont remplacés par quatre phrases ainsi rédigées : « Le schéma comporte un règlement qui chiffre les impacts économiques et sociaux sur le potentiel agricole des conditions de mise en œuvre des objectifs à atteindre. Il tient compte de ces impacts dans son écriture de façon à les éviter, les réduire ou les compenser. L’écriture du règlement n’excède pas ce qui est nécessaire pour atteindre les objectifs posés par l’article L. 212‑3, les exigences posées par les textes de niveau supérieur, tout en privilégiant la mesure la moins restrictive de liberté pour les personnes concernées et en respectant les principes de protection de l’agriculture et de son potentiel agricole. Le règlement peut : » « b) Le 1° du II est complété par les mots : « sans compromettre le potentiel de production agricole ; ».
🖋️n°CD97 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par les quatre alinéas suivants : « 8° L’article L. 212‑5‑1 du code de l’environnement est ainsi modifié : « a) Au premier alinéa du II, les mots : « Le schéma comporte également un règlement qui peut » sont remplacés par quatre phrases ainsi rédigées : « Le schéma comporte un règlement qui chiffre les impacts économiques et sociaux sur le potentiel agricole des conditions de mise en œuvre des objectifs à atteindre. Il tient compte de ces impacts dans son écriture de façon à les éviter, les réduire ou les compenser. L’écriture du règlement n’excède pas ce qui est nécessaire pour atteindre les objectifs posés par l’article L. 212‑3, les exigences posées par les textes de niveau supérieur, tout en privilégiant la mesure la moins restrictive de liberté pour les personnes concernées et en respectant les principes de protection de l’agriculture et de son potentiel agricole. Le règlement peut : » « b) Le 1° du II est complété par les mots : « sans compromettre le potentiel de production agricole ; ».
🖋️n°CD440 Tombé • Il y a +2 semaines
Compléter cet article par les quatre alinéas suivants : « 8° L’article L. 212‑5‑1 du code de l’environnement est ainsi modifié : « a) Au premier alinéa du II, les mots : « Le schéma comporte également un règlement qui peut » sont remplacés par quatre phrases ainsi rédigées : « Le schéma comporte un règlement qui chiffre les impacts économiques et sociaux sur le potentiel agricole des conditions de mise en œuvre des objectifs à atteindre. Il tient compte de ces impacts dans son écriture de façon à les éviter, les réduire ou les compenser. L’écriture du règlement n’excède pas ce qui est nécessaire pour atteindre les objectifs posés par l’article L. 212‑3, les exigences posées par les textes de niveau supérieur, tout en privilégiant la mesure la moins restrictive de liberté pour les personnes concernées et en respectant les principes de protection de l’agriculture et de son potentiel agricole. Le règlement peut : » « b) Le 1° du II est complété par les mots : « sans compromettre le potentiel de production agricole ; ».
🖋️n°CD78 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 13, insérer les trois alinéas suivants : « 8° L’article L. 213‑8 du code de l’environnement est ainsi modifié : « a) Au début du 2°, le chiffre : « 20 » est remplacé par le chiffre : « 10 » ; « b) Au début du 2° bis, le chiffre : « 20 » est remplacé par le chiffre : « 30 ».
🖋️n°CD85 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 13, insérer les trois alinéas suivants : « 8° L’article L. 213‑8 du code de l’environnement est ainsi modifié : « a) Au début du 2°, le chiffre : « 20 » est remplacé par le chiffre : « 10 » ; « b) Au début du 2° bis, le chiffre : « 20 » est remplacé par le chiffre : « 30 ».
🖋️n°CD436 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 13, insérer les trois alinéas suivants : « 8° L’article L. 213‑8 du code de l’environnement est ainsi modifié : « a) Au début du 2°, le chiffre : « 20 » est remplacé par le chiffre : « 10 » ; « b) Au début du 2° bis, le chiffre : « 20 » est remplacé par le chiffre : « 30 ».
🖋️n°CD259 Retiré • Il y a +2 semaines
I. – L’article L. 211‑3 du code de l’environnement est ainsi modifié : 1° Le 7° du II est abrogé ; 2° Le V est ainsi modifié : a) À la première phrase, la référence : « 7° du II » est remplacée par la référence : « 4° du IV » ; b) À la seconde phrase, les mots : « peut délimiter » sont remplacés par le mot : « délimite » ; c) Il est complété par un alinéa ainsi rédigé : « L’autorité administrative compétente encadre, par un programme pluriannuel d’actions obligatoires, dans les aires d’alimentation des captages, les installations, travaux, activités, dépôts, ouvrages, aménagement ou occupations du sol de nature à nuire directement ou indirectement à la qualité des eaux. Le programme d’actions concerne notamment la transition vers des pratiques agroécologiques, en limitant ou interdisant, certaines occupations des sols et l’utilisation d’intrants. » 3° Le VI est ainsi rédigé : « VI. – À l’intérieur des aires d’alimentation des captages associés à des points de prélèvements sensibles, au sens de l’article L. 211‑11‑1, il est interdit d’utiliser ou de faire utiliser des engrais azotés minéraux et les produits phytopharmaceutiques de synthèse définis à l’article L. 253‑1 du code rural et de la pêche maritime. L’interdiction ne s’applique pas aux produits de biocontrôle mentionnés à l’article L. 253‑6 du même code et figurant sur la liste mentionnée au IV de l’article L. 253‑7 du dudit code et aux produits autorisés en agriculture biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du même code. ». II. – Le 3° du présent I entre en vigueur à l’expiration d’un délai de trois ans à compter de la promulgation de la présente loi.
🖋️n°CD260 Retiré • Il y a +2 semaines
I. – L’article L. 211‑3 du code de l’environnement est ainsi modifié : 1° Le 7° du II est abrogé ; 2° Le V est ainsi modifié : a) À la première phrase, la référence : « 7° du II » est remplacée par la référence : « 4° du IV » ; b) À la seconde phrase, les mots : « peut délimiter » sont remplacés par le mot : « délimite » ; c) Il est complété par un alinéa ainsi rédigé : « L’autorité administrative compétente encadre, par un programme pluriannuel d’actions obligatoires, dans les aires d’alimentation des captages, les installations, travaux, activités, dépôts, ouvrages, aménagement ou occupations du sol de nature à nuire directement ou indirectement à la qualité des eaux. Le programme d’actions concerne notamment la transition vers des pratiques agroécologiques, en limitant ou interdisant, certaines occupations des sols et l’utilisation d’intrants. » 3° Le VI est ainsi rédigé : « VI. – À l’intérieur des périmètres de protection éloignée mentionnés à l’article L. 1321‑2 du code de la santé publique, il est interdit d’utiliser ou de faire utiliser des engrais azotés minéraux et les produits phytopharmaceutiques de synthèse définis à l’article L. 253‑1 du code rural et de la pêche maritime. L’interdiction ne s’applique pas aux produits de biocontrôle mentionnés à l’article L. 253‑6 du même code et figurant sur la liste mentionnée au IV de l’article L. 253‑7 du dudit code et aux produits autorisés en agriculture biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du même code. ». II. – Le 3° du présent I entre en vigueur à l’expiration d’un délai de trois ans à compter de la promulgation de la présente loi.
🖋️n°CD261 Retiré • Il y a +2 semaines
L’article L. 211‑3 du code de l’environnement est ainsi modifié : I. – Le 7° du II est abrogé ; II. – Le V est ainsi modifié : 1° À la première phrase, la référence : « 7° du II » est remplacée par la référence : « 4° du IV » ; 2° À la seconde phrase, les mots : « peut délimiter » sont remplacés par le mot : « délimite » ; 3° Il est complété par un alinéa ainsi rédigé : « L’autorité administrative compétente encadre, par un programme pluriannuel d’actions obligatoires, dans les aires d’alimentation des captages, les installations, travaux, activités, dépôts, ouvrages, aménagement ou occupations du sol de nature à nuire directement ou indirectement à la qualité des eaux. Le programme d’actions concerne notamment la transition vers des pratiques agroécologiques, en limitant ou interdisant, certaines occupations des sols et l’utilisation d’intrants. »
🖋️n°CD262 Retiré • Il y a +2 semaines
I. – Le 7° du II de l’article L. 211‑3 du code de l’environnement est ainsi modifié :  1° Les mots : « associées à des points de prélèvement sensibles, au sens de l’article L. 211‑11‑1 » sont supprimés. 2° Il est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « La conformité de la qualité de l’eau brute destinée à l’alimentation en eau potable aux normes relatives à la consommation humaine doit être rétablie au plus tard trois ans après l’entrée en vigueur du programme d’actions.À l’issue de ce délai, si l’eau brute présente un dépassement de la limite réglementaire en matière de métabolites de pesticides, l’utilisation des substances responsables de la contamination est interdite sur l’ensemble de l’aire d’alimentation du captage concerné jusqu’au rétablissement de la conformité de l’eau destinée à la consommation humaine. »
🖋️n°CD35 Retiré • Il y a +2 semaines
Après le premier alinéa du 7° du II de l’article L. 211‑3 du code de l’environnement il est inséré un alinéa ainsi rédigé : « Au plus tard le 1er janvier 2026, les surfaces agricoles situées dans le périmètre de ces zones sont exploitées selon le mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de conversion vers ce mode de production. »
🖋️n°CD263 Retiré • Il y a +2 semaines
Au V de l’article L. 211‑3 du code de l’environnement, les mots : « peut délimiter » sont remplacés par le mot : « délimite ».
🖋️n°CD312 Tombé • Il y a +2 semaines
Le I de l’article L. 213‑9‑2 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé : « VIII. – En ce qui concerne l’irrigation agricole, les concours de l’agence de l’eau sont réservés aux actions ou travaux d’intérêt général incluant d’une part, une forte réduction des prélèvements dans les eaux superficielles ou souterraines sur la base d’une étude sur l’hydrologie, les milieux, les usages et le climat prenant en compte le changement climatique, d’autre part un plan d’adaptation des pratiques agricoles au changement climatique prioritairement par des solutions fondées sur la nature, et enfin l’usage exclusif de l’irrigation pour des cultures relevant du mode de production biologique, au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime, ou de conversion vers ce mode de production. »
🖋️n°CD378 Retiré • Il y a +2 semaines
🖋️n°CD426 Retiré • Il y a +2 semaines
Le code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : 1° L’avant‑dernier alinéa du II de l’article L. 1 est ainsi modifié : a) Après le mot : « préservation », sont insérés les mots : « , de la gestion durable » ; b) Sont ajoutés les mots : « , afin de tendre, à compter du 1er janvier 2030, par rapport au 1er janvier 2024, à une augmentation nette du linéaire de haies de 50 000 kilomètres, à un linéaire de haies en gestion durable, au sens de l’article L. 611‑9 du présent code, de 100 000 kilomètres, et à compter du 1er janvier 2048, à un linéaire de haies de 500 000 kilomètres, géré durablement, sur l’ensemble du territoire métropolitain et ultramarin » ; c) Est ajoutée une phrase ainsi rédigée : « Il veille à la promotion de la valorisation économique des haies gérées durablement. » ; 2° Le premier alinéa de l’article L. 4 est complété par une phrase ainsi rédigée : « Les documents de programmation stratégique nationale prévus par le droit de l’Union européenne et élaborés en vue de la mise en œuvre de la politique agricole commune sont compatibles et contribuent à tendre aux objectifs prévus par la stratégie définie à l’article L. 126‑6 du présent code. » ; 3° Le chapitre VI du titre II du livre Ier est complété par une section 3 ainsi rédigée : « Section 3 « Stratégie nationale pour la gestion durable et la reconquête de la haie « Art. L. 126‑6. – I. – Une stratégie nationale pour la gestion durable et la reconquête de la haie définit les orientations à suivre pour conduire la politique de gestion et de développement durables du linéaire de haies sur le territoire. « Cette stratégie définit une trajectoire chiffrée et un plan national d’actions afin de tendre aux objectifs mentionnés à l’avant‑dernier alinéa du II de l’article L. 1. « Le plan national d’actions définit des objectifs chiffrés en termes de plantations et des mesures en faveur du développement de la reconstitution de haies par régénération naturelle. « Il définit également les mesures permettant d’atteindre une mobilisation, en 2030, de 500 000 tonnes de matière sèche par an issues de haies gérées durablement au sens de l’article L. 611‑9 et d’atteindre en 2050, sur le total de la biomasse mobilisée, 70 % de matière sèche issue de haies gérées durablement au sens du même article L. 611‑9, en articulation avec la stratégie mentionnée à l’article L. 211‑8 du code de l’énergie. « Il établit un inventaire des pratiques de gestion des haies favorisant leur bon état écologique ainsi que la liste des financements publics et des mesures destinés à la recherche, à la formation et au soutien des acteurs publics et privés, en particulier des exploitations agricoles, en vue d’atteindre les objectifs mentionnés au présent I et notamment le développement de la gestion durable des haies au sens de l’article L. 611‑9 du présent code. « Le plan national d’actions est doté d’une instance de concertation et de suivi. Cette instance comprend notamment des représentants des filières et des organisations professionnelles concernées, des organismes publics intéressés, des représentants des collectivités territoriales et de leurs groupements, des associations nationales de protection de l’environnement agréées, l’ensemble des organisations syndicales représentatives, des organismes nationaux à vocation agricole et rurale au sens des articles L. 820‑2 et L. 820‑3, des organismes de formation et de recherche compétents et des associations nationales de défense des consommateurs agréées. Elle est présidée par les ministres chargés de l’agriculture et de l’environnement. « Cette stratégie est actualisée au moins tous les six ans. « I bis. – Un décret en Conseil d’État fixe les modalités d’application de la stratégie définie au I ainsi que la composition de l’instance de concertation et de suivi du plan national d’actions mentionnée au même I. « II. – Le plan national d’actions mentionné au I s’appuie sur un observatoire de la haie qui permet de collecter des données quantitatives et qualitatives pour suivre et évaluer les politiques publiques déployées sur le territoire national et rend disponible gratuitement, au format numérique, une agrégation et un suivi, jusqu’à l’échelle de la commune, des données de cartographie des haies et de leur implantation, du déploiement de la gestion durable des haies, au sens de l’article L. 611‑9, et de mobilisation de la biomasse issue de cette gestion durable. »
🖋️n°CD430 Retiré • Il y a +2 semaines
Le livre VI du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : Le chapitre Ier du titre Ier est complété par un article L. 611‑9 ainsi rédigé : « Art. L. 611‑9. – I. – Les gestionnaires de haies peuvent faire l’objet d’une certification garantissant la gestion durable des haies sur la totalité de l’exploitation. « Cette certification garantit des pratiques de gestion des haies permettant leur pérennité, un niveau d’emprise au sol minimal, un niveau élevé de services écosystémiques rendus par chaque type de haie au moyen de pratiques de coupe et de mise en défens garantissant la reprise végétale de la haie, et d’itinéraires techniques assurant sa régénération, l’équilibre du prélèvement de biomasse, la protection de la biodiversité, et excluant les pratiques dégradantes. « La certification permet d’atteindre le bon état écologique de la haie, défini par des étages de végétation ou un potentiel de végétation continus, une emprise au sol de la haie, des fonctions écosystémiques permettant la régénération de la haie, une biodiversité riche, une protection contre le ruissellement et l’érosion des sols, un stockage du carbone et une production de biomasse renouvelable. « La certification prévoit un cahier des charges national incluant des critères et prescriptions adaptés aux différents contextes pédoclimatiques. « II. – Les distributeurs de bois peuvent faire l’objet d’une certification garantissant que le bois distribué est issu en totalité de haies certifiées au sens du I, avec une empreinte carbone et environnementale liée au transport limitée, un nombre d’intermédiaires réduit, une juste rémunération du gestionnaire de haie et une traçabilité complète sur l’origine du bois pour le consommateur final. « III – Les certifications publiques ou privées de gestion durable de la haie et de distribution durable de bois issu de haies gérées durablement qui satisfont les conditions énumérées aux I et II peuvent être reconnues, pour une durée renouvelable de six ans, par arrêté conjoint des ministres chargés de l’agriculture et de l’environnement. » ;
Article 6
🖋️n°CD133 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 1 à 6.
🖋️n°CD315 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 1 à 6.
🖋️n°CD323 Adopté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 10, supprimer les mots : « ainsi que la formation et la pédagogie des agents ».
🖋️n°CD187 Adopté • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 10, insérer l’alinéa suivant : « Lorsque la sécurité des agents est menacée, les images captées et enregistrées au moyen de caméras individuelles peuvent être transmises en temps réel à l’établissement concerné et aux personnels impliqués dans la conduite du contrôle. »
🖋️n°CD186 Adopté • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 12 : « IV. – Lorsque cette consultation est nécessaire pour faciliter la recherche d’auteurs d’infractions ou l’établissement fidèle des faits lors des comptes rendus d’interventions, les personnels auxquels les caméras individuelles sont fournies peuvent avoir accès directement aux enregistrements auxquels ils procèdent dans le cadre d’une procédure judiciaire ou d’une intervention. Les caméras sont équipées de dispositifs techniques permettant de garantir l’intégrité des enregistrements jusqu’à leur effacement et la traçabilité des consultations lorsqu’il y est procédé dans le cadre de l’intervention. »
🖋️n°CD465 Adopté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 13, substituer aux mots : « dans le cas où » le mot : « s’ ».
🖋️n°CD466 Adopté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 14, substituer aux mots : « lorsqu’il y est procédé » les mots : « effectuées ».
🖋️n°CD121 Adopté • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 15, insérer l’alinéa suivant : « Chaque année, les services compétents publient un bilan des constats d’infractions environnementales précisant la nature et les suites données, notamment les classements sans suite, les poursuites judiciaires ou les sanctions administratives. Ce bilan est rendu public sous une forme accessible. »
🖋️n°CD467 Adopté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 16, après les mots : « article et » insérer les mots : « les modalités ».
🖋️n°CD225 Adopté • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 16, insérer les deux alinéas suivants : « 4° Après l’article L. 174‑3, il est inséré un article L. 174‑4 ainsi rédigé :  « Art. L. 174‑4. – Un outil public de suivi des contrôles de l’Office Français de la Biodiversité est créé. »
🖋️n°CD468 Adopté • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 17, substituer aux mots : « dans un délai d’un an à compter de » les mots : « au plus tard un an après ».
🖋️n°CD172 Adopté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 131‑1 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 131‑1-1 ainsi rédigé : « Art. L. 131‑1‑1. – Les autorités de l’État s’abstiennent, dans leur communication publique, de toute mise en cause injustifiée ou dénigrante à l’encontre des agents de la police de l’environnement mentionnés à l’article L. 172‑1 du présent code, dans l’exercice de leurs fonctions. Elles veillent au respect de leur mission d’intérêt général et à la reconnaissance publique de leur rôle dans la préservation de l’environnement. » »
🖋️n°CD168 Adopté • Il y a +2 semaines
Dans l’exercice de leurs missions, les agents de la police de l’environnement mentionnés à l’article L. 172‑1 du code de l’environnement habilités à porter une arme doivent porter celle-ci de manière apparente, afin de garantir l’information du public et d’assurer la transparence des interventions.
🖋️n°CD139 Adopté • Il y a +2 semaines
Un rapport annuel public est établi sur l’utilisation des caméras individuelles par les agents de la police de l’environnement mentionnés à l’article L. 174‑3 du code de l’environnement. Ce rapport présente notamment le nombre total d’interventions ayant donné lieu à l’enregistrement d’images, les circonstances types ayant justifié le déclenchement des enregistrements, le nombre d’enregistrements transmis à des autorités judiciaires ou disciplinaires, les mesures prises pour garantir la protection des données personnelles. Ce rapport est transmis au Parlement et rendu public par les ministères chargés de l’environnement et de l’agriculture.
🖋️n°CE226 Adopté • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 2 à 6.
🖋️n°CE227 Adopté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 10, supprimer les mots : « ainsi que la formation et la pédagogie des agents ».
🖋️n°CE229 Adopté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 10, insérer l’alinéa suivant : « Lorsque la sécurité des agents est menacée, les images captées et enregistrées au moyen de caméras individuelles peuvent être transmises en temps réel à l’établissement concerné et aux personnels impliqués dans la conduite du contrôle. »
🖋️n°CE230 Adopté • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi l’alinéa 12 : « IV. – Lorsque cette consultation est nécessaire pour faciliter la recherche d’auteurs d’infractions ou l’établissement fidèle des faits lors des comptes rendus d’interventions, les personnels auxquels les caméras individuelles sont fournies peuvent avoir accès directement aux enregistrements auxquels ils procèdent dans le cadre d’une procédure judiciaire ou d’une intervention. Les caméras sont équipées de dispositifs techniques permettant de garantir l’intégrité des enregistrements jusqu’à leur effacement et la traçabilité des consultations lorsqu’il y est procédé dans le cadre de l’intervention. »
🖋️n°CE232 Adopté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 13, substituer aux mots : « dans le cas où » le mot : « s’ ».
🖋️n°CE234 Adopté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 14, substituer aux mots : « lorsqu’il y est procédé » le mot : « effectuées ».
🖋️n°CE236 Adopté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 15, insérer l’alinéa suivant : « Chaque année, les services compétents publient un bilan des constats d’infractions environnementales précisant la nature et les suites données, notamment les classements sans suite, les poursuites judiciaires ou les sanctions administratives. Ce bilan est rendu public sous une forme accessible. »
🖋️n°CE237 Adopté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 16, après les mots : « article et » insérer les mots : « les modalités ».
🖋️n°CE239 Adopté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 16, insérer les deux alinéas suivants : « 4° Après l’article L. 174‑3, il est inséré un article L. 174‑4 ainsi rédigé :  « Art. L. 174‑4. – Un outil public de suivi des contrôles de l’Office Français de la Biodiversité est créé. »
🖋️n°CE241 Adopté • Il y a +1 semaine
À l’alinéa 17, substituer aux mots : « dans un délai d’un an à compter de » les mots : « au plus tard un an après ».
🖋️n°CE242 Adopté • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 131‑1 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 131‑1‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 131‑1‑1. – Les autorités de l’État s’abstiennent, dans leur communication publique, de toute mise en cause injustifiée ou dénigrante à l’encontre des agents de la police de l’environnement mentionnés à l’article L. 172‑1 du présent code, dans l’exercice de leurs fonctions. Elles veillent au respect de leur mission d’intérêt général et à la reconnaissance publique de leur rôle dans la préservation de l’environnement. »
🖋️n°CE243 Adopté • Il y a +1 semaine
Dans l’exercice de leurs missions, les agents de la police de l’environnement mentionnés à l’article L. 172‑1 du code de l’environnement habilités à porter une arme doivent porter celle-ci de manière apparente, afin de garantir l’information du public et d’assurer la transparence des interventions.
🖋️n°CE244 Adopté • Il y a +1 semaine
Un rapport annuel public est établi sur l’utilisation des caméras individuelles par les agents de la police de l’environnement mentionnés à l’article L. 174‑3 du code de l’environnement. Ce rapport présente notamment le nombre total d’interventions ayant donné lieu à l’enregistrement d’images, les circonstances types ayant justifié le déclenchement des enregistrements, le nombre d’enregistrements transmis à des autorités judiciaires ou disciplinaires, les mesures prises pour garantir la protection des données personnelles. Ce rapport est transmis au Parlement et rendu public par les ministères chargés de l’environnement et de l’agriculture.
🖋️n°CD166 Rejeté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD314 Rejeté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD127 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 3, insérer les deux alinéas suivants : a bis) Le 1° du I est complété par les mots : « et de surveillance des chantiers soumis à évaluations environnementales ; ».
🖋️n°CD320 Rejeté • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 7 à 17.
🖋️n°CD321 Rejeté • Il y a +2 semaines
Suppression de l'alinéa 8.
🖋️n°CD322 Rejeté • Il y a +2 semaines
Suppression de l'alinéa 10.
🖋️n°CD250 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 131‑12 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 131‑12‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 131‑12‑1. –  Le comité d’orientation s’emploie à constituer un collège agricole, composé de représentants syndicaux et patronaux du monde agricole, exerçant le métier d’agriculteur et désignés par les chambres régionales d’agriculture, afin de contribuer à sa mission définie à l’article L. 131‑12. »
🖋️n°CD336 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 171‑1 du code de l’environnement est complétée par un article L. 171‑1‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 171‑1‑1. – Dans le cadre des contrôles administratifs visant à vérifier le respect des prescriptions environnementales applicables aux exploitations agricoles, le caractère non intentionnel des infractions est pris en compte. Toute personne faisant l’objet d’un tel contrôle bénéficie du principe de présomption d’innocence. En cas de non-respect involontaire d’une prescription environnementale, un droit à l’erreur est accordé à l’exploitant de bonne foi, lui permettant de régulariser sa situation sans faire l’objet d’une sanction, sauf si l’infraction entraîne une atteinte grave aux milieux naturels, à la santé publique ou à la sécurité. Ce droit à l’erreur est modulé en fonction de la gravité de l’atteinte, selon des critères définis par décret. Un rapport écrit est transmis à l’exploitant, précisant les mesures à prendre pour se mettre en conformité, assorti d’un délai raisonnable pour procéder à la régularisation. Les modalités d’application du présent article, notamment les conditions de mise en œuvre du droit à l’erreur et les critères de gravité, sont précisées par décret. »
🖋️n°CD337 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 171‑1 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 171‑1‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 171‑1‑1. – En cas de contradictions entre des prescriptions environnementales issues de différents codes ou règlements, un exploitant agricole de bonne foi, ayant respecté les prescriptions applicables à sa situation, est exonéré de responsabilité administrative ou pénale pour les non-conformités découlant directement de ces contradictions. Un rapport écrit est transmis à l’exploitant, précisant les prescriptions contradictoires identifiées et les mesures à prendre pour clarifier sa situation. Les autorités compétentes informent le ministère de tutelle de ces contradictions dans un délai de six mois, en proposant des mesures pour les résoudre. Les modalités d’application du présent article, notamment les conditions de reconnaissance de la bonne foi et de signalement des contradictions, sont précisées par décret. »
🖋️n°CD167 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 172‑1 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 172‑1‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 172‑1‑1. – La police de l’environnement, dans l’exercice de ses missions de contrôle, de prévention et de sanction, concourt à la protection de l’intérêt général, au respect du droit à un environnement sain et à la préservation de la biodiversité. »
🖋️n°CD335 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 211‑1‑1 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 211‑1‑2 ainsi rédigé : « Art. L. 211‑1‑2. – À titre ponctuel et après information préalable de l’exploitant, l’Office français de la biodiversité, en partenariat avec les chambres d’agriculture, peut procéder à des contrôles pédagogiques sans verbalisation, dénommés contrôles à blanc, visant à apprécier la conformité des exploitations agricoles aux dispositions relatives à la protection de l’environnement. « Ces contrôles, sont effectués par les inspecteurs de l’environnement compétents. Ils ont pour objet de relever les points de non-conformité sans donner lieu à une verbalisation immédiate. Ils donnent lieu à l’établissement d’un rapport écrit, remis à l’exploitant, mentionnant les éventuelles non-conformités constatées ainsi que les mesures nécessaires à leur régularisation. Ce rapport fixe, en concertation avec la chambre d’agriculture concernée, un délai raisonnable pour la mise en conformité. À l’issue de ce délai, un contrôle de suivi peut être réalisé. Un décret précise les modalités d’application du présent article, notamment la fréquence et les conditions de réalisation des contrôles à blanc. »
🖋️n°CD228 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 231‑5 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 231‑6 ainsi rédigé :  « Art. L. 231‑6. – I. – Il est institué, dans chaque département, un comité opérationnel de lutte contre la délinquance environnementale, placé sous la présidence du ou des procureurs de la République territorialement compétents. « II. – En tenant compte des spécificités de chaque territoire, le comité a notamment pour mission de : « 1° Veiller aux échanges d’informations concernant les atteintes à l’environnement entre les autorités et services concernés ; « 2° Exploiter ces informations afin que le ou les procureurs de la République puissent apprécier l’opportunité de diligenter une enquête pénale ; « 3° Coordonner l’action judiciaire avec l’action administrative ainsi que les réponses pénales et administratives qui ont vocation à être apportées aux atteintes à l’environnement constatées sur le ressort. « III. – Le comité opérationnel de lutte contre la délinquance environnementale est compétent pour l’ensemble des infractions prévues par le présent code, ainsi que pour celles qui, sans y être spécifiquement mentionnées, présentent un lien direct avec la protection de l’environnement. « IV. – Réuni chaque fois que nécessaire et au moins deux fois par an, le comité est notamment composé du préfet de département ou de son représentant, des représentants des services de l’État, des établissements publics de l’État compétents en matière de lutte contre les atteintes à l’environnement et des services de police judiciaire concernés par les procédures. Le procureur de la République près le pôle régional environnemental est également membre des comités situés sur son ressort. « V. – Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’organisation, de composition et de fonctionnement du comité. »
🖋️n°CD218 Non soutenu • Il y a +2 semaines
Le chapitre III du titre II du livre Ier du code des relations entre le public et l’administration est complété par un article L. 123‑3 ainsi rédigé : « Art. L. 123‑3. – N’est pas de mauvaise foi au sens du présent titre, l’exploitant agricole qui lors d’un contrôle ne respecte pas une règle applicable manifestement en contradiction avec une autre. Le cas échéant cellui-ci ne peut faire l’objet de la part de l’administration, d’une sanction, pécuniaire ou consistant en la privation de tout ou partie d’une prestation due. »
🖋️n°CD122 Rejeté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 241‑3 du code de la sécurité intérieure, il est inséré un article L. 241‑4 ainsi rédigé :  « Art. L. 241‑3. – I. – Dans l’exercice de leurs missions de prévention des atteintes à l’ordre public et de protection de la sécurité des personnes et des biens ainsi que de leurs missions de police judiciaire, les fonctionnaires et agents publics chargés de certaines fonctions de police judiciaire, tels que définis aux articles 22, 24, 28, 28‑1, 28‑1‑1, 28‑2, 28‑3 du code de procédure pénale peuvent procéder en tous lieux, au moyen de caméras individuelles, à un enregistrement audiovisuel de leurs interventions lorsque se produit ou est susceptible de se produire un incident, eu égard aux circonstances de l’intervention ou au comportement des personnes concernées. « II. – L’enregistrement n’est pas permanent. « Les enregistrements ont pour finalités la prévention des incidents au cours des interventions les fonctionnaires et agents publics chargés de certaines fonctions de police judiciaire, tels que définis aux articles 22, 24, 28, 28‑1, 28‑1‑1, 28‑2, 28‑3 du code de procédure pénale, le constat des infractions et la poursuite de leurs auteurs par la collecte de preuves ainsi que la formation et la pédagogie des agents. « III. – Les caméras sont fournies par le service et portées de façon apparente par les agents précités. Un signal visuel spécifique indique si la caméra enregistre. Le déclenchement de l’enregistrement fait l’objet d’une information des personnes filmées, sauf si les circonstances l’interdisent. Une information générale du public sur l’emploi de ces caméras est organisée par le ministre de l’intérieur. « IV. – Lorsque cette consultation est nécessaire pour faciliter la recherche d’auteurs d’infractions, la prévention d’atteintes imminentes à l’ordre public, le secours aux personnes ou l’établissement fidèle des faits lors des comptes rendus d’interventions, les personnels auxquels les caméras individuelles sont fournies peuvent avoir accès directement aux enregistrements auxquels ils procèdent dans le cadre d’une procédure judiciaire ou d’une intervention. Les caméras sont équipées de dispositifs techniques permettant de garantir l’intégrité des enregistrements jusqu’à leur effacement et la traçabilité des consultations lorsqu’il y est procédé dans le cadre de l’intervention. « V. – Les enregistrements audiovisuels, sauf dans le cas où ils sont utilisés dans le cadre d’une procédure judiciaire, administrative ou disciplinaire, sont effacés au bout d’un mois. « VI. – Les modalités d’application du présent article et d’utilisation des données collectées sont précisées par un décret en Conseil d’État, pris après avis de la Commission nationale de l’informatique et des libertés. »
🖋️n°CD137 Rejeté • Il y a +2 semaines
Il est institué un comité national de concertation sur les modalités de financement pérenne des missions de police de l’environnement. Ce comité est composé de représentants de l’État, d’agents de la police de l’environnement, d’associations de protection de l’environnement, d’experts et de représentants des collectivités territoriales. Il est placé sous l’égide du ministre chargé de l’environnement. Ce comité exerce ses fonctions à titre bénévole. Il a pour mission de proposer, dans un rapport remis au Gouvernement dans un délai d’un an à compter de l’installation du comité, des pistes de financement pérennes, en s’inspirant notamment des dispositifs existants tels que le Fonds interministériel de prévention de la délinquance (FIPD), afin de garantir l’efficacité, la continuité et l’indépendance des missions de police de l’environnement. Les modalités d’organisation et de fonctionnement du comité sont fixées par arrêté du ministre chargé de l’environnement.
🖋️n°CD338 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 211‑1‑1 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 211‑1‑2 ainsi rédigé : « Art. L211‑1‑2. – Un outil numérique, gratuit et accessible en ligne, est mis à la disposition des agriculteurs pour leur permettre d’identifier les réglementations environnementales et les procédures administratives applicables à leurs activités, à l’échelle des parcelles qu’ils exploitent. Cet outil, élaboré en concertation avec les chambres d’agriculture et les organisations professionnelles agricoles, fournit des réponses circonstanciées sur les prescriptions à respecter et les démarches à accomplir, en fonction de la localisation et des caractéristiques des parcelles. Les réponses produites sont transmises aux agents de l’Office français de la biodiversité chargés des contrôles, afin d’assurer une application cohérente des réglementations et d’éviter toute divergence d’interprétation. Les modalités de mise en œuvre de cet outil, notamment les conditions d’accès et de mise à jour des données, sont précisées par décret. »
🖋️n°CD418 Irrecevable • Il y a +2 semaines
I. – Le code de l’environnement est ainsi modifié : 1° La section 2 du chapitre 1er du titre III du livre Ier est abrogée ; 2° L’article L. 213‑2 est rétabli ; 3° L’article L. 421‑1 est rétabli.  II. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.
🖋️n°CD441 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Le troisième alinéa de l’article R. 131‑34‑1 du code de l’environnement est complété par un alinéa ainsi rédigé :  « Ils ne peuvent porter leur arme lors d’un contrôle ou d’une visite dans une exploitation agricole ou dans une entreprise. » 
🖋️n°CD159 Rejeté • Il y a +2 semaines
Dans un délai de douze mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur la nécessité et les modalités de priorisation des missions des agents de l’Office français de la biodiversité.
🖋️n°CD227 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Dans les six mois suivant la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport présentant l’opportunité de créer un office interministériel de lutte contre les espèces exotiques envahissantes, placé sous tutelle de l’Office français de la biodiversité.
🖋️n°CE595 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE112 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Au début du 1° du I de l’article L. 131‑9 du code l’environnement, sont ajoutés les mots : « Sous l’autorité du représentant de l’État dans les territoires, ».
🖋️n°CE596 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CD120 Retiré • Il y a +2 semaines
🖋️n°CD316 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 1 à 4.
🖋️n°CD188 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer les alinéas 2 à 6. 
🖋️n°CD131 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l'alinéa 3.
🖋️n°CD317 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l'alinéa 3.
🖋️n°CD158 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 3 : « a) Le 1° du I est ainsi rédigé : « 1° Contribution à l’exercice des missions de police administrative et de police judiciaire relatives à la chasse prioritairement, à l’eau, aux espaces naturels, aux espèces et à la pêche, ainsi que des missions de police sanitaire en lien avec la faune sauvage ; ».
🖋️n°CD217 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 3 :  « a) Au début du 1 du I, sont ajoutés les mots : « Sous l’autorité du Préfet, ».
🖋️n°CD124 Retiré • Il y a +2 semaines
🖋️n°CD125 Retiré • Il y a +2 semaines
🖋️n°CD126 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 3, insérer les deux alinéas suivants : « a) bis Au 4° du I, il est ajouté un i) ainsi rédigé :  « i) Appui à la surveillance de l’équilibre agro-sylvo-cynégétique ».
🖋️n°CD130 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l'alinéa 4.
🖋️n°CD318 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l'alinéa 4.
🖋️n°CD463 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 4, substituer au mot : « validant » le mot : « approuvant ».
🖋️n°CD123 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 5, insérer les deux alinéas suivants : « 1° bis L’article L. 131‑12 est complété par la phrase suivante :  « Une fois par an le comité d’orientation s’entretient avec les représentants des chambres d’agriculture afin d’échanger sur les actions de l’Office Français de la Biodiversité auprès du monde agricole. »
🖋️n°CD132 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l’alinéa 6.
🖋️n°CD319 Tombé • Il y a +2 semaines
Supprimer l’alinéa 6.
🖋️n°CD464 Tombé • Il y a +2 semaines
À l’alinéa 10, substituer aux mots : « la formation et la pédagogie » les mots : « la pédagogie et la formation ».
🖋️n°CD135 Retiré • Il y a +2 semaines
🖋️n°CD226 Retiré • Il y a +2 semaines
Chaque année le Gouvernement remet au Parlement un bilan qualitatif et quantitatif présentant le nombre de contrôles de l’Office français de la biodiversité ayant engendré des conflits entre agents et entités contrôlées sur une année civile.
Article 7
🖋️n°CD8 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CE802 Adopté • Il y a +6 jours
Après le mot : « sont » rédiger ainsi la fin de l’alinéa 2  « supprimés ».
🖋️n°CE773 Adopté • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi l’alinéa 5 :  « – la première phrase est ainsi rédigée : « L’entrée sur le territoire ou l’introduction dans l’environnement de macro-organismes utilisés dans le cadre de la lutte autocide ou d’autres macro-organismes non indigènes utiles aux végétaux sont soumises à autorisation préalable » ».
🖋️n°CE41 Adopté • Il y a +2 semaines
I. – Après l’alinéa 5, insérer l’alinéa suivant :  « – à la seconde phrase, après le mot : « agriculture », sont insérés les mots : « , du ministre chargé de la santé » II. – Après l’alinéa 9, insérer l’alinéa suivant :  « – à la troisième phrase, après le mot : « agriculture », sont insérés les mots : « , du ministre chargé de la santé » »
🖋️n°CE769 Adopté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 6, insérer l’alinéa suivant : « – à la seconde phrase, après le mot : « environnemental », sont insérés les mots : « réalisée conjointement par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail mentionné à l’article L1313‑1 du code de la santé publique et l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement ; ».
🖋️n°CE42 Adopté • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 :  « – la première phrase est ainsi rédigée : « Par dérogation au premier alinéa, dans le cadre de travaux réalisés de façon confinée et à des fins scientifiques, l’entrée sur le territoire d’un tel macro-organisme peut être autorisée sans analyse préalable du risque phytosanitaire et environnemental. » »
🖋️n°CE775 Adopté • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 9, insérer l’alinéa suivant : « c) Après le troisième alinéa est inséré un alinéa ainsi rédigé : « L'introduction dans l'environnement à des fins de protection des cultures d'un macro-organisme issu de la technique du forçage génétique ne peut être autorisée dans le cadre de la procédure prévue au premier alinéa." "
🖋️n°CE798 Adopté • Il y a +1 semaine
Le chapitre Ier du titre II du Livre II du code forestier est complété par un article L. 221‑9 ainsi rédigé :  «  Art. L. 221‑9. – I. – L’Office national des forêts, saisi d’une demande d’installation de ruche, veille à concilier l’intérêt légitime des apiculteurs avec les autres intérêts qu’il défend dans l’exercice de ses missions. « II. – Les conditions de concertation entre l’Office national des forêts et les représentants de la filière apicole sont déterminées par arrêté du ministre chargé des forêts. »
🖋️n°CE210 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CE14 Rejeté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CE397 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CD358 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi cet article :  « Le premier alinéa de l’article unique de la loi n° 2014‑567 du 2 juin 2014 relative à l’interdiction de la mise en culture des variétés de maïs génétiquement modifié est ainsi réécrit : « I. – La mise en culture et l’importation des variétés de plantes génétiquement modifiées, y compris celles issues des nouvelles techniques génomiques, est interdite. »
🖋️n°CE767 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer l’alinéa 2.
🖋️n°CE347 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Les articles L259-1 à L259-2 du code rural et de la pêche maritime sont abrogés.
🖋️n°CE346 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Le premier alinéa de l’article unique de la loi n° 2014‑567 du 2 juin 2014 relative à l’interdiction de la mise en culture des variétés de maïs génétiquement modifié est ainsi rédigé : « I. – La mise en culture et l’importation des variétés de plantes génétiquement modifiées, y compris celles issues des nouvelles techniques génomiques, est interdite. »
🖋️n°CD359 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Les articles L. 259‑1 à L. 259‑2 du code rural et de la pêche maritime sont supprimés.
🖋️n°CE44 Retiré • Il y a +2 semaines
Supprimer l’alinéa 2.
🖋️n°CE768 Retiré • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi l’alinéa 2 : « 1° À l’intitulé du chapitre VIII, après les mots : « , notamment dans le cadre de la lutte biologique » insérer les mots : « et autocide » »
🖋️n°CE40 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À la fin de l’alinéa 2, substituer aux mots :   « lutte autocide »,  les mots :  « technique de l’insecte stérile ». II. – En conséquence, procéder à la même substitution à l’alinéa 5.
🖋️n°CE398 Tombé • Il y a +1 semaine
I. – À la fin de l’alinéa 2, substituer aux mots :   « lutte autocide »,  les mots :  « technique de l’insecte stérile ». II. – En conséquence, procéder à la même substitution à l’alinéa 5.
🖋️n°CD129 Tombé • Il y a +2 semaines
I. – À l’alinéa 2, substituer aux mots :  « lutte autocide » les mots :  « technique de l’insecte stérile ». II. – En conséquence, procéder à la même substitution à l’alinéa 5. 
🖋️n°CE718 Retiré • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 3 à 9.
🖋️n°CE719 Retiré • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 4 à 6.
🖋️n°CE47 Retiré • Il y a +2 semaines
Supprimer l'alinéa 5.
🖋️n°CD161 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l’alinéa 5, insérer l’alinéa suivant :  « – à la seconde phrase, après le mot : « agriculture », sont insérés les mots : « , du ministre chargé de la santé » ; ».  
🖋️n°CE48 Retiré • Il y a +2 semaines
Supprimer l’alinéa 6.
🖋️n°CE762 Retiré • Il y a +1 semaine
Après l’alinéa 6, insérer l’alinéa suivant :  « – à la seconde phrase, après le mot : « agriculture », insérer les mots : « , de la santé » ; ».
🖋️n°CE720 Retiré • Il y a +1 semaine
Supprimer les alinéas 7 à 9.
🖋️n°CD165 Tombé • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’alinéa 8 :  « – la première phrase est ainsi rédigée : « Par dérogation au premier alinéa, dans le cadre de travaux réalisés de façon confinée et à des fins scientifiques, l’entrée sur le territoire d’un tel macro-organisme peut être autorisée sans analyse préalable du risque phytosanitaire et environnemental » ; ».
🖋️n°CE50 Retiré • Il y a +2 semaines
Supprimer l’alinéa 8.
🖋️n°CE774 Retiré • Il y a +1 semaine
A l'alinéa 8, substituer aux mots : "de tels macro-organismes" les mots : "d'un macro-organisme non indigène".
🖋️n°CE51 Retiré • Il y a +2 semaines
Supprimer l’alinéa 9.
🖋️n°CD220 Tombé • Il y a +2 semaines
Après l'alinéa 9, insérer l’alinéa suivant :  « – à la dernière phrase, après le mot : « agriculture », sont insérés les mots : « , du ministre chargé de la santé »; ».
🖋️n°CE399 Retiré • Il y a +1 semaine
Après l'alinéa 9, insérer l’alinéa suivant : « – à la troisième phrase, après le mot : « agriculture », sont insérés les mots : « , du ministre chargé de la santé »; ».
🖋️n°CE763 Retiré • Il y a +1 semaine
Après l'alinéa 9, insérer l’alinéa suivant : « – à la troisième phrase, après le mot : « agriculture », sont insérés les mots : « , du ministre chargé de la santé »; ».
Article 8
🖋️n°CD6 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CD324 Adopté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CE776 Adopté • Il y a +1 semaine
I. – À l’alinéa 1, supprimer les mots : « et de sanction ». II. – Supprimer l’alinéa 2.  
🖋️n°CE777 Adopté • Il y a +1 semaine
Substituer aux alinéas 3 et 4 les trois alinéas suivants : « Dans la mesure nécessaire à l’atteinte de cet objectif, l’ordonnance prise sur le fondement du premier alinéa peut prévoir : « 1° Une complétion des pouvoirs de police administrative en matière de protection des végétaux et la facilitation de l’identification des propriétaires ou détenteurs de végétaux concernés par ces mesures ; « 2° Une simplification des modalités d’exécution des mesures de prévention, de surveillance et de lutte contre les dangers phytosanitaires et la modification ou l’abrogation des dispositions devenues inadaptées ou obsolètes du fait de cette simplification. »
🖋️n°CD341 Adopté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 181‑17 du code de l’environnement, sont insérés deux articles L. 181‑17‑1 et L. 181‑17‑2 ainsi rédigés : « Art. L. 181‑17‑1. – Le juge administratif des référés, saisi d’une demande de suspension d’une décision accordant une autorisation environnementale prise au titre de l’article L. 181‑1 ou d’une des décisions accordant une autorisation, un enregistrement, une déclaration, une absence d’opposition, une approbation, une dérogation ou un agrément au titre d’une autre législation mentionnée au I de l’article L. 181‑2, fait droit à cette demande si elle comporte un moyen propre à créer, en l’état de l’instruction, un doute sérieux quant à la légalité de celle-ci. « Art. L. 181‑17‑2. – Le juge administratif des référés, saisi d’une demande de suspension d’une décision accordant une autorisation environnementale prise au titre de l’article L. 181‑1 ou d’une des décisions accordant une autorisation, un enregistrement, une déclaration, une absence d’opposition, une approbation, une dérogation ou un agrément au titre d’une autre législation mentionnée au I de l’article L. 181‑2, statue dans un délai de cinq jours si le requérant fait état d’un risque d’atteinte irréversible, et ceci même en présence d’un risque incertain. »
🖋️n°CE679 Adopté • Il y a +1 semaine
Au premier alinéa de l’article L432‑2 du code de l’environnement, le nombre « 18 000 » est remplacé par le nombre « 36 000 ».
🖋️n°CD343 Adopté • Il y a +2 semaines
Après l’article L. 181‑17 du code de l’environnement, il est inséré un article L. 181‑17‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 181‑17‑1. – Le juge statue dans un délai de douze mois sur les recours contre les décisions accordant une autorisation environnementale prise au titre de l’article L. 181‑1 ou contre une des décisions accordant une autorisation, un enregistrement, une déclaration, une absence d’opposition, une approbation, une dérogation ou un agrément au titre d’une autre législation mentionnée au I de l’article L. 181‑2. »
🖋️n°CE209 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CE4 Rejeté • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CE400 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CE545 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CE598 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer cet article.
🖋️n°CD396 Non soutenu • Il y a +2 semaines
Supprimer cet article.
🖋️n°CE358 Rejeté • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 3.
🖋️n°CD360 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi cet article : « L’article 31 de la loi n°2025‑268 du 24 mars 2025 d’orientation pour la souveraineté alimentaire et le renouvellement des générations en agriculture est supprimé. »
🖋️n°CD361 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi cet article : « L’article 23 de la loi n° 2025‑391 du 30 avril 2025 portant diverses dispositions d’adaptation au droit de l’Union européenne en matière économique, financière, environnementale, énergétique, de transport, de santé et de circulation des personnes. »
🖋️n°CE108 Irrecevable • Il y a +2 semaines
I. – Après l’article 72 B du code général des impôts, il est inséré un article 72 B ter ainsi rédigé : « Art. 72 B ter. – L’indemnisation versée par l’État au titre de l’article L. 361‑3 du code rural et de la pêche maritime et utilisée pour reconstituer l’élevage dans les vingt-quatre mois suivant la date de publication de l’arrêté préfectoral portant déclaration d’infection n’est pas assujettie à l’impôt » « II. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.
🖋️n°CE56 Irrecevable • Il y a +2 semaines
L’article 200 undecies du code général des impôts est ainsi modifié : I. – À la deuxième phrase du I, les mots : « que l’activité exercée requière la présence du contribuable sur l’exploitation chaque jour de l’année et que son remplacement » sont remplacés par les mots : « que le remplacement du contribuable ». II. – Le premier alinéa du II est ainsi modifié : 1° À la première phrase, le taux : « 60 % » est remplacé par le taux : « 80 % » ; 2° À la première phrase, le nombre : « dix-sept » est remplacé par le nombre : « vingt-huit » ; 3° À la deuxième phrase, le taux : « 80 % » est remplacé par le taux « 100 % ». III. – Le 1° du II n’est applicable qu’aux sommes venant en déduction de l’impôt dû. IV. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.
🖋️n°CE110 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Le chapitre III du titre II du livre Ier du code des relations entre le public et l’administration est complété par un article L. 123‑3 ainsi rédigé : « Art. L. 123‑3. – N’est pas de mauvaise foi au sens du présent titre, l’exploitant agricole qui lors d’un contrôle ne respecte pas une règle applicable manifestement en contradiction avec une autre. Le cas échéant celui-ci ne peut faire l’objet de la part de l’administration, d’une sanction, pécuniaire ou consistant en la privation de tout ou partie d’une prestation due. »
🖋️n°CE117 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Le chapitre III du titre II du livre Ier du code des relations entre le public et l’administration est complété par un article L. 123‑3 ainsi rédigé : « Art. L. 123‑3. – N’est pas de mauvaise foi au sens du présent titre, l’exploitant agricole qui lors d’un contrôle ne respecte pas une règle applicable manifestement en contradiction avec une autre. Le cas échéant celui-ci ne peut faire l’objet de la part de l’administration, d’une sanction, pécuniaire ou consistant en la privation de tout ou partie d’une prestation due. »
🖋️n°CE461 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 113‑3 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 113‑3‑1 ainsi rédigé : « Article L. 113‑3‑1. – I. – Il peut être institué, dans chaque département, un comité départemental pastoral, placé sous l’autorité du représentant de l’État dans le département, afin d’assurer la concertation entre les services de l’État, les collectivités territoriales, les organisations professionnelles agricoles, les gestionnaires d’espaces naturels et les représentants de la société civile sur les questions relatives au pastoralisme. « II. – Ce comité a notamment pour mission d’identifier les enjeux pastoraux départementaux, de proposer des actions de soutien ou de développement du pastoralisme, de suivre la mise en œuvre des politiques publiques liées au pastoralisme, d’émettre des avis sur les projets pouvant avoir un impact sur les activités pastorales. « III. – Il se réunit au moins une fois par an.  « IV. Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’organisation, de composition et de fonctionnement du comité. »
🖋️n°CE503 Irrecevable • Il y a +1 semaine
L’article L. 201‑3 du code rural et de la pêche maritime est complété par un alinéa ainsi rédigé : « En cas de crise épizootique, notamment lors des pics épizootiques d’influenza aviaire, un référent préfectoral coordinateur est désigné pour chaque zone géographique de contamination. Ce référent est chargé de coordonner les actions nécessaires en lien avec les services déconcentrés de l’État, afin d’assurer la cohérence des mesures sanitaires et la communication rapide aux services de l’administration centrale les difficultés de terrain rencontrées. Les modalités de désignation de ces référents préfectoraux, ainsi que les conditions d’exercice de leurs fonctions, sont définies par un décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE506 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Le I de l’article L201‑4 du code rural et de la pêche maritime est complété par un 7° ainsi rédigé :  « 7° Assurer la sensibilisation et la formation des détenteurs d’oiseaux, professionnels ou non, aux bonnes pratiques de biosécurité afin de renforcer la prévention des épizooties. Cette sensibilisation prend en compte la diversité des modèles d’élevage et des modes de détention, et s’appuie sur des modalités pédagogiques adaptées aux réalités de terrain. Les actions de formation peuvent être conduites en lien avec les organisations professionnelles agricoles, les établissements d’enseignement agricole, les collectivités territoriales et les associations compétentes. Les conditions d’application du présent article sont précisées par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE436 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Le second alinéa de l’article L. 201‑5 du code rural et de la pêche maritime est complété par deux phrases ainsi rédigées : « Ce plan doit, dans la mesure du possible, privilégier l’abattage partiel du troupeau et éviter au maximum un abattage total. Il s’assure d’un suivi psychologique de l’éleveur confronté à la potentielle perte de son activité. »
🖋️n°CE507 Irrecevable • Il y a +1 semaine
L’article L201‑7 du code rural et de la pêche maritime est complété par deux alinéas ainsi rédigés : « Dans les zones identifiées à risque particulier de diffusion du virus de l’influenza aviaire hautement pathogène, tout propriétaire ou détenteurs d’animaux, en concertation avec les interprofessions, syndicats agricoles et les pouvoirs publics, doit élaborer en amont des crises des mesures de dédensification préventive, afin d’adapter la gestion de la production avicole à la réduction des risques sanitaires, réduire les pressions épidémiologiques en période de crise et éviter des dépeuplements massifs. « Les modalités précises de mise en œuvre de ces mesures, ainsi que les critères de dédensification en fonction des risques territoriaux et des types d’élevage, sont fixées par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE505 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Après le II de l’article L201‑14 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un III ainsi rédigé :  « III. – Dans le cadre des mesures de surveillance, de prévention et de lutte contre l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP), l’évaluation du niveau de risque sur le territoire national pour la mise à l’abri des volailles galliformes en Zone à Risque Particulier repose sur une échelle graduée à quatre niveaux, de 1 à 4, permettant une application différenciée et proportionnée des mesures de biosécurité selon les zones géographiques concernées. « Les modalités de définition et d’application de ces niveaux de risque sont fixées par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE352 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Après l’article L. 214‑18 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 214‑19‑3 ainsi rédigé : « Art. L. 214‑19‑3. – Les députés et les sénateurs, ainsi que les représentants au Parlement européen élus en France, sont autorisés à visiter à tout moment et de façon inopinée les abattoirs situés sur le territoire français. « Les députés, les sénateurs et les représentants au Parlement européen mentionnés au premier alinéa du présent article peuvent être accompagnés par un ou plusieurs journalistes titulaires de la carte d’identité professionnelle mentionnée à l’article L. 7111‑6 du code du travail, dans des conditions fixées par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CE502 Irrecevable • Il y a +1 semaine
L’article L. 221‑1 du code rural et de la pêche maritime est complété par un 4° ainsi rédigé :  « 4° En cas de survenue ou de risque avéré de crise épizootique majeure, un Conseil scientifique de gestion des crises épizootiques est institué auprès du ministre chargé de l’agriculture. Ce conseil a pour mission d’éclairer les décisions publiques relatives à la prévention, à la gestion et à la sortie de crise, en apportant une expertise pluridisciplinaire en matière de santé animale, d’épidémiologie de biosécurité, de gestion des risques économiques et de soutien aux acteurs agricoles. Ce conseil scientifique prend en compte les retours d’expérience et associe les acteurs des filières longues, courtes et indépendantes, les représentants des syndicats agricoles, les associations de consommateurs et les associations de bien-être animal.  « Sa composition, ses missions détaillées, et ses modalités de fonctionnement sont définies par décret en Conseil d’État. Ses membres exercent leurs fonctions à titre bénévole. »
🖋️n°CE348 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Titre II bis – lever les contraintes au métier d’éleveur. Article 9 Le I de l’article L. 230‑5‑1 est complété par un alinéa ainsi rédigé : « Au plus tard au 1er janvier 2027, les viandes bovines, porcines, caprines, ovines et de volaille, répondant aux conditions prévues au présent I, et provenant d’animaux élevés en France, doivent représenter une part fixée à 100 % dans les restaurants collectifs gérés par l’État, ses établissements publics et les entreprises publiques nationales. » ;
🖋️n°CE546 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Le chapitre préliminaire du titre III du livre II du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié :  1° Le I de l’article L. 230‑5‑1 est complété par un alinéa ainsi rédigé : « Au plus tard au 1er janvier 2026, les viandes bovines, porcines, ovines et de volaille, répondant aux conditions prévues au présent I, et provenant d’animaux élevés en France, doivent représenter une part fixée à 100 % dans les restaurants collectifs gérés par l’État, ses établissements publics et les entreprises publiques nationales. » ; 2° L’article L. 230‑5‑2 est ainsi rétabli : « Art. L. 230‑5‑2. – L’article L. 230‑5‑1 est également applicable aux repas servis dans les restaurants collectifs des établissements mentionnés à l’article L. 230‑5 dont les personnes morales de droit privé ont la charge. »
🖋️n°CE687 Irrecevable • Il y a +1 semaine
La section 5 du chapitre III du titre V du livre II est complétée par un article 253‑6-1 ainsi rédigé :  « Art L. 253‑6-1 – Pour répondre aux objectifs du plan d’action national mentionné à l’article L. 253‑6 du présent code, il est institué un principe de non-regression des surfaces agricoles cultivées en agriculture biologique au sens de l’article L. 641‑13 du code rural et de la pêche maritime. »
🖋️n°CE531 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Le III de l’article L. 312‑1 du code rural et de la pêche maritime est complété par un alinéa ainsi rédigé : « Lorsqu’une opération concerne une exploitation agricole existante ou projetée détenant un ou plusieurs bovins, le schéma directeur régional des exploitations agricoles établit l’ordre des priorités en prenant en compte, à titre prépondérant, un critère relatif au développement du pâturage. »
🖋️n°CE52 Irrecevable • Il y a +2 semaines
L’article L. 330‑2 du code rural et de la pêche maritime est ainsi complété. « et de sept ans en cas de congé de maternité ».
🖋️n°CE54 Irrecevable • Il y a +2 semaines
À la seconde phrase du II de l’article L. 717‑1 du code rural et de la pêche maritime, après la deuxième occurrence du mot : « travail », sont insérés les mots : « , un état d’épuisement pouvant justifier le recours à l’aide au répit proposée par les organismes mentionnés à l’article L. 723‑1 du présent code ». 
🖋️n°CE789 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Le livre VI du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : I. – Au premier alinéa de l’article L. 621‑2, après les mots : « des matières premières agricoles, », sont insérés les mots : « dans le domaine de la sylviculture, » ; II. – L’article L. 621‑3 est ainsi modifié : 1° Le 1° est complété par les mots : « issus des productions agricole et sylvicole » ; 2° Après le 9°, il est inséré un 10° ainsi rédigé : « 10° Identifier et quantifier les bioressources agricoles et forestières disponibles et leurs emplois sur le territoire, afin de fournir aux services de l’État des outils de suivi et d’aide à la décision pour garantir leurs bons usages, préserver les écosystèmes de production et de transformation de la biomasse, et garantir le partage de la valeur. »
🖋️n°CE405 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Le III de l’article L. 631-24 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : I. – Au 1° , le mot : « librement » est supprimé. II. – Le quinzième alinéa est ainsi modifié :  1° La deuxième phrase est ainsi modifiée : a) Après le mot : « indicateurs », sont insérés les mots : « de référence » ; b) La première occurrence du mot : « coûts » est remplacée par le mot :« prix »; 2° La troisième phrase est ainsi modifiée : a) Le mot : « librement » est supprimé ; b) Les mots : « , outre le ou les indicateurs issus du socle de la proposition » sont remplacés par les mots : « majoritairement l’indicateur de référence relatif aux coûts de production » ; c) Les mots : « constatés sur le ou les marchés sur lesquels opère l’acheteur » sont remplacés par les mots : « de marché » ; 3° La quatrième phrase est ainsi modifiée : a) Le mot : « des » est remplacé par le mot : « les » ; b) Les mots : « , qui servent d’indicateurs » sont supprimés ; c) Sont ajoutés les mots : « relatifs aux coûts pertinents de production en agriculture et de marché ».     
🖋️n°CE407 Irrecevable • Il y a +1 semaine
À la deuxième phrase du quinzième alinéa du III de l’article L. 631‑24 du code rural et de la pêche maritime, après le mot : « agriculture », sont insérés les mots : « intégrant la rémunération de la main d’œuvre agricole salariée et non salariée et la protection sociale ».
🖋️n°CE519 Irrecevable • Il y a +1 semaine
À la deuxième phrase du quinzième alinéa du III de l’article L. 631-24 du code rural et de la pêche maritime, après le mot : « agriculture », insérer les mots : « intégrant la rémunération de la main d’œuvre agricole salariée et non salariée et la protection sociale ».  
🖋️n°CE627 Irrecevable • Il y a +1 semaine
L’article L. 631‑27‑1 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié : 1° Avant le premier alinéa, il est ajouté un alinéa ainsi rédigé : « Une conférence publique de filière ne peut se constituer qu’à la demande d’une majorité de ses producteurs. » ; 2° Le premier alinéa est ainsi rédigé : « Pour chaque filière agricole concernée, la conférence publique de filière se réunit chaque année avant le 31 décembre, sous l’égide du médiateur des relations commerciales agricoles mentionné à l’article L. 631‑27. » ; 3° À la fin du deuxième alinéa, les mots : « et de la restauration hors domicile » sont remplacés par les mots : « , de la restauration hors domicile et des associations de défense des consommateurs » ; 4° La seconde phrase du troisième alinéa est remplacée par quatre phrases ainsi rédigées : « Au regard de cette situation et de ces perspectives, elle propose tous les quatre mois une estimation des coûts de production agricoles dans chaque filière ainsi qu’une estimation de leur évolution pour l’année à venir. Ces coûts incluent la rémunération des agriculteurs à hauteur de deux fois le salaire minimum de croissance et prennent en compte à la fois la dimension des exploitations et la diversité des bassins et des systèmes de production, notamment les contraintes géographiques des territoires marqués par l’éloignement, l’insularité et une dépendance accrue aux importations. La conférence publique de filière détermine un prix minimal d’achat des produits agricoles, qui ne peut être inférieur aux coûts de production. Pour déterminer ce prix minimal d’achat des produits agricoles, les parties doivent notamment s’appuyer sur les modalités de fixation du prix des systèmes de garantie et des labels de commerce équitable définies à l’article 60 de la loi n° 2005‑882 du 2 août 2005 en faveur des petites et moyennes entreprises. » ; 5° Après le troisième alinéa, sont insérés quatre alinéas ainsi rédigés : « Si le prix de marché d’un produit est supérieur au prix minimal d’achat déterminé par la conférence publique de filière, les négociations entre les parties s’effectuent sur la base du prix de marché de ce produit constaté par la conférence publique de filière. « Une nouvelle conférence publique de filière est réunie en cas de présomption de forte hausse ou de forte baisse des coûts de production agricoles. Elle détermine un nouveau prix minimal d’achat des produits agricoles dans les conditions mentionnées au quatrième alinéa du présent article. « Si la conférence publique de filière ne parvient pas à déterminer un prix minimal d’achat des produits agricoles, le médiateur des relations commerciales agricoles remet aux ministres chargés de l’économie et de l’agriculture un compte rendu de la négociation interprofessionnelle, sur la base duquel les ministres arrêtent un prix minimal d’achat des produits agricoles, qui ne peut être inférieur aux coûts de production des produits agricoles concernés. « Si la conférence publique de filière ne parvient pas à déterminer un prix minimal d’achat des produits agricoles, et faute d’actualisation du prix par les ministres chargés de l’économie et de l’agriculture, le dernier prix minimal d’achat cesse de s’appliquer un an après sa première application. »
🖋️n°CE350 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Titre II bis – Lever les contrainte au métier d’éleveur Article 4bis :  À l’article 654‑3 du code rural et de la pêche maritime, le deuxième alinéa est remplacé par quatre alinéas ainsi rédigés : « Sont seules autorisées les tueries d’animaux hors bovins et équins dans les cas où les conditions cumulatives suivantes sont réunies : « 1° les tueries sont installées dans une exploitation par un éleveur pour son seul usage ; « 2° le nombre d’animaux abattu annuellement est inférieur à un seuil fixé par décret. Ce décret fixe également la destination des animaux abattus ainsi que les conditions d’aménagement, d’équipement et de fonctionnement de ces tueries ; « 3° si la personne en charge de l’abatage est l’éleveur de l’animal, cet éleveur dispose d’une certification délivrée par l’État. Cette certification atteste des compétences et connaissances de l’éleveur en matière de respect du bien-être animal et des normes sanitaires pendant l’abattage. »
🖋️n°CE349 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Titre V – Lever les contraintes au métier d’éleveur Article 9 :  Après l’article L. 654‑3‑2 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article L. 654‑3‑3 ainsi rédigé : « Art. L. 654‑3‑3. – Un abattoir paysan, fixe ou mobile, est un abattoir dont la gouvernance garantit une place décisionnelle majoritaire et directe aux agriculteurs du territoire, exerçant une activité d’élevage, qui en sont utilisateurs. Il s’approvisionne en animaux issus du bassin d’élevage dans lequel il est situé.  « Les animaux qui y sont abattus : « 1° sont acheminés directement depuis des exploitations agricoles, sauf exceptions précisées par décret concernant les structures collectives de regroupement ou d’acheminement des animaux, dont le périmètre d’activité ne dépasse pas le bassin d’élevage ; « 2° ou sont abattus directement dans les exploitations agricoles. « Les viandes issues d’un abattoir paysan sont exclusivement destinées aux circuits courts. Un abattoir paysan respecte un tonnage annuel maximum et une cadence d’abattage maximum garantissant la protection des animaux et des conditions de travail adaptées, précisés par décret. « Les modalités d’application du présent article sont définies par décret. »
🖋️n°CE53 Irrecevable • Il y a +2 semaines
La seconde phrase du II de l’article L. 717‑1 du code rural et de la pêche maritime est complétée par les mots : « et l’informe de l’existence de l’aide au répit proposée par les organismes mentionnés à l’article L. 723‑1 du présent code ». 
🖋️n°CE55 Irrecevable • Il y a +2 semaines
La section 1 du chapitre VII du titre Ier du Livre VII est complété par un article L. 717‑6‑1 ainsi rédigé : « L. – 717‑6‑1. – À titre expérimental, pour une durée de trois ans et dans trois départements volontaires, l’État peut autoriser les caisses de mutualité sociale agricole à mettre en place des consultations itinérantes en santé sexuelle et gynécologique à destination des femmes salariées agricoles et non-salariées agricoles à des fins de prévention et de dépistage, de suivi de la grossesse, de prise en charge de la ménopause et de prévention des violences sexistes et sexuelles. Ces consultations intègrent les questions relatives à l’usure professionnelle et à la santé environnementale, notamment l’impact de l’exposition aux pesticides sur la santé sexuelle et gynécologique. »
🖋️n°CE421 Irrecevable • Il y a +1 semaine
L’article L722‑20 du code rural et de la pêche maritime est complété par un 17° ainsi rédigé : « 17° les travailleurs du secteur horticole, qu’ils soient producteurs, transporteurs, ou vendeurs de produits horticoles ».
🖋️n°CE671 Irrecevable • Il y a +1 semaine
I. – Après l’article L. 432‑1 du code de l’urbanisme, il est inséré un article L 432‑1-1 ainsi rédigé : « Art. L 432‑1-1. – Lorsqu’une construction est destinée à être périodiquement occupée pour loger des salariés embauchés pour des activités saisonnières, elle n’a pas à être démontée et réinstallée entre chaque occupant. » II. – Le a) de l’article L. 432‑2 du même code est complété par les mots : « , sauf si c’est un permis saisonnier. »
🖋️n°CD342 Irrecevable • Il y a +2 semaines
L’article L. 142‑2 du code de l’environnement est ainsi rédigé : « Art. L. 142‑2. – Les associations mentionnées à l’article L. 141‑2 peuvent exercer l’action civile relativement à tout fait illicite au regard des dispositions législatives relatives à la protection de la nature et de l’environnement, à l’amélioration du cadre de vie, à la protection de l’eau, de l’air, des sols, des sites et paysages, à l’urbanisme, à la pêche maritime ou ayant pour objet la lutte contre les pollutions et les nuisances, la sûreté nucléaire et la radioprotection, les pratiques commerciales et les publicités trompeuses ou de nature à induire en erreur quand ces pratiques et publicités comportent des indications environnementales ainsi qu’aux textes pris pour leur application, et portant un préjudice direct ou indirect aux intérêts collectifs qu’elles ont pour objet de défendre. « Les associations régulièrement déclarées depuis au moins cinq ans à la date des faits et qui se proposent, par leurs statuts, la sauvegarde de tout ou partie des intérêts mentionnés aux articles L. 211‑1 et L. 511‑1, peuvent exercer l’action civile en ce qui concerne les faits non conformes aux dispositions relatives à l’eau ou aux installations classées ou des textes pris pour son application et portant un préjudice direct ou indirect aux intérêts collectifs qu’elles ont pour objet de défendre. 
🖋️n°CE649 Irrecevable • Il y a +1 semaine
I. – Le chapitre II du titre III du Livre iV du code de l’urbanisme est ainsi modifié : 1° Après l’article L 432‑1, il est inséré un article L 432‑1-1 ainsi rédigé : « Art. L 432‑1-1. – Lorsqu’une construction est destinée à être périodiquement occupée pour loger des salariés embauchés pour des activités saisonnières, elle n’a pas à être démontée et réinstallée entre chaque occupant. » 2° Le a de l’article L432‑2 est complété par les mots : « , sauf si c’est un permis saisonnier. » II. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle à l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.
🖋️n°CE772 Irrecevable • Il y a +1 semaine
1° Après l’article L 432‑1du code de l’urbanisme il est inséré un article L 432‑1‑1 du code de l’urbanisme ainsi rédigé : « Art L 432‑1‑1. – Lorsqu’une construction est destinée à être périodiquement occupée pour loger des salariés embauchés pour des activités saisonnières, elle n’a pas à être démontée et réinstallée entre chaque occupant. » 2° Le a) de l’article L432‑2 du même code est complété par les mots : « , sauf si c’est un permis saisonnier. »
🖋️n°CE282 Irrecevable • Il y a +1 semaine
1° Après l’article L 432‑1du code de l’urbanisme il est inséré un article L 432‑1‑1 ainsi rédigé : « Art. L 432‑1‑1. – Lorsqu’une construction est destinée à être périodiquement occupée pour loger des salariés embauchés pour des activités saisonnières, elle n’a pas à être démontée et réinstallée entre chaque occupant. » 2° Le a) de l’article L432‑2 du même code est complété par les mots : « , sauf si c’est un permis saisonnier. »
🖋️n°CE187 Irrecevable • Il y a +1 semaine
I. – Après l’article L. 432‑1du code de l’urbanisme, il est inséré un article L. 432‑1‑1 du code de l’urbanisme ainsi rédigé : «  Art. L. 432‑1‑1. – Lorsqu’une construction est destinée à être périodiquement occupée pour loger des salariés embauchés pour des activités saisonnières, elle n’a pas à être démontée et réinstallée entre chaque occupant. » II. – Le a) de l’article L. 432‑2 du même code est complété par les mots : « , sauf si c’est un permis saisonnier. »
🖋️n°CE106 Irrecevable • Il y a +2 semaines
I. – Après l’article L. 432‑1du code de l’urbanisme, il est inséré un article L. 432‑1‑1 du code de l’urbanisme ainsi rédigé : «  Art. L. 432‑1‑1. – Lorsqu’une construction est destinée à être périodiquement occupée pour loger des salariés embauchés pour des activités saisonnières, elle n’a pas à être démontée et réinstallée entre chaque occupant. » II. – Le a) de l’article L. 432‑2 du même code est complété par les mots : « , sauf si c’est un permis saisonnier. »
🖋️n°CE556 Irrecevable • Il y a +1 semaine
« L’État met en place un réseau d’expérimentation, d’ici 2026, visant à soutenir la création et la diffusion de projets innovants de restructuration-diversification au sein d’exploitations agricoles volontaires. La restructuration-diversification est définie comme une reconception du système d’une exploitation agricole afin de diversifier ses productions agricoles et d’adopter des pratiques agroécologiques. Elle implique la transition de la spécialisation et de la mono-production vers une production plus diversifiée, en favorisant la mise en place d’ateliers complémentaires de production agricole. « Ce réseau d’expérimentation a pour objectif de faciliter l’installation de nouveaux porteurs de projet et la transmission des exploitations agricoles considérées comme difficiles à transmettre (du fait d’une spécialisation importante, d’un manque d’ergonomie, ou d’une production peu attrayante pour les porteurs de projet), en adaptant le profil des exploitations à transmettre aux attentes des porteurs de projets. De plus, cette modalité innovante de transmission contribuera à accélérer la transition agroécologique et à renforcer la résilience des exploitations face aux perturbations économiques, géopolitiques et climatiques. La diversification des productions agricoles et l’adoption de pratiques durables joueront un rôle crucial dans cet effort. »
🖋️n°CD326 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Le deuxième alinéa de l’article L. 665‑3 du code rural et de la pêche maritime est supprimé.
🖋️n°CE677 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Dans un délai de 12 mois à compter de la promulgation de la présente loi et afin d’atteindre les objectifs de réduction de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques du plan d'action national mentionné à l’article L. 253-6 du Code rural et de la pêche maritime, l’État se dote d’une stratégie nationale de déploiement des Paiements pour Services Environnementaux, fixée par décret, qui définit la marche à suivre pour les développer sur toutes les zones prioritaires
🖋️n°CE783 Irrecevable • Il y a +1 semaine
« Dans un délai de six mois suivant la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur la clarification des principes qui sous-tendent les paiements pour services environnementaux dans le cadre de la mise en œuvre de la norme européenne CRCF (Carbon Removal Certification Framework). Ce rapport abordera notamment les enjeux d’additionnalité, de compensation, de contribution à l’atténuation climatique, de neutralité du carbone biogénique. »
🖋️n°CE573 Irrecevable • Il y a +1 semaine
L'article L1 est ainsi complété :  Au 3°, ajouter " notamment en appliquant le principe de reconnaissance mutuelle entre les États membres établi par le droit européen, en matière de normes phytopharmaceutiques, et sanitaires participant au développement et à la protection de la production agricole française." 
🖋️n°CE504 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Après le premier alinéa de l’article L. 209-1, insérer l’alinéa suivant : « Les associations de protection de l’environnement sont régulièrement associées aux opérations de surveillance de la faune sauvage conduites par l’Etat et les collectivités territoriales, y compris celles conduites à des fins de prévention des maladies épizootiques. Les modalités de cette participation sont fixées par décret en Conseil d’État. »
🖋️n°CD100 Irrecevable • Il y a +2 semaines
I. – Après l’article L. 432‑1du code de l’urbanisme, il est inséré un article L. 432‑1‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 432‑1‑1. – Lorsqu’une construction est destinée à être périodiquement occupée pour loger des salariés embauchés pour des activités saisonnières, elle n’a pas à être démontée et réinstallée entre chaque occupant. » II. – Le a) de l’article L. 432‑2 du même code est complété par les mots : « , sauf si c’est un permis saisonnier ».
🖋️n°CD443 Irrecevable • Il y a +2 semaines
I. – Après l’article L. 432‑1du code de l’urbanisme, il est inséré un article L. 432‑1‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 432‑1‑1. – Lorsqu’une construction est destinée à être périodiquement occupée pour loger des salariés embauchés pour des activités saisonnières, elle n’a pas à être démontée et réinstallée entre chaque occupant. » II. – Le a) de l’article L. 432‑2 du même code est complété par les mots : « , sauf si c’est un permis saisonnier ».
🖋️n°CD82 Irrecevable • Il y a +2 semaines
I. – Après l’article L. 432‑1du code de l’urbanisme, il est inséré un article L. 432‑1‑1 ainsi rédigé : « Art. L. 432‑1‑1. – Lorsqu’une construction est destinée à être périodiquement occupée pour loger des salariés embauchés pour des activités saisonnières, elle n’a pas à être démontée et réinstallée entre chaque occupant. » II. – Le a) de l’article L. 432‑2 du même code est complété par les mots : « , sauf si c’est un permis saisonnier ».
🖋️n°CD216 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Il est créé un guichet unique dématérialisé permettant aux vignerons de gérer l’ensemble de leurs démarches administratives et obligations réglementaires en un seul et même lieu facilitant ainsi l’accès à l’information, la transparence des procédures et l’efficacité de la gestion de leurs activités viticoles. Il vise à réduire les démarches redondantes en fusionnant les déclarations similaires, à intégrer un droit à l’erreur pour minimiser les risques de pénalité pour les erreurs mineures, et à centraliser le paiement des accises.
🖋️n°CD356 Irrecevable • Il y a +2 semaines
Il est autorisé de convertir ou de labourer les prairies permanentes dans les sites Natura 2000. Cette autorisation est accordée conjointement par les services environnementaux de l’État et de la chambre d’agriculture.
🖋️n°CE676 Irrecevable • Il y a +1 semaine
D’ici le 1er janvier 2026, le Gouvernement publie un bilan économique, social et environnemental des politiques de remembrement agricole.
🖋️n°CE401 Retiré • Il y a +1 semaine
Supprimer l'alinéa 2.
🖋️n°CE402 Tombé • Il y a +1 semaine
Après le mot :  « et », supprimer la fin de l’alinéa 2.
🖋️n°CE408 Retiré • Il y a +1 semaine
Chapitre : TITRE II
🖋️n°CE684 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter le titre II par le mot :  « bovins »
🖋️n°CE685 Rejeté • Il y a +1 semaine
Compléter le titre II par les mots :  « en difficulté »
🖋️n°CD14 Retiré • Il y a +2 semaines
🖋️n°CE495 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE497 Retiré • Il y a +1 semaine
Chapitre : TITRE III
🖋️n°CD74 Rejeté • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’intitulé du titre III : « Concilier la nécessaire protection des activités agricoles et de la ressource en eau ».
🖋️n°CD94 Rejeté • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’intitulé du titre III : « Concilier la nécessaire protection des activités agricoles et de la ressource en eau ».
🖋️n°CD425 Rejeté • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’intitulé du titre III : « Concilier la nécessaire protection des activités agricoles et de la ressource en eau ».
🖋️n°CD380 Rejeté • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi ll’intitulé du titre III : « Faciliter la transition vers des systèmes agroécologiques à même de préserver durablement la ressource en eau ».
🖋️n°CE663 Irrecevable • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE704 Irrecevable • Il y a +1 semaine
Chapitre : TITRE IV
🖋️n°CD462 Adopté • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’intitulé du titre IV : « Dispositions diverses relatives aux inspections et contrôles en matière agricole ».
🖋️n°CE259 Adopté • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi l’intitulé du titre IV : « Dispositions diverses relatives aux inspections et contrôles en matière agricole ».
🖋️n°CD178 Rejeté • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’intitulé du titre IV : « Assurer les missions de l’office français de la biodiversité, et mieux accompagner les contrôles en matière agricole ».
Chapitre : TITRE Ier
🖋️n°CE252 Rejeté • Il y a +1 semaine
Rédiger ainsi l’intitulé du titre Ier : « Tirer les conséquences des connaissances scientifiques en matière de pesticides ».
🖋️n°CE18 Rejeté • Il y a +2 semaines
Rédiger ainsi l’intitulé du titre I : « Tirer les conséquences des connaissances scientifiques en matière de pesticides ».
🖋️n°CE167 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE173 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE174 Retiré • Il y a +1 semaine
🖋️n°CE175 Retiré • Il y a +1 semaine

- 1 -

TITRE Ier

Mettre fin aux surtranspositions et surrÉglementations françaises en matiÈre de produits phytosanitaires

Article 1

Le code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié :

1° (Supprimé)

2° L’article L. 254‑1 est ainsi modifié :

a) (nouveau) Au 3° du II, les mots : « prévu aux articles L. 254‑6‑2 et L. 254‑6‑3 » sont remplacés par les mots : « à l’utilisation des produits phytopharmaceutiques » ;

b) Le VI est ainsi modifié :

– à la fin de la première phrase, les mots : « incompatible avec celui des activités mentionnées aux 1° ou 2° du II ou au IV » sont remplacés par les mots : « interdit aux producteurs au sens du 11 de l’article 3 du règlement (CE) n° 1107/2009 du 21 octobre 2009, sauf lorsque la production concerne des produits de biocontrôle figurant sur la liste mentionnée à l’article L. 253‑5 du présent code, des produits composés uniquement de substances de base au sens de l’article 23 du règlement (CE) n° 1107/2009 ou de produits à faible risque au sens de l’article 47 du même règlement (CE) n° 1107/2009 et des produits dont l’usage est autorisé dans le cadre de l’agriculture biologique » ;

– la seconde phrase est supprimée ;

3° (Supprimé)

3° bis (nouveau) L’article L. 254‑1‑1 est ainsi modifié :

a) Le I est ainsi modifié :

– à la fin du 1°, les mots : « mentionnée aux 1° ou 2° du même II ou au IV du même article » sont remplacés par les mots : « de producteur au sens du 11 de l’article 3 du règlement (CE) n° 1107/2009 du 21 octobre 2009 » ;

– au 2°, les mots : « mentionnée aux 1° ou 2° du II ou au IV de l’article L. 254‑1 » sont remplacés par les mots : « de producteur au sens du 11 de l’article 3 du règlement (CE) n° 1107/2009 » et, à la fin, les mots : « de ce II » sont remplacés par les mots : « du II de l’article L. 254‑1 » ;

– au 3°, les mots : « mentionnée, d’une part, au 3° du II de l’article L. 254‑1 et, d’autre part, aux 1° ou 2° du même II ou au IV du même article » sont remplacés par les mots : « , d’une part, mentionnée au 3° du II de l’article L. 254‑1 et, d’autre part, de producteur au sens du 11 de l’article 3 du règlement (CE) n° 1107/2009 » ;

b) Le II est ainsi modifié :

– à la fin du 1°, les mots : « mentionnée aux 1° ou 2° du même II ou au IV du même article » sont remplacés par les mots : « de producteur au sens du 11 de l’article 3 du règlement (CE) n° 1107/2009 » ;

– au 2°, les mots : « mentionnée aux 1° ou 2° du II ou au IV de l’article L. 254‑1 » sont remplacés par les mots : « de producteur au sens du 11 de l’article 3 du règlement (CE) n° 1107/2009 » et, à la fin, les mots : « de ce II » sont remplacés par les mots : « du II de l’article L. 254‑1 » ;

3° ter (nouveau) L’article L. 254‑1‑2 est ainsi modifié :

a) Le premier alinéa est ainsi modifié :

– les mots : « mentionnée aux 1° ou 2° du même II ou au IV du même article » sont remplacés par les mots : « de producteur au sens du 11 de l’article 3 du règlement (CE) n° 1107/2009 du 21 octobre 2009 » ;

– les mots : « mentionnée aux 1° ou 2° de ce II ou à ce IV de ce même article » sont remplacés par les mots : « de producteur au sens du même 11 » ;

– à la fin, les mots : « de ce II » sont remplacés par les mots : « du II de l’article L. 254‑1 » ;

b) Le second alinéa est supprimé ;

3° quater (nouveau) L’article L. 254‑1‑3 est ainsi modifié :

a) À la fin du I, les mots : « mentionnée aux 1° ou 2° du même II ou au IV de ce même article » sont remplacés par les mots : « de producteur au sens du 11 de l’article 3 du règlement (CE) n° 1107/2009 du 21 octobre 2009 » ;

b) À la fin du II, les mots : « les activités mentionnées aux 1° ou 2° du même II ou au IV du même article » sont remplacés par les mots : « une activité de producteur au sens du 11 de l’article 3 du règlement (CE) n° 1107/2009 » ;

4° Au cinquième alinéa du I de l’article L. 254‑2, les mots : « aux 1° et 2° du II de l’article L. 254‑1 » sont remplacés par les mots : « au 1° du II de l’article L. 254‑1 » ;

5° (Supprimé)

5° bis (nouveau) Les articles L. 254‑6‑2 et L. 254‑6‑3 sont abrogés ;

5° ter (nouveau) L’article L. 254‑6‑4 est ainsi modifié :

a) Le premier alinéa est ainsi modifié :

– la première phrase est remplacée par quatre phrases ainsi rédigées : « I. – Le conseil mentionné au 3° du II de l’article L. 254‑1 couvre toute recommandation d’utilisation de produits phytopharmaceutiques. Il est formalisé par écrit. La prestation est effectuée à titre onéreux. Il s’inscrit dans un objectif de réduction de l’usage et des impacts des produits phytopharmaceutiques et respecte les principes généraux de la lutte intégrée contre les ennemis des cultures mentionnée à l’article L. 253‑6. » ;

– à la deuxième phrase, les mots : « ils privilégient » sont remplacés par les mots : « il privilégie » et les mots : « ils recommandent » sont remplacés par les mots : « il recommande » ;

– au début de la troisième phrase, les mots : « Ils promeuvent » sont remplacés par les mots : « Il promeut » ;

– au début de la dernière phrase, les mots : « Ils tiennent » sont remplacés par les mots : « Il tient » ;

b) Il est ajouté un II ainsi rédigé :

« II. – Le conseil stratégique à l’utilisation de produits phytopharmaceutiques établit un plan d’action pluriannuel pour la protection des cultures de l’exploitation agricole qui s’inscrit dans les objectifs du plan d’action national mentionné à l’article L. 253‑6. Il est fondé sur un diagnostic prenant en compte les spécificités de l’exploitation. Les exigences concernant la prévention des conflits d’intérêts pour la délivrance du conseil stratégique par le détenteur d’un agrément au titre des activités mentionnées au 1° du II de l’article L. 254‑1 sont déterminées par voie réglementaire. » ;

6° L’article L. 254‑7‑1 est ainsi modifié :

a) (nouveau) Au premier alinéa, les mots : « , et notamment la désignation de l’autorité administrative, les conditions de délivrance, de renouvellement, de suspension, de modulation et de retrait des agréments, des certificats ainsi que des habilitations des organismes » sont supprimés ;

b) Le second alinéa est ainsi modifié :

– à la première phrase, après le mot : « prévoit », il est inséré le mot : « notamment » ;

– la dernière phrase est ainsi rédigée : « Il précise les modalités de délivrance du conseil mentionné au 3° du II de l’article L. 254‑1. » ;

6° bis (nouveau) L’article L. 254‑10‑1 est ainsi modifié :

a) À la fin de la première phrase du premier alinéa du I, les mots : « auprès desquelles la redevance pour pollutions diffuses est exigible, mentionnées au IV de l’article L. 213‑10‑8 du code de l’environnement » sont remplacés par les mots : « exerçant les activités mentionnées au 1° du II de l’article L. 254‑1 » ;

b) Au début du premier alinéa du II, les mots : « L’autorité administrative notifie à chaque obligé pour les périodes du 1er janvier 2020 au 31 décembre 2020 et du 1er janvier 2021 au 31 décembre 2021, puis, à compter du 1er janvier 2022, pour chaque période successive d’une durée fixée par décret en Conseil d’État, dans la limite de quatre ans » sont remplacés par les mots : « L’autorité administrative notifie à chaque obligé, pour chaque période successive » ;

6° ter (nouveau) Au premier alinéa du I de l’article L. 254‑12, le nombre : « 15 000 » est remplacé par le nombre : « 50 000 » ;

 (nouveau) Avant le titre Ier du livre V, il est ajouté un titre préliminaire ainsi rédigé :

« Titre préliminaire

« Du conseil stratégique global

« Art. L. 5001. – I. – Les exploitants agricoles peuvent bénéficier d’un conseil stratégique global, formalisé par écrit, fourni par des conseillers compétents en agronomie, en protection des végétaux, en utilisation efficace, économe et durable des ressources ou en stratégie de valorisation et de filière, afin d’améliorer la viabilité économique, environnementale et sociale de leur exploitation.

« Le conseil stratégique à l’utilisation de produits phytopharmaceutiques mentionné à l’article L. 254‑6‑4 constitue un volet de ce conseil stratégique global.

« II. – Un décret définit les exigences relatives à l’exercice de la fonction de conseiller mentionnée au I, notamment en matière de formation. »

Article 2

I. – Le code de la santé publique est ainsi modifié :

 (nouveau)(Supprimé)

 (nouveau) L’article L. 1313‑5 est ainsi modifié :

aaa) À la seconde phrase du premier alinéa, après le mot : « État », sont insérés les mots : « et après en avoir informé ses ministères de tutelle » ;

aa, a et b) (Supprimés)

 (nouveau) Le deuxième alinéa de l’article L. 1313‑6‑1 est complété par une phrase ainsi rédigée : « Le comité de suivi des autorisations de mise sur le marché peut également se saisir des mêmes questions. »

II. – Le code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié :

1° A (nouveau) Après le deuxième alinéa de l’article L. 253‑1, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Lorsqu’elle est saisie d’une demande d’autorisation de mise sur le marché relative à des produits utilisés en agriculture, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail est tenue, préalablement à l’adoption de toute décision de rejet, de communiquer les motifs pour lesquels elle envisage de rejeter la demande. Ces motifs sont communiqués dans les meilleurs délais, de façon à permettre au demandeur de produire des observations écrites. Ces observations sont prises en compte par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail aux fins d’adoption de sa décision. » ;

1° (Supprimé)

2° L’article L. 253‑8 est ainsi modifié :

a) Le I est remplacé par des I à I ter ainsi rédigés :

« I. – Sous réserve des I bis et I ter, la pulvérisation aérienne des produits phytopharmaceutiques est interdite.

« I bis. – A. – Pour lutter contre un danger sanitaire grave qui ne peut être maîtrisé par d’autres moyens, la pulvérisation aérienne de produits phytopharmaceutiques peut être autorisée temporairement par arrêté conjoint des ministres chargés de l’environnement, de l’agriculture et de la santé.

« B. – Les programmes d’application par aéronef circulant sans personne à bord de produits phytopharmaceutiques de biocontrôle mentionnés à l’article L. 253‑6 et figurant sur la liste mentionnée au IV de l’article L. 253‑7, de produits autorisés en agriculture biologique et de produits à faible risque au sens de l’article 47 du règlement (CE) n° 1107/2009 du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et abrogeant les directives 79/117/CEE et 91/414/CEE du Conseil peuvent être autorisés, lorsqu’ils présentent des avantages manifestes pour la santé humaine et pour l’environnement par rapport aux applications par voie terrestre, sur les parcelles agricoles comportant une pente supérieure ou égale à 30 %, sur les bananeraies et sur les vignes‑mères de porte‑greffes conduites au sol.

« Un arrêté des ministres chargés de l’environnement, de l’agriculture et de la santé, pris après avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail et après consultation des organisations professionnelles et syndicales représentant les exploitants et les salariés agricoles, définit les conditions d’autorisation de ces programmes dans les conditions prévues à l’article 9 de la directive 2009/128/CE du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 instaurant un cadre d’action communautaire pour parvenir à une utilisation des pesticides compatible avec le développement durable.

« I ter. – A. – Par dérogation au I, des programmes d’application par aéronef circulant sans personne à bord de produits mentionnés au B du I bis peuvent être autorisés, dans les conditions fixées aux B et C du présent I ter, sur des parcelles et des cultures autres que celles mentionnées au B du I bis lorsqu’ils présentent des avantages manifestes pour la santé humaine et l’environnement par rapport aux applications par voie terrestre.

« B. – Les programmes mentionnés au A du présent I ter sont autorisés à titre d’essai pour une durée maximale de trois ans.

« Les essais visent à déterminer, pour un type de parcelles ou de cultures, les avantages manifestes de la pulvérisation par aéronef circulant sans personne à bord du point de vue des incidences sur la santé humaine et l’environnement par rapport aux applications par voie terrestre.

« Leurs résultats sont évalués par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail.

« Les évaluations sont présentées à l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques.

« Un décret, pris après avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail, définit les conditions d’autorisation et les modalités de réalisation de ces essais ainsi que les modalités de transmission de leurs résultats à cette agence.

« C. – Un arrêté des ministres chargés de l’environnement, de l’agriculture et de la santé dresse la liste des types de parcelles ou des cultures pour lesquelles les résultats des essais mentionnés au B montrent que la pulvérisation par aéronef circulant sans personne à bord est susceptible de présenter des avantages manifestes pour la santé humaine et pour l’environnement.

« Pour les types de parcelles ou les cultures inscrites sur la liste mentionnée au premier alinéa du présent C, un programme d’application par aéronef circulant sans personne à bord peut être autorisé dans les conditions prévues au B du I bis. » ;

b) (Supprimé)

c) (nouveau) Les deuxième et troisième alinéas du II sont supprimés ;

d) (nouveau) Le deuxième alinéa du II bis est ainsi modifié :

– à la fin de la première phrase, les mots : « , ainsi que la conformité de ces avancées au plan de recherche sur les alternatives aux néonicotinoïdes de la filière concernée par un arrêté de dérogation mentionné au deuxième alinéa du II » sont supprimés ;

– les deuxième et dernière phrases sont supprimées ;

e) (nouveau) Le troisième alinéa du même II bis est supprimé ;

f) (nouveau) Après ledit II bis, il est inséré un II ter ainsi rédigé :

« II ter. – Sans préjudice de la nécessité d’obtenir une autorisation de mise sur le marché ou une autorisation accordée dans les conditions prévues à l’article 53 du règlement (CE) n° 1107/2009, un décret peut, à titre exceptionnel, après avis du conseil de surveillance prévu au II bis, déroger à l’interdiction d’utilisation des produits mentionnée au II ainsi que des semences traitées avec ces produits, pour un usage déterminé, lorsque les conditions suivantes sont réunies :

« 1° Les substances actives contenues dans les produits sont approuvées en application du règlement (CE) n° 1107/2009 ;

« 2° Les alternatives disponibles à l’utilisation de ces produits sont inexistantes ou manifestement insuffisantes ;

« 3° Il existe un plan de recherche sur les alternatives à leur utilisation.

« Ce décret peut interdire temporairement et pour une durée qu’il détermine la plantation et la replantation de végétaux attractifs d’insectes pollinisateurs après l’emploi de semences traitées, ainsi autorisées à titre exceptionnel.

« Le conseil de surveillance prévu au II bis se prononce, dans son avis, sur la nécessité d’une dérogation exceptionnelle, sur les conditions auxquelles cette dérogation serait adéquate et strictement proportionnée et sur l’état de la recherche d’alternatives.

« Le conseil de surveillance publie chaque année et remet avant le 15 octobre au Gouvernement et au Parlement un rapport relatif à chaque dérogation exceptionnelle et portant sur leurs conséquences notamment environnementales et économiques, ainsi que sur l’état d’avancement du plan de recherche, en veillant à ce que soient prévues les modalités de déploiement des solutions alternatives existantes en conditions réelles d’exploitation. » ;

3° L’article L. 253‑8‑3 est abrogé ;

 (nouveau) La section 6 du chapitre III du titre V du livre II est complétée par un article L. 253‑8‑4 ainsi rédigé :

« Art. L. 25384. – I. – Constitue un usage prioritaire toute solution permettant de lutter contre un organisme nuisible ou un végétal indésirable qui affecte ou est susceptible d’affecter de manière significative le potentiel de production agricole et alimentaire lorsque les alternatives sont inexistantes, insuffisantes ou susceptibles de disparaître à brève échéance.

« II. – Un conseil d’orientation pour la protection des cultures suit la disponibilité des méthodes et moyens chimiques et non chimiques de protection des cultures.

« Il avise le ministre chargé de l’agriculture des usages qu’il considère prioritaires.

« III. – Le ministre chargé de l’agriculture fixe par arrêté, après avis du conseil d’orientation pour la protection des cultures, la liste des usages prioritaires.

« IV. – L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail établit, pour les usages prioritaires, un calendrier d’instruction des demandes tenant compte du cycle cultural et s’emploie à le respecter. Ce calendrier est présenté au conseil d’orientation pour la protection des cultures.

« V. – Un décret précise les conditions d’application du présent article, notamment les modalités de fonctionnement et la composition du conseil d’orientation pour la protection des cultures. »

TITRE II

Simplifier l’activitÉ des Éleveurs

Article 3

I. – Le code de l’environnement est ainsi modifié :

1° à 3° (Supprimés)

3° bis (nouveau) L’article L. 181‑10‑1 est ainsi modifié :

a) Au second alinéa du I, après le mot : « organise », sont insérés les mots : « , après concertation avec le commissaire enquêteur ou la commission d’enquête, » ;

b) Le 1° du III est complété par une phrase ainsi rédigée : « Le commissaire enquêteur ou la commission d’enquête peuvent néanmoins choisir, en concertation avec l’autorité administrative chargée de la consultation du public, de remplacer cette réunion publique par une permanence à des lieux, jours et heures qu’ils déterminent, incluant au moins une journée dans la mairie de chaque commune du lieu d’implantation du projet ; »

b bis) Le 4° du même III est complété par deux phrases ainsi rédigées : « Ces réponses, à l’exception de la réponse à l’avis de l’autorité environnementale, sont facultatives. Les réponses aux observations et aux propositions du public peuvent être transmises et publiées en une fois, jusqu’à la fin de la consultation du public ; »

c) Après la première phrase du 5° dudit III, est insérée une phrase ainsi rédigée : « Le commissaire enquêteur ou la commission d’enquête peuvent néanmoins choisir, en concertation avec l’autorité administrative chargée de la consultation du public, de remplacer cette réunion publique par une permanence à des lieux, jours et heures qu’ils déterminent, incluant au moins une journée dans la mairie de chaque commune du lieu d’implantation du projet. » ;

d) Au dernier alinéa dudit III, après le mot : « consultation », sont insérés les mots : « , ou le premier jour de la permanence qui lui est substituée, » ;

e) Au premier alinéa du IV, le mot : « clôture » est remplacé par le mot : « fin » ;

4° (Supprimé)

5° L’article L. 512‑7 est ainsi modifié :

a) Au second alinéa du I, après le mot : « industrielles », sont insérés les mots : « et aux émissions de l’élevage » ;

b) (nouveau) Après le I bis, il est inséré un I ter ainsi rédigé :

« I ter. – Peuvent également relever du régime de l’enregistrement les installations d’élevage mentionnées à l’annexe I bis de la directive 2010/75/UE du Parlement européen et du Conseil relative aux émissions industrielles et aux émissions de l’élevage, à l’exception des installations destinées à l’élevage intensif énumérées à l’annexe I de la directive 2011/92/UE du Parlement européen et du Conseil du 13 décembre 2011 concernant l’évaluation des incidences de certains projets publics et privés sur l’environnement. » ;

 (nouveau)(Supprimé)

II (nouveau). – Le 5° du I du présent article entre en vigueur à la date de publication de l’acte d’exécution prévu au 2 de l’article 70 decies de la directive 2010/75/UE du Parlement européen et du Conseil relative aux émissions industrielles et aux émissions de l’élevage.

Article 4

I et II. – (Supprimés)

III (nouveau). – L’État met en place un plan pluriannuel de renforcement de l’offre d’assurance récolte destinée aux prairies. Ce plan porte sur l’information des éleveurs en cours de campagne, le perfectionnement et l’accroissement de la performance de l’approche indicielle, la meilleure intégration de l’ensemble des aléas climatiques dans l’assurance récolte des prairies et la simplification et l’accélération de la procédure de recours pour les éleveurs.

S’agissant des évaluations des pertes de récoltes ou de cultures fondées sur des indices, ce plan pluriannuel étudie la possibilité pour les instances départementales, placées sous l’autorité du représentant de l’État dans le département, de se réunir postérieurement à chaque fin de campagne de production sur demande des organisations syndicales d’exploitants agricoles représentatives. Ces instances départementales pourraient être chargées de présenter et expliquer les résultats des indices utilisés, d’échanger sur les éventuels points de contestation et de les analyser. Le représentant de l’État dans le département transmettrait une synthèse des travaux de l’instance au comité national des indices.

Le Gouvernement remet au Parlement, au plus tard le 31 décembre 2026, un rapport sur l’état d’avancement de ce plan pluriannuel et la poursuite de son déploiement.

TITRE III

Faciliter la conciliation entre les besoins en eau des activitÉs agricoles et la nÉcessaire protection de la ressource

Article 5

Le code de l’environnement est ainsi modifié :

1° L’article L. 211‑1 est ainsi modifié :

a) Après le 5° bis du I, il est inséré un 5° ter ainsi rédigé :

« 5° ter La préservation de l’accès à la ressource en eau aux fins d’abreuvement ; »

b) (Supprimé)

1° bis (nouveau) Après l’article L. 211‑1‑1, il est inséré un article L. 211‑1‑2 ainsi rédigé :

« Art. L. 21112. – Les ouvrages de stockage d’eau et les prélèvements sur les eaux superficielles ou souterraines associés qui poursuivent à titre principal une finalité agricole sont présumés d’intérêt général majeur dans les zones affectées d’un déficit quantitatif pérenne compromettant le potentiel de production agricole lorsqu’ils sont issus d’une démarche territoriale concertée sur la répartition de la ressource en eau entre l’ensemble des usagers, qu’ils s’accompagnent d’un engagement dans des pratiques sobres en eau et qu’ils concourent à un accès à l’eau pour ces usagers. » ;

2° à 5° (Supprimés)

 (nouveau) L’article L. 214‑2 est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Une zone humide, telle que définie à l’article L. 211‑1, est considérée comme fortement modifiée lorsque l’usage qui en est régulièrement fait ne lui permet plus d’assurer l’essentiel des fonctions écosystémiques spécifiques caractérisant les zones humides.

« Un décret en Conseil d’État détermine les conditions selon lesquelles les impacts des installations, ouvrages, travaux et activités mentionnés à l’article L. 214‑1 sur une zone humide fortement modifiée sont suffisamment faibles pour justifier qu’ils ne soient pas soumis à autorisation ou déclaration au seul titre de la préservation des zones humides. » ;

 (nouveau) Après l’article L. 411‑2‑1, il est inséré un article L. 411‑2‑2 ainsi rédigé :

« Art. L. 41122. – Sont présumés répondre à une raison impérative d’intérêt public majeur, au sens du c du 4° du I de l’article L. 411‑2, les ouvrages de stockage d’eau et les prélèvements sur les eaux superficielles ou souterraines associés qui poursuivent à titre principal une finalité agricole dans les zones affectées d’un déficit quantitatif pérenne compromettant le potentiel de production agricole lorsqu’ils résultent d’une démarche territoriale concertée sur la répartition de la ressource en eau entre l’ensemble des usagers, qu’ils s’accompagnent d’un engagement des usagers dans des pratiques sobres en eau et qu’ils concourent à un accès à l’eau pour tous les usagers. »

TITRE IV

Mieux accompagner les contrÔles et dispositions diverses relatives aux suites liÉes aux inspections et contrÔles en matiÈre agricole

Article 6

I. – Le code de l’environnement est ainsi modifié :

1° L’article L. 131‑9 est ainsi modifié :

a) (nouveau) Au 1° du I, au début, après le mot : « Contribution », sont insérés les mots : « , sous l’autorité du représentant de l’État dans le département, » et, après les mots : « administrative et », sont insérés les mots : « contribution, sous la direction du procureur de la République, à l’exercice des missions » ;

b) Le IV est complété par les mots : « , notamment en validant la programmation annuelle des contrôles réalisés dans le cadre de ces missions » ;

c) (nouveau)(Supprimé)

 (nouveau) À la première phrase du second alinéa de l’article L. 172‑16, après le mot : « adressés », sont insérés les mots : « par voie hiérarchique » ;

 (nouveau) Après l’article L. 174‑2, il est inséré un article L. 174‑3 ainsi rédigé :

« Art. L. 1743. – I. – Dans le cadre de leurs missions de police de l’environnement définies par le présent titre, les inspecteurs de l’environnement mentionnés à l’article L. 172‑1 et les agents commissionnés des réserves naturelles nationales, régionales ou de Corse et les gardes du littoral peuvent procéder en tous lieux, au moyen de caméras individuelles, à un enregistrement audiovisuel de leurs interventions lorsque se produit ou est susceptible de se produire un incident, eu égard aux circonstances de l’intervention ou au comportement des personnes concernées.

« II. – L’enregistrement n’est pas permanent.

« Les enregistrements ont pour finalités la prévention des incidents au cours des interventions de ces agents, le constat des infractions et la poursuite de leurs auteurs par la collecte de preuves ainsi que la formation et la pédagogie des agents.

« III. – Les caméras sont portées de façon apparente par les agents mentionnés au I. Un signal visuel spécifique indique si la caméra enregistre. Le déclenchement de l’enregistrement fait l’objet d’une information des personnes enregistrées, sauf si les circonstances l’interdisent. Une information générale du public sur l’emploi de ces caméras est organisée par les ministères chargés de l’agriculture et de l’environnement.

« IV. – Les agents auxquels les caméras individuelles sont fournies ne peuvent avoir accès directement aux enregistrements auxquels ils procèdent.

« Les enregistrements audiovisuels, sauf dans le cas où ils sont utilisés dans le cadre d’une procédure judiciaire, administrative ou disciplinaire, sont effacés au bout de trente jours.

« Les caméras sont équipées de dispositifs techniques permettant de garantir l’intégrité des enregistrements jusqu’à leur effacement et la traçabilité des consultations lorsqu’il y est procédé dans le cadre de l’intervention.

« Ces enregistrements sont soumis à la loi n° 78‑17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, notamment en ce qui concerne le contrôle de la Commission nationale de l’informatique et des libertés et le droit d’accès aux enregistrements.

« V. – Les modalités d’application du présent article et d’utilisation des données collectées sont précisées par un décret en Conseil d’État, pris après avis de la Commission nationale de l’informatique et des libertés. »

II (nouveau). – Le 3° du I entre en vigueur à compter de la publication du décret prévu au V de l’article L. 174‑3 du code de l’environnement et, au plus tard, dans un délai d’un an à compter de la promulgation de la présente loi.

Article 7 (nouveau)

Le titre V du livre II du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié :

1° À l’intitulé du chapitre VIII, les mots : « , notamment dans le cadre de la lutte biologique » sont remplacés par les mots : « et macro‑organismes utilisés dans le cadre de la lutte autocide » ;

2° L’article L. 258‑1 est ainsi modifié :

a) Le premier alinéa est ainsi modifié :

– à la première phrase, après le mot : « végétaux », sont insérés les mots : « ou d’un macro‑organisme utilisé dans le cadre de la lutte autocide » ;

– à la seconde phrase, les mots : « cet organisme peut » sont remplacés par les mots : « ces macro‑organismes peuvent » ;

b) Le deuxième alinéa est ainsi modifié :

– à la première phrase, les mots : « d’un tel macro‑organisme » sont remplacés par les mots : « de tels macro‑organismes » ;

– à la dernière phrase, les mots : « cet organisme » sont remplacés par les mots : « ces macro‑organismes ».

Article 8 (nouveau)

I. – Dans les conditions prévues à l’article 38 de la Constitution, le Gouvernement est autorisé à prendre par voie d’ordonnance, dans un délai de douze mois à compter de la promulgation de la présente loi, toute mesure relevant du domaine de la loi concernant, en vue d’assurer l’efficacité et la cohérence de l’action des services de contrôle de l’État, le régime de prévention et de sanction des atteintes à la protection des végétaux prévu aux titres V et VII du livre II du code rural et de la pêche maritime pour :

1° Adapter l’échelle des peines et réexaminer leur nécessité, en tenant compte de ce que le manquement a été commis à l’occasion de l’exécution d’obligations légales ou réglementaires relatives à la protection des végétaux, y compris en créant de nouvelles sanctions pénales et en substituant à des sanctions pénales existantes un régime de répression administrative ;

2° Adapter le contenu et les modalités d’exécution des mesures de prévention, de surveillance et de lutte contre les dangers phytosanitaires, notamment en vue d’améliorer la lutte contre la flavescence dorée ;

3° Abroger ou modifier les dispositions devenues inadaptées ou obsolètes.

II. – Un projet de loi de ratification est déposé devant le Parlement dans un délai de trois mois à compter de la publication de chaque ordonnance prévue par le I.

Délibéré en séance publique, à Paris, le 27 janvier 2025.

Le Président,

Signé : Gérard LARCHER

🚀